Jamais Voldemort n'avait été si puissant. Non seulement son armée augmentait en nombre, mais il contrôlait le ministère de la magie, l'essence même de la société magique. Tout le monde était terrifié. La défaite semblait la seule issue à cette guerre qui monopolisait tout sauf les journaux corrompus. L'automne avait passé si rapidement qu'on s'en souvenait à peine. L'hiver et le froid envahissait tout, même le cœur des gens.
Pour les élèves qui étaient retournés à l'école, c'était le cauchemar, mais également le début de la résistance scolaire. La salle sur demande était un cadeau d'une valeur inestimable de la part du château qui se battait avec eux grâce à ses secrets et ses multiples ressources.
Les passages secrets avaient presque tous été bloqués, sauf un. Un passage essentiel qui permettait le contact avec le monde extérieur. Pour plusieurs, c'était la seule façon de transmettre un message sans que le personnel de l'école les accuse de trahison et les envoie en retenue, ou parfois pire...
Pour la plupart des Serpentard, c'était le meilleur des mondes. Les professeurs les appréciaient enfin à leur juste valeur et ils apprenaient ce qu'ils avaient toujours voulu apprendre. Leur ambition était bien nourrie chaque jour et enfin, on leur donnait la place qu'ils avaient toujours voulu avoir au sein de l'école.
Mais au-delà des murs de l'école, un réseau s'était établi un peu partout dans le pays. Ils pouvaient tous être tracés jusqu'à l'Ordre qui orchestrait le tout. Des révoltes éclataient une fois de temps en temps, juste pour montrer qu'ils étaient là et qu'ils n'allaient pas se laisser faire.
De leur côté, Harry et Hermione visitaient le village où tout avait commencé alors que Ron revenaient peu à peu vers eux. Leurs recherches étaient dangereuses, angoissantes et nécessaires.
Concernant le terrier, il était encore habité. Arthur avait miraculeusement conservé son emploi et il faisait ce qu'il pouvait pour ne pas attirer l'attention sur lui. Toutefois, quelque chose clochait. Il se sentait surveillé et se doutait que son temps au Ministère était compté. Molly et lui avaient donc élaboré un plan au cas où les choses tournaient mal.
Ils n'étaient d'ailleurs pas seuls. Il y avait les jumeaux (bien que parfois ils partaient parler sur Potterwatch), Charlie, Alex et Kay.
Fred et George avaient décidé de mettre sur pause leur magasin le temps que les choses s'arrangent. Si ça allait arriver un jour... Le point est que les affaires étaient devenus dangereuses à cause des Mangemorts qui attaquaient sans cesse les magasins du Chemin de Traverse. Ça devenait dangereux et, de toute façon, personne ne venait s'y promener désormais. Du moins, personne ayant de bonnes intentions. Ils avaient temporairement quitté leur appartement pour aller rejoindre leurs parents qui s'inquiétaient pour eux.
Kay réalisait que c'était la première année de sa vie qu'elle ne passait pas dans un orphelinat ou à Poudlard. Elle s'était développée peu à peu une routine qui lui permettait d'occuper son esprit à autre chose que penser à la guerre.
Elle se levait à 8h du matin et s'habillait avant de rejoindre Molly en bas qui s'occupait déjà du déjeuner. Si elle n'avait pas fini, Kay l'aidait puis s'installait à table avec les autres qui descendaient un à un. Arthur, Charlie et Alex partaient au travail et les jumeaux allaient souvent rejoindre Lee à la radio.
Ensuite, Kay allait se préparer pour la journée. L'étape suivante était d'aller s'occuper des gnomes du jardin puis de faire différents travaux sur le terrain.
Arthur revenait à la fin de la journée et les jumeaux un peu plus tard dans la soirée. Quant à Charlie et Alex, ils étaient parfois partis des jours avant qu'ils ne reviennent. Ça rendait Molly folle. Elle passait parfois des heures dans le salon, prétextant d'avoir une tâche quelconque à y réaliser simplement afin de garder un œil sur l'horloge familiale. Les aiguilles de Charlie et de Ron étaient souvent sur « en danger de mort ». Lorsque c'était le cas, elle fixait l'horloge jusqu'à ce que l'aiguille change. Ça pouvait parfois durer des heures, mais elle ne s'en souciait pas. Tout ce qui importait était que ses enfants soient de nouveau en sécurité, peu importe où. Kay savait qu'elle devait préparer le souper ou le dîner lorsque ces moments arrivaient. Si elle ne le faisait pas, Molly ne mangeait pas.
Le pire, c'était qu'ils ne savaient pas ce que Ron et ses amis cherchaient. Qu'est-ce qu'ils allaient faire? Tout ça était un mystère pour les occupants du Terrier. Plusieurs hypothèses avaient été émises, mais aucune ne valait le coup. Jusqu'à ce que, un jour, Alex se prépara pour une autre mission.
– Qu'est-ce que tu vas faire? lui demanda Kay en s'accotant ses coudes sur la table de la salle à manger.
– Ces temps-ci, les criminels sortent d'Azkaban. Curieuse coïncidence, ce sont tous des Mangemorts. Bref, il y en a un plus dangereux que les autres et j'ai fait des recherches sur lui.
Plusieurs objets étranges étaient éparpillés sur la table et elle les rangeait tous dans son sac. Elle prit une dent énorme et joua avec quelques instants avant de le mettre dans la poche de son manteau.
– Et...?
– Et il ne peut pas être tué. Alors j'ai fait mes recherches. Il s'agit d'horcruxe, une forme de magie noire dangereuse.
– J'en ai jamais entendu parler. Qu'est-ce que ça fait?
– Ça emprisonne une partie de ton âme.
– Hein?
– Oui, mais ça a un prix. Il faut tuer une autre personne. Lorsque c'est fait, tu peux faire en sorte qu'une portion de ton âme se renferme dans un objet autour. N'importe quoi, un livre, une assiette. D'habitude, c'est quelque chose qui a de l'importance aux yeux du tueur.
– Et alors, quand tu meurs, tu es encore vivant?
– À peu près. Les Aurors s'étaient débarrassés de ce criminel quelques fois, mais il revenait toujours. Ils viennent de faire appel à mes services.
– Je croyais que le bureau des Aurors était corrompu maintenant.
– Je parle des Aurors de l'Ordre. Ceux qui sont encore avec nous. Ils en ont entendu parler et ils voulaient que je fasse des recherches là-dessus.
– Pourquoi ils le font pas?
– T'imagines si leur patron l'apprenait? Non, trop dangereux. Et puis, c'est mon métier après tout.
– Alors tu dois détruire l'horcruxe pour ensuite pouvoir le tuer?
– Exact, et c'est ce que je vais faire. C'est pour ça que j'apporte mon ami ici, dit-elle en tapotant la poche où elle venait de déposer la dent étrange.
– Pourquoi?
– Un horcruxe, c'est dur à détruire. Un sort de destruction ne fait pas l'affaire. Les substances qui peuvent détruire un horcuxe sont peu connues. Le venin de basilic est le plus facile à trouver, on peut en acheter assez facilement. Mais une dent de basilic, c'est encore mieux. Alors j'en ai demandé une à Charlie qui se l'est procurée grâce à un ami. Bref, j'ai bien hâte d'en finir.
– J'imagine.
– JE PARS! cria Alex en empoignant son sac pour le mettre sur son dos.
L'entrée se remplit rapidement. Tout le monde lui souhaita bonne chance et elle les remercia un à un en les assurant qu'elle serait prudente. Molly l'embrassa sur les deux joues et Charlie la serra dans ses bras.
Elle partit sans se retourner.
– Quelle vie de fou, murmura Fred qui était resté chez ses parents cette journée-là. T'imagines avoir son métier? Jamais savoir ce qui t'attend, devoir improviser et t'adapter peu importe la situation. C'est impressionnant.
– C'est vrai, confirma Kay. Elle est très forte.
Alors que tout le monde s'apprêtait à retourner à leurs occupations, ils entendirent :
– J'ai réalisé quelque chose!
Alex venait de faire interruption dans le Terrier, son sac énorme encore sur le dos. Elle le laissa tomber au seuil de la porte, avança comme une flèche vers Charlie, attrapa son bras et le serra si fort qu'il serra à son tour les dents.
– J'ai tout compris, absolument tout, murmura-t-elle, les yeux grands ouverts fixant un point invisible.
– Chérie, tout va bien? s'enquit Molly qui s'inquiétait visiblement pour la santé mentale de la jeune femme.
– Elle a compris quelque chose. Ça fait souvent ça quand elle réussit à assembler les pièces du casse-tête, assura Charlie. Qu'est-ce qu'il y a?
Elle commença à tapoter nerveusement le bras de son ami. En prenant un peu de recul, il était impossible de voir si ce mouvement était volontaire ou si la jeune fille était si secouée qu'elle tremblait.
– J'ai tout compris...
Molly lui tira une chaise et l'aida à s'assoir. Les jumeaux et Kay s'assirent tous également autour de la table et ils attendirent tous avec impatience son explication. Molly prépara du thé qu'elle servit puis ils rejoignirent la tablée.
– J'ai tout compris, absolument tout, répéta Alex.
– Et? demanda George.
Charlie passa une main réconfortante dans le dos de son amie et assassina son frère du regard.
– Elle va parler quand elle sera prête.
– Non, il a raison. D'accord. Ça va être long à expliquer.
Alex rassembla ses pensées une dernière fois pour qu'elles ressortent le plus clairement possible et se lança.
– Donc, dans le testament de Dumbledore, il y avait bien un vif d'or, un déluminateur, une édition des contes de Beedle le Barde et l'épée de Gryffondor?
– En plein dans le mile, dit George d'un ton monotone.
– D'accord. Je peux comprendre pourquoi Dumbledore a légué quelque chose à Potter, il était son protégé si j'ai bien compris. Par contre, vous ne trouvez pas ça étrange qu'il ai donné quelque chose à la fille? Ou au garçon?
– Hermione et Ron, ronchonna George.
– C'est pas grave George, elle est en fonction travail, il faut la laisser faire comme si elle bossait pour avoir un bon résultat, marmonna Charlie.
– Ce que je veux dire, rectifia Alex, c'est que je pense pas avoir entendu dire que le garçon et la fille étaient particulièrement proche de leur directeur. Il y avait l'intermédiaire de Potter, évidemment, mais sinon quoi d'autre?
À bien y penser, ce qu'elle disait faisait du sens. Ron et Hermione n'avaient jamais été bien proche du directeur, peut-être un peu plus que certains élèves, mais pas assez pour qu'ils se retrouvent dans son testament.
– Continue, proposa Kay pensivement.
– À cause de ça, il faut se concentrer sur les objets des deux amis de Potter. J'ai pas encore réussi à percer le mystère du garçon, mais je crois avoir percé celui de la fille. Je me suis procuré une édition des contes de Beedle le Barde et j'ai commencé ma lecture. J'ai aussi lu un peu sur la vie de Dumbledore. Je ne me suis pas fié aux écrivains, je préférais lire le plus possible et voir ce qui réapparaissait le plus souvent. Vous avez déjà lu les contes de Beedle le Barde?
Tous hochèrent la tête sans hésiter. Ce livre pour enfant était tout simplement un classique de la littérature du monde des sorciers, bien que le public cible était assez jeune.
– Alors si vous l'avez déjà lu, ça veut dire que vous vous souvenez en gros des contes. Si je vous dis la légende des trois frères, ça vous dit quelque chose?
Encore une fois, la réponse fut unanime.
– Mais où est-ce que tu t'en vas avec tout ça? demanda Fred.
– J'y viens. Dans l'histoire, les trois frères demandent à la Mort chacun un artefact. Vous vous souvenez lesquels?
– Il y a la pierre de résurrection, répondit Kay en croisant les bras.
– La cape d'invisibilité, ajouta Molly.
– Et...?
Alex les regarda en fronçant les sourcils. Elle laissa ses mains tomber sur la table, créant un bruit sourd.
– Sérieux? C'est le plus populaire des trois! La baguette de sureau. Maintenant, Harry a bien une cape d'invisibilité?
– Oui, mais c'est courant, il faut seulement enchanter l'objet, argumenta Charlie.
– Vous avez déjà vu une cape d'invisibilité qui dure aussi longtemps? Elle a quoi, sept ans?
– Plus, commenta Lupin qui apparu dans le cadre de la porte.
Tout le monde autour de la table se tournèrent vers lui.
– Quoi? s'exclama Molly.
Lupin se gratta la tête.
– Je dis que la cape a beaucoup plus que sept ans. Voyez-vous, cette cape, elle était à James avant. Ça fait vraiment longtemps qu'elle existe et elle semble toujours aussi efficace, à ce qu'on dit, dit-il en s'installant autour de la table.
– Voilà qui est réglé, commenta Alex. La première relique. Maintenant, la baguette de sureau. En lisant quelques infos sur Dumbledore, j'ai découvert qu'il avait une affinité particulière avec Grindewalt. Ils avaient des buts assez sombres et un jour, les deux se sont séparés. Comme vous le savez tous, Dumbledore l'a défié et bla bla bla. Ce qu'on oublie souvent, c'est que Dumbledore n'a pas gardé sa baguette d'origine, il a prit celle que son ancien compagnon avait. Pourquoi? Son ancienne baguette aurait été bien mieux, elle aurait mieux obéi puisque rien ne dépasse le pouvoir d'une baguette d'origine. La seule raison pour laquelle Dumbledore aurait changé d'arme, ça serait que celle-ci soit anormalement puissante. En gros—
– La baguette de sureau, murmura Charlie.
Personne n'osait dire quoi que ce soit. Cette théorie était aussi farfelue qu'elle semblait être vraie. Peu de personnes croyaient en la légende des trois frères alors croire aux propos d'Alex était assez poussé. Pourtant, si tout cela était réellement vrai, que la baguette de sureau existait, que Dumbledore l'avait en sa possession, ça ne signifiait rien de bon.
– Oui mais quel rapport avec Harry? demanda George.
– Qui, dans ce monde, veut devenir plus puissant que quiconque?
– Vous-Savez-Qui, répondit Fred dans un murmure.
– Exact. Et qu'est-ce que Vous-Savez-Qui serait prêt à faire pour gagner cette guerre? N'importe quoi, dit-elle en répondant à sa propre question. L'existence de la cape d'Harry prouve que l'histoire des Reliques de la Mort est bien vraie, ce qui veut dire qu'il y a une baguette de sureau et une pierre de résurrection.
Arthur passa une main sur son visage.
– Et tu aurais une idée pour la pierre de résurrection?
– J'en ai une, mais elle semble invraisemblable. Le vif d'or. Je peux comprendre qu'il avait une valeur sentimentale, mais je ne crois pas que c'était le genre de Dumbledore. De plus, c'est bien prouvé, les vifs d'or ont une mémoire tactile. Peut-être que quelque chose est caché à l'intérieur, par exemple, une pierre.
– Tu es formidable, constata Charlie en laissant ses bras tomber le long de son corps.
Alex se tourna vers lui avec au visage un sourire éclatant et rempli d'une fierté non dissimulée.
– Ça m'arrive de le penser aussi, dit-elle en riant d'un air satisfait. Mais ce n'est pas tout! Voldemort a été battu, comment a-t-il fait pour revenir à la vie?
– Il n'était jamais mort, murmura Kay. Les horcruxes?!
– Exactement. Voldemort a séparé son âme pour être plus puissant, et Dumbledore le sait. Vous ne m'aviez pas dit que Potter avait battu un basilic grâce à l'épée de Gryffondor qui lui était apparu?
– Oui... murmura Fred. Il a sauvé Ginny.
– Eh bien cette épée est connue pour aspirer ce qu'elle touche. Dans ce cas-ci, du venin de basilic. Et qu'est-ce que ça fait du venin de basilic? Ça détruit les horcruxes. Ça explique pourquoi Dumbledore a légué l'épée à Potter. Ils ont la mission de détruire les horcruxes.
– Tu crois qu'il y en a plus qu'un? demanda Charlie.
– Le journal de Tom, qu'est-ce que c'était? Un horcruxe, évidemment! Alors ça veut dire qu'il y en a d'autres si Dumbledore veut qu'ils continuent, et je ne crois pas que le Seigneur des Ténèbres s'arrêterait à deux.
Lupin s'éclaircit la gorge et dit à voix haute ce que tout le monde pensait depuis le début.
– Alors maintenant on a au moins une idée de ce que Vous-Savez-Qui recherche et des outils que Harry a à sa portée... On sait également ce que les jeunes recherchent.
– Vous pensez qu'ils ont compris une partie de tout ça? demanda Molly d'un ton inquiet.
– Je pense qu'ils ont Hermione avec eux, répliqua jovialement Fred en passant un bras autour des épaules de Kay.
Cette dernière les regarda, le sourire aux lèvres. Elle pouvait le sentir, Harry, Ron et Hermione étaient sur la bonne piste et, quoi qu'ils faisaient, ils allaient y arriver. Cette bouffée nouvelle de confiance et d'espoir la ravigota et la remplit d'un espoir nouveau. Tout n'était peut-être pas perdu.
Quelques heures plus tard, la nuit tombait. Cette journée avait été différente des autres. L'espoir avait regagné leurs pensées. Ce n'était qu'une faible lueur, mais elle éclairait l'obscurité comme une étoile dans un ciel pollué. Ça faisait du bien à voir. C'est ce qui traversait l'esprit de Kay pendant qu'elle se brossait les dents. Peu de temps après, Fred attira Kay dans sa chambre et il baissa le ton de sa voix.
– J'en ai parlé avec George, mais ce que tu fais, c'est ton choix. Maman et papa ont décidé que si quelque chose devait nous arriver, on partirait chez tante Muriel comme elle nous l'a proposé au mariage. Par contre, moi et George on va retourner à l'appartement. On doit être capable de se rendre facilement à la radio sans courir trop de risque. Tu peux quand même partir avec mes parents si tu veux être plus en sécurité. C'est ton choix.
Kay n'hésita pas une seconde avant de répondre.
– Je viens avec toi.
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Salut les gens!!
Alors premièrement, je tenais à dire que je suis dégoûtée. Dégoutée de la façon dont Trump gère ce qui se passe en ce moment aux États-Unis. Ceux qui souffrent directement ou indirectement de cette situation, je suis avec vous❤️ C'en est assez. Cette doctrine qu'est le racisme est bien ancrée dans notre société et il est plus que temps que les gouvernements commencent à prendre des mesures en conséquence. Les injustices que subissent les noirs ne devraient plus exister, que ce soit de la discrimination directe ou indirecte. Ça va prendre du temps, mais j'espère pouvoir vivre dans un monde un jour où les noirs n'auront plus peur d'une voiture de police.
En ce qui concerne l'histoire, ce chapitre est l'avant-dernier! Eh oui, vous aviez bien lu. Plus qu'un chapitre à publier, et c'est fini. Merci à ceux qui sont encore là, vous êtes fous et loyaux et jvous adore!
A