31- une peur bleue

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Pdv Ezyo

Isaï n'attend pas une seconde de plus est entre dans la chambre d'hôpital en armant son arme suivie par nous tous hormis sa compagne et sa fille.

On fouille la chambre jusqu'à ce que j'entende lourde derrière la porte d'entrée.

Je pointe mon arme en direction de la porte et la pousse violemment. Avant que je ne puisses voir quoique se soit la personne saute sur moi est m'immobilise au sol quand mes iris rencontre les siens nous réalisons tous les deux et elle me relâche immédiatement.

Ivyna se tient debout devant nous avec du sang sur le corps à cause des perfusions qu'elle a arraché je constate également qu'elle sait desintubé toute seule.

- Ezyo je suis désolée je ne savais pas que c'était je pensais que Carlos avait réussi à me récupérer... Dit Ivyna sa voix se brise légèrement à la fin

Je l'attire doucement et hume ses cheveux noirs.

- Nos entraînements t'ont été bénéfique je suis content, mais va te rallonger s'il te plaît.

Elle me repousse violemment et s'éloigne:

- J'en ai assez d'être cloué au lit ! Je ne sais même pas quel jour nous sommes !

- On est le 23 décembre, dit Isaï qui s'approche de sa vie. S'il te plaît trésor assis toi j'ai deux personnes à te présenter et c'est important.

Confuse elle fronce les sourcils en gardant une certaine distance avec son père mais elle fini par s'assoir sur son lit d'hôpital.

À ce moment Ava pénètre dans la pièce suivit par sa mère:

- Papa ! Crie la petite. C'est elle ma grande sœur ? Elle est belle.

À l'entente de ses mots je vois le visage d'Ivyna se brisé.

Pdv Ivyna

Papa ?

Mon corps est lourd j'ai l'impression de fondre dans le matela, pensant avoir mal entendu je pivote vers mes frères qui m'offrent un sourire confus ils craignent de toute évidence ma réalité.

Mon père a refait sa vie ? Pendant que moi je souffrais ?

La trahison est le seul sentiment que je ressens pour l'instant pas envers mon père mais mes frères aussi ils ne m'ont rien dit.

Je fixe un moment la petite fille qui se cache dans la robe de sa mère.

Une petite blonde aux yeux bleus cristal. Je passe les yeux sur tout son corps.
Aucune rune.

Je regarde mon père et mes frères la petite ne ressemble à aucun de nous.

Nous avons les cheveux noirs et les yeux émeraude ou violets, de plus elle n'a pas hérité des runes impossible que se soit vraiment sa fille.

J'aurais voulu poser la question immédiatement pour savoir comment sait possible mais je ne le ferai pas devant la petite. Ils ont peut-être des choses à me dire qu'elle ne doit pas savoir.

La petite fille ose enfin sortir de sa cachette et avance vers moi:

- Je peux venir te faire un câlin s'il te plaît grande sœur ? Me dit elle avec une bouille adorable.

Grande sœur.
Ce surnom fait battre mon coeur plus vite.

Même si je ne l'a connais pas sa douceur donne envie de la protèger de tous ce que le monde à de plus cruel.

the bloodline (en réecriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant