Chapitre 15- Abusion

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Je fixe la porte de façon étonné et curieuse. Les gémissements deviennent plus régulièrs et fort mais reste tout de même étouffé.

Je me rapproche doucement de la porte et agrippe la poignée silencieusement, d'un mouvement lent et discret j'ouvre la porte de quelques centimètres à peine...

Me laissant entrevoir l'intérieur du précaution.

Mon corps entier se fige la seconde d'après.

Quatre gardiens sont autour d'une table sur laquelle une femme est plaqué sur le ventre. Un des gardiens est entrain de la prendre par derrière, le pantalon complètement baissé, les trois autres lui tiennent les bras.

Elle agonie sous un tissu qu'on lui a mis entre les dents afin d'étouffer ses cris.

Mon dieu...

– Alors...t'aime ça hein, dit l'un des gardiens à l'égard de la femme.

Cette dernière est presque nue, c'est une détenus !

Bordel !

Une colère immense survient alors, une colère insatiable. J'en est le souffle coupé. Mes poings se serrent, je contracte fortement ma mâchoire. Je sens mes veines remonter dans mon cou.

Tout ça...c'est trop.

J'ouvre soudainement la porte tel un fracas et la balance contre le mur, les quatres gardiens tournent tous subitement leurs têtes vers moi.

– Ça vous allez le payer...dit-je d'un ton extrêmement rauque.

Je m'élance avec vitesse vers le gardiens qui est entrain de prendre la femme, je saute et lui assène un coup de pied vif et brutal à la tête le faisant valser au sol, il s'écroule à terre la seconde d'après.

Les trois autres gardiens répliquent immédiatement.

Je donne un énorme coup de poings au visage de l'un d'entre eux. L'autre allai me donner un coup également mais je l'esquive et lui assène un coup de pied monumentale à la tête.

Il réplique et je me prend alors un coup...

Un deuxième coup...

Un troisième...

J'esquive le quatrième avant de prendre sa tête et l'éclater contre le mur à quelques centimètres, il saigne comme un porc. Il sont peut être plus massif er plus grand ce qui me met en désavantage, mais dans mon état je serai prête à tout. J'ai beaucoup trop de rage en moi à cette instant précis...

Mon coeur bat si vite et si fort, mes muscles tous aussi contractés...

Je fini par choper la matraque d'un d'entre eux et les assomme sans pitié à la tête. J'ai était très brutal...et tant mieux...

Je balance la matraque au sol avant de me retourner et remarquer qu'il manque un gardien. Je fronce des sourcils.

Il a dû s'enfuir.

Je me tourne vers la femme toujours allongé sur le ventre sur la table, pleurant silencieusement, je me tourne à présent vers le gardien qui était littéralement entrain de violer cette femme il y a quelques instants, il saigne et se tient toujours par terre,il est conscient.

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