Le soleil pointe a peine de ses rayons le sombre ciel.
Il est tôt.
Très tôt.
C'est avec les yeux encore coller que je me levé pour une toilette qui est plus que bénéfique.
Mon corps est couvert de boue de la veille, sèche et dérangeante, et mes pieds sont couvert de terre et de poussière. Mes cheveux sont coller par la sueur de la nuit. Et mon linge....
Pire que d'habitude.
Je prend un sceau en bois et sort de mon abri.
Je ne vais pas vers le cimetière mais passe derrière ma maison.
Je récupère l'eau de la rivière et retourne a l'intérieur pour remplir une sorte de marmite cabosser.
Je refais ainsi plusieurs fois jusqu'a ce que la marmite soit remplit à plus de la moitié.
Je relance le feu au niveau de l'âtre.
Pendant que l'eau chauffe, je me permet de grignoter les quelque baie qu'il me restait dans une caisse briser.
Je ramasse les tissu sale et les place dans un coin de la pièce.
Il faudra que je les trempe pour les nettoyer.
Une fois l'eau assez chauffer je prend un bac pour le remplir et le sort dehors.
Je rempli également deux sceau de bois et les place vers le bac.
Je soupire.
Encore une dure journée en approche.
Mais je ne put que sourire bêtement, en plongeant mon maigre corps dans le bac a l'eau tiède.
Un statuette.
Déjà que j'avais été emplie de joie en la trouvant.
Mais en plus encore avec une âme de protecteur présente a l'intérieur.
Mon cœur avait fait un bon quand le moine me l'avait dit.
Enfin....
Peut être que tout ira mieux maintenant.
Je décrasse mon corps et mes cheveux du mieux que je peux.
L'eau est tellement noir... je sort de l'eau devenue froide et me rince avec l'eau claire des sceau.
Le soleil est a présent bien apparent dans le ciel. Je rentre dans ma cabane, nue et tremper mais propre. Je me sèche et me vêtit d'un vêtement rêche et trouée par endroit.
Mon regard ce pose sur la statuette au sol près de ma couche.
Elle est si belle.....
Je me demande a quoi ressemble l'esprit dont elle est investit.
Je récupère de quoi faire et me met a nettoyer la statuette.
Je passe avec délicatesse un tissus sur la roche, retire la plaque d'amulette en bois des pattes sculpter et la pose plus loin.
Je retire également le tissu abimer du cou du chien de roche.
Une fois le chapelet en bille d'argile retirer, je laisse mes doigt glisser le long de la pierre lisse. La pierre est comme poli et est douce au toucher. Je ne peut m'empêcher de caresse la pierre tant la sensation est agréable....
Puis mes doigts se heurte a quelque fissure et accro dans la roche....
Abimer, comme moi....
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L'esprit du chien rouge
FanfictionDepuis que je m'occupe des morts, je suis un paria. Personne pour venir me voir. Personne pour me parler. Personne pour me dire que prendre soin des défunts était noble. Personne... sauf lui.