Winter Stars - Larry Stylinson
Il y avait Harry, qui n'aimait plus Noël. Il y avait Louis, qui vivait tout en haut d'une montagne. Et il y avait les étoiles, qui n'aimaient qu'une seule chose, regarder se créer les histoires d'amour.
Il y avait Harry, qui n'aimait plus Noël. Il y avait Louis, qui vivait tout en haut d'une montagne. Et il y avait les étoiles, qui n'aimaient qu'une seule chose, regarder se créer les histoires d'amour.
" Louis ne savait pas qu'une telle douceur existait quelque part, et qu'elle se trouvait sur la peau d'un être humain. "
FICTION TERMINÉE - Un soir, Ari, fils d'un riche commerçant de Pompéi, rencontre un étrange jeune homme qui se promène comme lui aux alentours de la ville. Quelques jours plus tard, il tombe à nouveau nez à nez avec lui dans une maison close où le garçon se prostitue. Peu à peu, ils vont apprendre à se connaître et à...
Ce n'est pas facile, les relations humaines, Surtout pour un petit garçon qui, dans sa tête, n'a pas vraiment de facilité pour se faire des amis. #156 dans Nouvelles (04.07.2017) © Je suis un paradoxe | 6 Septembre 2016 collection « Astéroïde »
C'est la tombée de la nuit. Une femme monte la dune. Sur la plage, Louis et Harry. Et Tom qui balaye en regardant l'océan.
Liven est forcé d'intégrer un groupe de soutient car il est victime de violences conjugales. Et son tuteur ne sera autre que... Edward, un sublime brun aux yeux verts perçants. Leur relation n'est pas de tout repos. La route vers l'honnêteté et la guérison est semée d'obstacles. Louis : Liven. (21yo) Harry : Edward...
« On aurait envie que tout cela se passe sur un bord de mer, qu'il y ait des cris de mouettes, du flux et du reflux, des amants qui courent sur une plage avec un chien et un cerf-volant. Qu'il y ait encore une odeur de gaufres mêlée à celle de l'iode et de l'eau, des cabans qui se boutonnent et des hôtels comme des pa...
Nouvelle digne d'un film de Noël sur TF1. Passez de bonnes fêtes. :) xx
« Les livres que j'ai écrits jusqu'à présent me paraissent comparables à ces bassins des jardins publics, d'un contour précis, parfait peut-être, mais où l'eau captive est sans vie. À présent, je veux la laisser couler selon sa pente, tantôt rapide et tantôt lente, en des lacis que je me refuse à prévoir. » André Gide.