𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟒

                                    

                                          
↫↫↫↫↫ Le lendemain↬↬↬↬↬
Makino était partit en courant vers la maison du maire pour l'avertir de la situation.
ღღ╭⊱ꕥ PDV LÉA : ꕥ⊱╮ღღ
Chef brigands des montagnes : On était juste passé boire un tonneau ou deux à la taverne, je peux savoir ce que tu me veux ?
Luffy : Oui tu t'es moqué de mes amis pirates alors tu vas leur faire des excuses immédiatement !
Chef brigands des montagnes : *lui écrase son pied sur la tête*
Mais oui c'est ça, tu prends tes désirs pour des réalités, ces pirates ne sont que des mauviettes.
Moi : Lâche mon frère tout de suite !
Brigand : Dégage de là la mioche, c'est pas tes oignons. * Me donne un coup de pied qui m'expulse loin de Luffy*
Luffy : C'est pas vrai retire ça tout de suite !
ღღ╭⊱ꕥ PDV MAKINO : ꕥ⊱╮ღღ
Makino : Monsieur le maire !
Je lui raconte la situation et nous partons en courant vers là où se trouve Luffy et Léa, les pauvres, j'espère qu'il ne leur est rien arrivé de grave...
DANS LE PASSEY
ღღ╭⊱ꕥ PDV LÉA : ꕥ⊱╮ღღ
Brigand 1 : Haha, vous vous souvenez d'eux, ils me font bien rire ces pirates, de vrais femmelette.
Brigand 2 : Ouais c'est qu'une bande de froussard, y en a même pas un qui s'est levé pour se battre.
Chef brigand des montagnes : Ces pirates ne sont que des poules mouillées, que du vent.
Luffy : Taisez vous ! Arrêtez de vous moquer de Shanks et de son équipage, c'est pas des poules mouillées, ils sont très courageux !
Moi : Il a raison ! C'est vous les faibles dans l'histoire, vous allez regretter ce que vous leur avez fait !
Makino : Je vous en pris Léa et Luffy, n'aggravez pas votre cas...
Luffy : Vous n'êtes qu'une bande de minables brigands des montagnes, Shanks ne méritait pas d'être humilié comme ça !
Moi : Shanks est un homme d'honneur, il ne mérite pas que vous lui adressiez la parole ! 
DANS LE PRÉSENT
Le maire et Makino arrivèrent là où moi et Luffy nous nous trouvions.
Moi : Lâches Luffy immédiatement ! *Me relève et m'avance vers eux*
Chef brigand des montagnes : *me prend par le cou et me soulève jusqu'à la hauteur de son visage*
Écoutez les mioches, personne n'ose me parler sur ce ton, ma patience a des limites et j'en ai ma claque que des moustiques comme vous me tourne autour. Je ne laisse jamais en vie ceux qui me mettent en colère.