- 𝐎𝐏𝟖𝟏 ; Oscar et Romane
Le bruit des vagues et
les lever de soleil,
encore un peu bourrés.
L'écho de ton rire et
celui de ton cœur,
restent mes préférés.
20.07.2024 - 20.09.2024
Cette histoire n'est pas une chronique.
[terminée, en sessi...
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ও ROMANE — 2024 | Hongrie
Je fronce les sourcils en entendant un son qui résonne sans cesse, un bruit de protestation s'échappe de mes lèvres. Je tâtonne la table de nuit à la recherche de mon téléphone mais la sonnerie s'arrête, je relâche mon bras dans le vide.
— Tu vas être en retard mon cœur.
Les mains chaudes d'Oscar balaye mes cheveux et dépose des baisers sur la ligne de ma nuque. Les muscles de mon dos se détendent et un frisson parcours mon échine.
— Hm, vais avoir très envie de bouger si tu continues... dis-je la joue contre l'oreiller.
Le souffle de rire d'Oscar glisse contre la peau de ma nuque. La chaleur de son corps s'écarte subitement, je tourne la tête et récupère sa main dans la mienne pour qu'il revienne.
— Je t'ai pas dit de partir... je veux un câlin, s'il te plaît.
— Tu sais que tu n'as pas le droit d'être ici, souffle-t-il contre le haut de mon crâne.
Il dépose un baiser sur mes cheveux et je pose ma joue contre son torse, un bras autour de son ventre. Les bras de mon amoureux se resserrent autour de mes épaules, une nuit dans ses bras c'est vraiment pas assez à mon goût.
Je pense être sincèrement accro à la chaleur de sa peau contre la mienne...
J'hume doucement sa peau, un mélange de son gel douche et de mon parfum. Mon odeur préférée.
— Je sais, dis-je avec un sourire sur le bout des lèvres, les paupières closes. Amaya n'a pas le droit d'être ici, aussi.
Il pouffe de rire et je passe mes doigts sur la peau de son bras qui se contracte doucement sous mon geste.
Les doigts d'Oscar poussent mes mèches de cheveux vers l'arrière de ma tête et ses doigts filent entre mes mèches de cheveux.
— On est obliger de se lever, aujourd'hui ? Je demande.
— Non, Lando va piloter nos deux monoplaces. On peut rester ici tous les deux.
Je pouffe de rire et ouvre les paupières. Je passe délicatement mes doigts sur ses cotes.
— Tu ressens encore des douleurs ? Je demande et relève mon visage vers le sien.
