Chapitre 15- Abusion

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Son pantalon qui est toujours baissé me laisse voir son membre, il se relève très difficilement et lentement  à l'aide du pied de la table tout en tenant sa blessure, il me fusille du regard.

Ce qui m'énerva encore plus...

– Petit fils de pute, lui crachai-je en le regardant avec haine.

Il me fixe toujours, avant de voir apparaître un petit sourire sur ses lèvres.

– Ah ah ah...les détenus sont bonnes à Rikers Island !

Il me provoque...

C'est parfait...

Mon sang ne fait qu'un tour avant que je ne m'approche de lui dangereusement, arriver à sa hauteur je m'accroupit face à lui et lui agrippe férocement les cheveux pour que son visage sois bien tourné vers moi.

Je veux qu'il me regarde, je veux voir l'expression de son visage.

– Les détenues sont bonnes tu dis ?
Dit-je entre les dents.

J'empoigne d'une main sont membre et le serre le plus fortement possible, je le presse tellement, jusqu'à se que la douleur sois insupportable pour lui.

Toujours le regard droit dans le sien.

Son visage se déforme, il veux hurler mais il ne le peux pas... Je continue de presser ce bout de chair qui à servie d'engin reproducteur.

Je savoure cette instant de vengeance qui a un goût exquis.

Soudain des gardiens font irruptions en déboulant dans la pièce, ils me saisissent les bras.

– lâchez moi putain !! laissez moi l'achever !! Criai-je en me débattant.

– qu'est-ce que t'a encore fait hein ?!!
Me cri un des gardiens que je reconnais bien. Ils me plaquent au sols et me menottes les bras derrière le dos.

– Putain lâchez moi ! VOUS SERVEZ À RIEN DANS CETTE FOUTU TAULE !! ME TOUCHEZ PAS !

J'en est vraiment marre. Ces gardiens me dégoûte au plus au points, tous sans exception !

- Calme toi et laisse toi faire ! Me dit un autre.

- JAMAIS ! Hurlai-je.

Je n'arrive pas à me calmer, se que j'ai vue et beaucoup trop pour moi. J'ai toujours était enfermé dans le manoir, je n'ai jamais vraiment pris conscience de se qui se passai dans le monde. J'ai déjà entendu parler de cas de viol plus d'une fois à la télé...mais lorsque tu vois ça en réalité, c'est d'autant plus horrible.

Les gardiens essaye de réanimer la femme qui c'était faite violer, car elle s'est évanouie. D'autre sont en train d'évaluer la pièce et les trois hommes à terre.

Quand t'a moi deux gardiens m'emmène hors de la pièce en tenant fortement mes bras, car je ne cesse de me débattre en hurlant.

Nous empruntons des couloirs, toujours sois mes cris incessant. Je me débat, je dois y retourner, je dois le massacrer plus que je ne l'ai déjà fait. Je dois venger cette pauvre femme qui s'est faite pénétrer sans consentement.

RIKERS ISLAND Où les histoires vivent. Découvrez maintenant