Chapitre 57 : Poufsouffle

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//rappel du dernier chapitre (parce que ça fait longtemps): le trio et [y/n] viennent de trouver la premiere boite du puzzle pour ouvrir la fameuse boite//
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« Mais t'es folle ça va jamais etre faisable, lanca Harry me coupant dans ma phrase.

- Je suis folle ? Je suis folle ? Répétai je agacée, tu vois une autre issue peut être ? »

Un silence suivit ma phrase, il nous fallait agir au plus vite.

« [y/n], repris calmement Hermione, on accepte... mais seulement si on t'accompagne dans tout-...

- Il en est hors de question, vous n'allez pas risquez vos vies, ou pire votre scolarité pour un de mes problèmes.

- Tu ressembles trop à Harry sur ce point, dit elle.

- Lequel ? La scolarité te ressemble plus, intervint Ron avec un léger rire. »

Il n'avait pas tord. J'allais intervenir à mon tour quand l'horloge sonna 3h. Il fallait prendre une decision et vite.

« Bon vous venez, et pas un mot à mon frère. »

Ils acquiescèrent tous.

« Donc résumons, demain on va aux Cosy Hour de Poufsouffle, et je m'arrange pour qu'on se fasse inviter par les Serpentard. Pendant ce temps la Hermione tu vas voir Kali ou Mia, et tu t'arranges pour qu'on puisse aller réviser avec elle dans leur salle commune, chez les Serdaigle . »

Elle hocha la tête puis on parti tous dans nos dortoirs. Le sommeil risquait de mettre du temps à venir ce soir.

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Il faudra le détruire, tu es la seule à le pouvoir, tu le sais.
Le serpent l'a dans les dents, tu l'as dans le coeur, détruit le.
Après la reconstitution de la clef, la destruction ou la guerre.

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La voix celle d'un homme, je l'avais déjà entendu... mais où ? Pas comme ça, en vrai... bienveillante... je devais l'écouter.

Après une nuit encore bien agitée, Hermione me réveilla et on alla se préparer.

La phrase tournait en boucle dans ma tête et comme d'habitude, je n'en parla pas. J'avais compris ce qu'elle voulait dire, enfin une partie tout du moins.

Après avoir salué tout le monde, on alla en cours.

Je n'arrivais pas à être concentrée durant les cours, le manque de sommeil et le stresse n'aidait pas. Mes amis avaient remarqué mon état, et bien qu'ils essayaient de me faire sourire, il n'y avait rien a faire, je tirais ma gueule, avec un sourire de temps à autre.

Quand l'heure du repas arriva, j'attrapai quelque sandwich et parti me caller dans les gradins de quidditch, seule.

Les quelques élèves à passer ne me remarquaient pas et cela m'arrangeait. Le paysage était vraiment incroyable, je me sentais loin de tout et j'aimais ça. Cependant, je me sentais aussi coupable d'avoir laissé mes amis et d'être parti sans aucune explication alors qu'ils avaient toujours là pour moi. Mais une chose était sûre, ils comprendront.

J'allais redescendre quand j'entendis des pas montés dans l'escalier.

Je ne bougea pas m'attendant à entendre la voix de madame Bibine, me réprimander parce que "je devrais être avec les autres".

A la place ce fut une main qui m'agrippa les hanches et des jambes qui vinrent se mettre à coté de moi.

« Je vous ai manquer princesse, dit George de son ton charmeur. »

La lettre du ministèreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant