Peau de Soukeye:
La porte de ma chambre s'ouvre sur ma mère . Elle ouvre les fenêtres.
Ma mère: ça fait deux semaines que tu es bizarre , tu sors tôt, tu descends tard, tu t'enfermes dans ta chambre. Que se passe t'il ?
Moi: rien je suis juste fatiguée mentis-je
Ma mère: hum dit-elle pas convaincue. Es tu enceinte Soukeye ?
Moi: maman. Comment peux-tu penser cela de moi ? Tu m'as bien éduqué, je ne te ferai jamais honte. Je suis toujours vierge, je ne suis pas enceinte.
Elle: hamdoulilah alors , prend ta douche et viens prendre ton petit déjeuner. Je t'ai fais des œufs.
Moi: hum d'accord
Cela fait des semaines que je suis bizarre , je m'enferme dans ma chambre pour pleurer. Il me manque tellement, je n'aurai jamais cru que je serai amoureuse à ce point un jour. Babacar est mon karma , je ne l'ai plus revu depuis la dernière fois. Il est en France actuellement d'après Mouhamed. Cela fait deux semaines aussi , je n'ai pas vu Dieynaba depuis lors et elle a tellement de problèmes que je ne peux pas la fatiguer avec les miens.
Je prends ma douche , m'habille et je pars prendre mon petit déjeuner. Tout le monde s'inquiète je dois me ressaisir. Je prends mon petit déjeuner dans la joie et dans la bonne humeur.
Mon père : ton cousin Seydou passera à la maison aujourd'hui.
Ma mère: ah bon ? Il faut qu'on lui cuisine un bon plat alors pour le déjeuner. Soukeye après tu pars au marché, tu vas cuisiner aujourd'hui.
Elle va encore essayer de tout faire pour que mon cousin me remarque pouf. Maman je suis amoureuse de mon patron , il me fait perd la tête.
Je pars au marché comme convenu et je prépare un bon yassa poulet avant de prendre une douche. J'ai porté une robe mais ma mère est venue dans ma chambre pour me demander de porter une taille basse.
Seydou Sow est le fils de la grande sœur de mon père. Il est né et a grandi aux États-Unis. Il passait ses vacances à la maison quand il était petit , c'est pourquoi ma mère est tout le temps de bonne humeur lorsqu'il vient.
Je me parfume et pars le saluer , il a trois ans de plus que moi.
Moi: Bonjour Seydou , ça fait longtemps dis-je en lui faisant la bise.
Lui: Hey cousine , tu as grandi. Tu as embelli ça va ?
Moi: merci oui ça va hamdoulilah et toi ?
Lui: ça va aussi dit-il en souriant. C'est vrai que ça fait longtemps.
Ma mère: vous avez grandi les années passent si vite. Soukeye va lui servir à boire , il fait chaud.
Moi: d'accord
J'emmène les boissons et lui sers. Nous avons passé une bonne journée en sa compagnie, ça m'a permis de changer les idées.
Seydou: je vais rentrer tonton.
Papa: reste ici, je ne sais même pas pourquoi tu as loué une maison alors que tu es le bienvenu ici.
Seydou: je ne voulais pas trop déranger en plus je suis venu avec quelques amis. Je vais les faire visiter le pays , j'espère que tu viendras avec nous Soukeye.
Ma mère: bien sûr in cha Allah
Seydou: trop cool , je vais prendre congés. Soukeye merci pour le déjeuner c'était délicieux. Ah j'ai oublié.
Il sort de la maison et revient avec des sachets sûrement des cadeaux. Il nous remet les sachets.
Nous: merci beaucoup Seydou
Mon père: il ne fallait pas te déranger juste ta présence me fait plaisir.
Ma mère: vraiment
Moi: il ne fallait pas
Seydou: ça m'a fait plaisir dit-il en souriant.
Il est tellement beau Seydou , plus beau que l'autre connard je ne sais même pas ce que je lui trouve vraiment.
Nous le raccompagnons à la porte.
Papa: la prochaine fois, viens avec tes amis.
Seydou: D'accord tonton in cha Allah. Soukeye ça te dirait un dîner après demain in cha Allah ?
Moi: euh je vais y réfléchir
Ma mère : Bien sûr qu'elle va venir , ne t'inquiète même pas.
Seydou me regarde et j'hoche ma tête. Ma mère est déterminée à nous mettre ensemble pouf.
Une fois à la maison, elle s'est fait réprimandé par mon père.
Mon père: je n'ai pas aimé , c'est comme si tu poussais Soukeye dans les bras de Seydou.
Ma mère: Les cousins sont faits pour les cousines. Elle se fait vieille fille , toutes ses camarades sont mariées et mères. En plus Seydou momeu gueuneul Jean Luc animou mom sakh ( En plus je préfère Seydou que Jean Luc . Oú est-il d'ailleurs ?) dit-elle en me regardant
Moi: On a rompu depuis longtemps dis je lasse
Mon père: Et beaucoup de ses camarades ont divorcé aussi. Ne lui met pas la pression, laisse la choisir son futur mari. Laisse les enfants.
Je prend mon sachet et pars dans ma chambre. J'ai mal à la tête.
...
Me voilà habillée , maquillée et dans la voiture de Seydou dans une direction inconnue.
Il y'avait de la musique américaine.
Moi: Tes amis seront là ?
Lui: Non , ils sont fatigués. Nous venons de Saly. Ils ont préféré se reposer, tu les rencontreras une prochaine fois in cha Allah.
Moi: D'accord
Son français a un accent anglais mdr.
Lui: you're beautiful Soukeye.
Moi: merci dis-je en souriant
Lui: En couple ?
Moi: célibataire
Lui: une si jolie fille comme toi . Pourquoi ?
Moi: c'est compliqué.
Lui: hum
Moi: Et toi ?
Lui: célibataire aussi , je sors d'une relation compliquée.
Moi: Je suis désolée pour toi
Lui: Don't worry. Ça va.
Nous avons parlé de tout et de rien , nous avons toujours été complice. Il me fait rire , il est tellement drôle Seydou.
...
Nous entrons dans un beau restaurant , je ne le connaissais pas sûrement un nouveau.
Moi: beau restaurant
Lui: c'est vrai , c'est un nouveau restaurant américain.
Il me tire la chaise.
Moi: merci
Il est galant aussi. Le serveur vient et nous passons nos commandes.
Nous avons mangé dans la joie et la bonne humeur. Á un moment je sens un regard sur moi , je lève la tête et je vois Babacar. Nos regards se croisent, il fronce les sourcils avant de continuer de parler avec la femme qui l'accompagnait, elle était de dos. Il m'a vite remplacé en plus il est au Sénégal depuis quand même ?
Seydou: ici la terre
Moi: désolée dis-je en riant
Je continue de discuter avec Seydou même si je sens le regard de l'autre mais je ne le calcule pas.
Après avoir mangé, nous nous sommes promenés avant de rentrer.
Moi: merci pour cette soirée inoubliable Seydou.
Lui: je t'en prie cousine. Salut la famille de ma part.
Moi: D'accord j'y manquerai pas.
Lui: Bon on s'appelle au revoir.
Moi: Au revoir
Je lui fais la bise et entre dans la maison.
...
Aujourd'hui je dois partir travailler, j'espère que je ne verrai pas Babacar.
J'étais un peu de bonne humeur grâce à Seydou , je dois démissionner et ouvrir mon institut de beauté. Je ne compte pas éternellement être une employée.
Je travaille tranquillement jusqu'à ce que ma secrétaire m'interrompt.
Ma secrétaire: Mademoiselle Diop , monsieur le PDG vous réclame dans son bureau.
Moi: Vous savez la raison ?
Elle: non
Je me dirige vers son bureau la boule dans le ventre et s'il me renvoie. Je n'ai rien fait.
Je prend l'ascenseur et une fois arrivée à son étage , je salue poliment sa secrétaire avant qu'elle me demande de patienter , quelqu'une vient d'entrer dans son bureau apparemment.
Je patiente et quelques minutes plus tard, la porte de son bureau s'ouvre sur une femme de teint noir. C'est celle avec qui , il avait dîné hier.
La femme: merci madame Seck dit-elle en s'adressant à la secrétaire en souriant.
Elle est très polie et belle aussi.
Elle me regarde , sourit avant de me saluer.
Elle: Bonjour
Moi: Bonjour dis-je avec mon sourire hypocrite.
Elle: Bon chewing-gum , je rentre mais tu passes dîner à la maison d'accord ?
Lui: je vais y réfléchir Aïda dit-il en soufflant.
Elle: tu n'as pas le choix, emmène Mouhamed il date.
Lui: je viendrai avec ce fou. Á ce soir , prépare mon plat préféré.
Elle: Mais bien sûr, bon je te laisse chewing-gum dit-elle en le serrant dans ses bras.
Il lui fait un bisou sur son front.
Lui: dégage maintenant. Á cause de toi personne ne me respecte dit-il l'air amusé.
Madame Seck: Vous êtes vraiment mignons ensemble.
Eux: merci
C'est sa petite amie et il tient à elle . D'oú le bisou sur son front . Madame Seck doit bien la connaître pour être aussi amicale avec elle. C'est moi la conne ici enfaite , il s'est bien joué de moi. Je suis tellement dans mes pensées que je n'ai pas vu cette Aïda partir. Babacar est dans son bureau je crois , même pas il m'invite à entrer. Trop impoli ce mec.
Madame Seck: mademoiselle Diop, entrez .
Moi: merci
J'entre et le vois debout en train de faire les cent pas , il a l'air stressé .
Moi: Bonjour monsieur Diouf , vous avez demandé à me voir.
Lui: Bonjour Soukeye , oui . Assois-toi s'il te plaît.
Moi: C'est mademoiselle Diop , monsieur et avec tout le respect que je vous dois , arrêtez de me tutoyer dis-je froidement.
Lui: Tu m'as vite remplacé dit-il en riant nerveusement.
Moi: ce n'est pas le sujet .
Lui: Il m'a fallu deux semaines pour me rendre compte que ce n'est pas un jeu. Je suis vraiment amoureux de toi dit-il en s'approchant de moi.
Mon cœur n'arrête pas de battre.
Lui: Aucun jour n'est pas passé sans que je pense à toi :si tu vas bien, si tu as mangé, si tu es passé à autre chose. J'ai eu un pincement au cœur en te voyant tourner la page aussi vite , assise sur une chaise dans un nouveau restaurant et en très bonne compagnie.
Moi:...
Lui: je suis désolé de m'être emporté ce jour là. Je ne voulais pas te blesser.
Moi: tu l'as quand même fait. Tu étais aussi en bonne compagnie hier.
Lui: ce n'est pas la même chose, c'était Aïda dit-il.
Moi: c'était Seydou aussi dis-je .
Lui: je veux du sérieux avec toi Soukeye. J'ai perdu. Je t'achète tout ce que tu veux.
Je me tais. Il s'approche de moi et m'embrasse. Je me déteste pour l'avoir répondu.
Je le repousse un moment. Je suis tellement faible lorsque je suis devant lui, je n'arrive pas à le repousser, á lui tenir tête et lui dire non.
Moi: c'est mal ce que nous faisons dis-je presqu'en larmes.
Lui: nous sommes des adultes princesse, ce n'est pas mal. Nous nous aimons , c'est tout. Regarde moi dans les yeux et jure moi que ce n'est pas réciproque, que c'était qu'un jeu.
Moi: je ne peux pas
Il m'essuie mes larmes .
Lui: une princesse ne pleure pas. Tu ne peux pas parce que tout simplement tu m'aimes.
Moi: mais c'est un amour impossible. Tout nous sépare. Je suis ton employé, nous n'avons pas la même classe sociale comme tu aimes si bien le dire et il y'a Aïda.
Je me dégage de lui , je veux partir mais il me retient.
Lui: je ne suis qu'un con et Aïda n'arrête pas de me le répéter. Tu es mon employé , on n'est pas de la même classe sociale et alors ? On s'en fout. En plus Aïda n'est pas un frein pour notre relation.
Moi: si elle a l'air gentille, tu ne dois pas lui briser le coeur...
Il rigole.
Moi: ce n'est pas drôle
Lui: c'est toi qui risque de me briser le coeur et de me rendre fou. Aïda est ma sœur jumelle si tu n'es pas au courant.
C'est moi l'idiote dans cette histoire.
Moi: c'est ta sœur jumelle ? Tu es un jumeau ?
Lui: oui dit-il . Tu acceptes de devenir ma petite amie ?
Moi: oui dis-je d'une petite voix.
Lui: parfait dit-il en me prenant dans ses bras. Tu sens bon.
Moi: merci toi aussi
Lui: merci. J'ai perdu , que veux tu que je te donne ?
Moi: ton coeur , je suis la première à avoir perdu de toute façon.
Lui: hum en parlant de cadeau dit-il en prenant un sachet qui était posé sur sa table.
Moi: c'est quoi ?
Lui: un cadeau , j'espère que tu vas aimer.
J'ouvre et c'est une chaîne en diamant. C'est trop jolie. Il a bon goût.
Moi: c'est magnifique mais je ne peux pas le prendre Babacar c'est trop...
Lui: si tu veux me faire plaisir, accepte le. Ce n'est rien pour moi, en plus je l'ai acheté pour toi. Viens je t'aide à le porter.
Moi: merci beaucoup dis-je en lui faisant un bisou sur la bouche. Je t'aime.
Lui: moi aussi. J'aurai dû t'offrir ce cadeau dés le début pour m'éviter tout ce discours.
Moi: j'allais te le jeter à la figure.
Lui: tu es trop sauvage mais j'aime.
Je pars me mirer et la chaîne est magnifique.
Moi: Babacar , regarde c'est magnifique dis-je toute souriante.
Lui: c'est toi qui est magnifique. Ta robe est un peu trop moulante à mon goût.
Moi: tes crises de jalousie commencent.
Lui: normal parce que tu es à moi. En parlant plus de Seydou.
Moi: weuh pourquoi ?
Lui: Soukeye je ne rigole pas dit-il sérieusement.
Moi: c'est mon cousin.
Lui: hum même s'il est ton cousin, je suis toujours jaloux.
Moi: c'est toi que j'aime. Bon je te laisse, je pars travailler.
Lui: d'accord bébé , on passe la pause ensemble.
Moi: oui bébé.
Lui: super à plus . Tu as oublié quelque chose.
Je pars lui faire un bisou sur la joue avant de partir.
...
Peau de Dieynaba :
Deux semaines de pures tristesse. Encore les cris , les insultes et les coups de Karim á supporter. Il m'a tellement frappé il y'a une semaine que j'avais un cocard sur l'œil gauche. Je ne pouvais pas fermer l'œil, je suis partie à l'hôpital et le médecin m'a conseillé de porter plainte mais j'ai menti en disant que j'étais agressée . C'est une honte pour moi d'admettre je suis battue par mon mari. Je suis faible mentalement et psychologiquement. Je ne suis pas sortie depuis lors prétextant une maladie á l'entreprise.
...
Maintenant ça va, je suis un peu guérie hamdoulilah.
Je pars dans la cuisine et vois Karim qui essaye de faire à manger. Il est en train de galèrer.
Moi: Bonjour , laisse je vais te faire à manger.
Il me regarde un peu surpris parce que je ne lui avais pas adressé la parole depuis deux semaines on va dire.
Karim: d'accord merci.
J'hôche la tête. Ramatoulaye n'était pas présente.
Karim: ton cocard ça va ? Tu n'as plus mal.
Moi: ça peut aller.
Karim: je suis désolé.
Moi: pourquoi es-tu si distante avec moi ? T'ai je offensé sans le savoir Karim ? Je te jure que je ferai des efforts. Je...
Karim: Tu ne m'as rien fait de mal. Je n'aime pas te voir souffrir et pourtant je suis le premier à te faire du mal. Dieu seul sait que je t'aime Dieynaba mais je ne comprends pas. Je ne me comprends pas.
Il s'approche de moi et me caresse le visage. Après il s'est éloigné de moi pour partir au salon. En temps normal, le Karim que je connaissais et qui m'aimait , allait s'asseoir à côté de moi pour m'observer même si on est en froid. Ce Karim est distant et froid comme s'il y'avait une barrière entre nous.
J'ai mis de l'huile sur le feu et en même temps j'ai bouilli de l'eau pour faire des pâtes. J'entends la sonnerie , c'est sûrement la sorcière qui vient de venir.
...
Peau de Ramatoulaye :
Cela fait deux semaines et rien ne marche cette femme est toujours dans cette maison. On dirait qu'elle aime souffrir en plus Karim qui ne veut pas la répudier. Le marabout m'avait dit que ça sera difficile de les séparer mais je compte passer à la vitesse supérieure tout de suite.
J'envoie un message à ma copine Kadi.
Je suis rentrée à la maison, envoie anonymement ces photos et vidéos que j'ai rassemblé sur le numéro de mon homme ( ********). Tu mets comme légende ta femme se fout bien de toi en te trompant avec ton cousin.
Elle me renvoie un message pour confirmer positivement. Kadi est efficace c'est ce que j'aime chez elle même si elle aime me contredire et essayer de me raisonner en faisant la gentille. Limeu sof si mom ( ce que je déteste chez elle).
J'allais le donner à un journaliste pour le mettre à la une des journaux mais Kadi a réussi à me raisonner.
Dieynaba Ndiaye l'épouse du milliardaire Karim Aïdara en train de tromper son mari avec son amant qui n'est personne d'autre que Babacar Mansour Diouf le cousin du richissime.
Non Kadi yakhalnama lou nekh.
Je pars m'asseoir à côté de Karim.
Moi: mon coeur ça va ?
Lui: hum dit-il concentré sur son ordinateur.
Il reçoit un message et dépose son ordinateur pour se concentrer sur son téléphone.
Son visage était rouge de colère.
Karim: la salope , je vais les tuer.
Moi: bébé . Loukhew ? ( Que se passe t'il ? )
Il se lève aussitôt et se dirige vers la cuisine. Je le suis avec mon gros ventre, je ne veux rien rater.
Karim: DIEYNABA NDIAYE , TU ME TROMPES AVEC MON COUSIN ?
Dieynaba : Quoi ? Tu es fou ou quoi .
Il la gifle . Elle se tient la joue.
Karim: Babacar Mansour Diouf , ça te dit quelque chose ?
Elle le regarde choqué.
Dieynaba : écoute, c'est juste un ... un ami Karim. On se voit dès fois rien de plus...
Karim: un ami dit-il en riant. Tu te tapes mon cousin en plus.
Dieynaba : c'est ton cousin ? Dit-elle perdue.
J'avais cette même réaction quand je l'ai sû Billay.
Karim lui montre des photos.
Elle: je ne sais pas qui nous a photographié mais c'est dans le but de nous séparer Karim. C'est juste un ami.
Karim: tu confirmes ces trois photos que vous étiez ensemble ?
Elle: oui
Karim: des balades sur la corniche, des dîners en tête à tête et tout...
Dieynaba : c'est juste entre ami dit-elle en larmes.
Moi: Ey Dieynaba, pourquoi trompes-tu Karim ? Qu'est-ce qui manque chez lui ? Dis-je pour empirer la situation.
Karim: La ferme Ramatoulaye.
Karim: Donc tu confirmes la photo où vous vous embrassez ? Mais bien sûr vu que tu as confirmé les autres.
Elle était étonnée, je suis allée faire un montage mdr pour aggraver la situation.
Dieynaba : c'est faux dit-elle
Karim s'approche d'elle et la tire par les cheveux dans le but de la frapper et elle résiste et je ne sais pas par quelle maladresse la marmite oú il y'avait de l'huile se verse sur son dos et elle hurle de douleur.
Dieynaba : AIE MON DOS
Karim: DIEYNABA
Il la prend en faisant attention de ne pas la blesser avant de l'emmener aux urgences.
Je retourne m'asseoir au salon. J'espère qu'il va la répudier après.
Kadi m'appelle.
Kadi: comment ça s'est passé ? Je suis curieuse.
Moi: c'était digne d'un film d'horreur sur Netflix. Il ne manquait que les popcorns dis-je en riant.
Kadi: tu es maléfique
Moi: je sais en parlant de ça, j'ai faim. Je te laisse. Je pars commander une pizza.
...