Chapitre 12 : La fin de l’enquête.
Quelques instants après l’incident avec Finnick, Nicholas finit par réunir l’ensemble des passagers de la voiture Zootropolis dans le salon en compagnie de Judy et du Dr Constantine.
La nuit était tombée et l’intérieur du wagon était illumine par les petites lampes qui se trouvaient sur des petites tables a cotes des fauteuils ou se trouvaient les mammifères suspect en restant silencieux avant que Judy prenne la parole.
Judy Poirot : Vous devez vous demandez pourquoi vous êtes tous réunis ici ? Probablement pour trouvez le coupable qui a commis un meurtre a bord de ce train ?
Il y a que 2 possibilités, la première est qu’un mammifère inconnue est monté a bord lors de l’arrêt a Tropical-city et qui c’est déguisé en mouton contrôleur avant de poignarder Casseti et de s’enfuir par la fenêtre.
Nicholas Bouc : Non cela n’a aucun sens il serait impossible de sortir du train dans un blizzard pareil et si c’était le cas comment le kimono rouge s’est retrouver dans ta valise ?
Judy Poirot : Ce qui mène alors a ma deuxième théorie, l’assassin est l’un d’entre vous. Mais en examinant les blessures sur le corps nous avons remarquer qu’il y a des blessures profondes et moins profondes qui ont été faites par un droitier et un gaucher, ce qui nous amène a deux assassins, peut être a un homme ou une femme.
Vous pensez qu’il s’agit de M. Finnick ? Figurez vous qu’il y a quelques minutes il a essayé de me tirer dessus, mais j’ai bien analyser la situation et j’ai déduit qu’il a fait exprès de me manquer, car la ou il se trouvait il avait toutes ses chances de me descendre. (Elle se tourna vers Finnick) Et j’ai compris qu’au fond de vous M.Finnick vous n’etes pas un tueur, mais cependant il manque des informations a votre récit, et cela ne veut pas dire que vous n’êtes pas appliqué dans cette histoire.
( elle se tourna vers la comtesse)
Madame la comtesse je désirais connaître le nom de votre gouvernante ?
La comtesse Skye Andrenyi : Elle s’appelait madame Armadillo, c’était un tatou qui portait des lunettes.
Judy Poirot : Mais mademoiselle Gazelle ne porte pas de lunettes et encore moins n’est pas un tatou !
Mary Gazelle : Je ne comprends pas mademoiselle Poirot, pourquoi vous faites allusion a moi ?
Judy Poirot : Il y a une boutique qui se situe en Angleterre qui est très célèbre et qui s’appelle Gazelle & Armadillo. Et cela n’a pas empêcher a la comtesse de donner un nom pour cacher le nom de la gouvernante qu’ elle a eu et qui fut ensuite celle de la petite Cotton Amstrong n’est ce pas mademoiselle Gazelle ?
Mary Gazelle se mit a regarder le sol en restant silencieuse tandis que le colonel Bogo se mit près d’elle pour la réconforter.
Judy Poirot : Et j’ajouterais également que le véritable nom de la comtesse n’est pas Goldenberg, mais Goldenstein, la fille survivante de Linda Goldenstein.
La comtesse commençait a se sentir mal a l’aise et son époux se mit en colère.
Le comte Jack Andrenyi : Je vous défend d’accuser ma femme de ce meurtre a bord, c’est moi qui ait trafiqué son passeport pour lui éviter l’embarras.
La comtesse Skye Andrenyi : Il est vrai que c’est un sacre hasard que je me suis retrouver a bord du train avec le meurtrier de ma nièce, mais je ne l’ai pas poignarde je vous le jure.
La princesse Dragomiroff : J’ai également conserve l’identité de Skye pour lui éviter l’embarras moi aussi.
Judy Poirot : Ah ce que je vois vous vous connaissez votre altesse, il est évident que vous vous connaissiez puisque vous êtes amie avec sa mère. Et je me souviens que Mme Otterton m’a dit que vous aviez perdu un bijou, est ce que le bijou en question ne serait pas une épinglette a cravate ?
La princesse Dragomiroff : Oui elle est a moi, ou plutôt a mon père, le prince Vladimir Dragomiroff que tout le monde le surnommait « le Prince Big » l’utilisait comme un sceptre, mais cela dit j’ignore comment il s’est retrouver dans le compartiment de Casseti ?
Judy Poirot : Au contraire je crois que vous le savez, figurez vous que j’ai remarqué qu’il y a bord de ce train beaucoup de personnes liées aux Armstrong ou a l’affaire de Casseti.
Avant de vous retrouvez ici j’ai pensée comme une réalisatrice de film ou je vous ait donné chacun un rôle et le résultat était satisfaisant et m’a montrée un mobile pour chacun de vous dans ce meurtre. M.Finnick, votre père était le juge qui devait envoyer Casseti a la mort mais le chantage qu’on lui a fait la poussé a mettre la police sur une fausse piste et de laisser ce bélier s’enfuir sous le nom de Doug. M.Koslov étant un valet de chambre bien élevé, je vous vois très bien comme étant le valet du colonel Stuart Armstrong après lui avoir servi d’ordonnance dans l’armée avant de le suivre aux États-Unis. Nous avons la plus grande admiratrice de Linda Goldenstein qui est devenu la marraine de sa fille Marian morte sous le choc d’avoir perdu sa fille et en perdant par la même occasion son deuxième enfant a cause d’une fausse couche, et votre femme de chambre Mme Otterton, je ne peux imaginer qu’elle était autrefois la cuisinière des Armstrong. Mlle Bellwether vous étiez la nurse de la petite Cotton Armstong et que vous êtes défendu comme une lionne pour essayer de sauvez la petite de ses ravisseurs, (Mlle Bellwether regarda le sol restant silencieuse), il y a également le colonel Bogo qui était le frere d’armes du colonel Armstrong et qui était pour lui un ami dévoué et qui se retrouve actuellement avec miss Gazelle qui était la gouvernante de la petite Cotton après avoir été celle de sa tante la comtesse Andreyeni et qui a épouser un homme qui est prêt a tout pour la défendre. Puis M Manchas ici présent étant un vendeur de voiture qui s’y connaît très bien en ce qu’il vend, il est probable qu’il était le chauffeur des Armstrong. Le détective de Pigerton M Gideon Hardman qui le soi-disant detective garde du corps de M Doug, mais cela est un mensonge car s’il il a déjà un detective, pourquoi notre victime chercherait t-il a m’engager ? Il autrefois un officier de la police lors de l’affaire Armstrong et qui a quitté son poste après avoir perdu le mammifère qu’il aime, car dans cette tragédie il y a eu une autre victime qui était la bonne française accusée a tort d’avoir été complice dans l’enlèvement de la petite avant de se suicider par désespoir avant d’apprendre qu’elle était innocente,mais cela surtout chagrine un père aimant sa fille qu’il a adopter malgré qu’il ne sois un guépard français qui lui a donné un nom Sharla Michel,( Clawhauser fouilla dans sa poche et trouva une photo de lui et sa fille en la regardant tristement).
Mais celle qui a le plus souffert dans cette histoire est la mère de Marian Armstrong, la belle-mère du colonel Stuart Armstrong et la grand-mère de Cotton Armstrong Linda Goldenstein connu sous le nom de Linda Hopps qui a quitter très vite la scène après cette tragédie mais qui a décider de revenir pour une ultime représentation en revenant sous les traits d’une lapine sous le nom de Bonnie Hubbard.
(Mme Hubbard sortit un mouchoir et commença a frotter sa joue droite révélant une fourrure blanche qui montre que sa fourrure grise n’est que du maquillage.)
En général se train n’est pas complet en cette saison, mais pourtant il est plein a l’exception d’une passagère qui n’est jamais arrivée a temps car cette mademoiselle Harris n’existe pas et qu’elle n’a été qu’une excuse pour éviter que le meurtrier ne soit dérangé, mais malheureusement il se trouve que j’ai prit cette place et le crime aurait été parfait si il n’y avait pas eu l’arrivée du blizzard qui a du obliger le coupable a faire l’apparition de personnes mystérieuses comme la femme au kimono-rouge ou le mouton conducteur et de laisser des indices pour faire penser que le ou les tueurs sont un homme, une femme ou même les deux. Le cri que j’ai entendu l’autre soir ne pouvait pas provenir de Casseti puisqu’il était sous l’effet du barbital donc quelqu’un d’autre a crier a a place et sachant que monsieur Doug ne parlait que la langue nordiste alors pourquoi a t-il fait des excuses a monsieur Michel avec un accent sudiste, j’en déduit donc que c’est monsieur Hardman qui a pu produire ce cri puisqu’il est le seul a parler avec un accent sudiste . Mais son alibi est confirmée par monsieur Manchas et comme tous les autres, il est en béton. Mais si nous n’avons pas eu de passager clandestin a bord et que vous avez tous un alibi cela veut dire que quelqu’un a changer l’heure de la montre avant de la cassée afin que tout le monde croit que Casseti a été tué a 1H45 alors qu’il a été tué bien plus tard au moment ou il n’y a aucun alibi. Et nous avons retrouver l’épingle a cravate de la princesse et un cure-pipe du colonel Bogo dans le compartiment de M. Doug. Mais je me suis aussi rappelé de ce que le colonel m’a dit tout a l’heure quand j’étais dehors avec lui, il a dit qu’il préférerait les châtiments légaux avec un jury de 12 personnes plutôt qu’a la vengeance, et cela ma mis la puce a l’oreille, nous avons retrouvés douze blessures sur le corps de monsieur Doug et nous avons douze passagers. Ce crime ne pouvait être qu’accompli que par vous tous formant ainsi un jury qui a condamné Ramsès Casseti a mort.
Maintenant imaginer la scène de la mort de Casseti.
M. Koslov entra dans le compartiment de son patron avec un café dans la main. Il toqua a la porte, M Doug lui donna la permission, il ouvra la porte et trouva le bélier assis sur son lit dans sa robe de chambre marron au dessus de son pyjama bleu entrain de regarder quelques documents.
Edward Koslov : Voici votre café M Doug.
Samuel Doug : Merci Edward, vous pouvez disposer.
Edward Koslov : Merci monsieur, Bonsoir monsieur Doug.
L’ours polaire déposa la tasse de café remplit de barbital sur la table de nuit,se retourna et sortit du compartiment et monsieur Doug le suivait afin de refermer la porte du compartiment, Quand lorsqu’il vit Judy s’avancer dans le couloir pour atteindre son compartiment avant de fermer la porte et de mettre la chaînette afin que plus personne ne puisse entrer dans le compartiment.
Il s’approcha de sa table de nuit et prit la tasse et commença a boire la mixture jusqu’à ce qu’elle soit vide.
Il redéposa le mug et commença a s’allonger sur son lit tout en attrapant son porte-document et sortit une lettre et déposa le porte-document sur le sol tout en regardant la feuille devant ses yeux. Il s’agissait de l’une de ces lettres de menaces. Sur le papier il était écrit « Vous avez du sang de Cotton Armstrong sur les mains vous mourrez pour cela » ! Tout a coup le bélier commença fermer les yeux tout en essayant de résister au effet du barbital, mais rien n’y fait et succomba au sommeil.
Quelques instants plus tard, le renard détective entra dans le compartiment en passant par celui Mme Hubbard afin de vérifier si tout est en place. Voyant le bélier endormit, il récupérera la lettre et alluma une allumette afin de la faire brûler, et la déposa dans le cendrier qui est sur la table de nuit et trouva la montre de Casseti dans la petite poche sur le torse et la régla a 1h15, l’heure ou tout le monde a un alibi qui ne soupçonnerais personne et la casse avant de la remettre dans la poche.
Après cela, il prit une grande respiration avant de crier et d’appuyer sur la sonnette pour appeler M. Michel qui était revenu de la voiture d’Oasis-Ville après avoir discuté avec ses collègues.
Le ci attira l’attention de Judy qui regarda a travers la porte de son compartiment et le guépard conducteur s’approcha de la porte de M. Doug et frappa.
Benjamin Michel : Monsieur Doug ?
Gideon Hardman : Ce n’est rien je me suis tromper.
Benjamin Michel : Bien, monsieur.
Michel retourna a son poste tandis que Judy retourna se coucher. Au même moment M Hardman sortit du compartiment de madame Hubard pour aller chercher l’uniforme du mouton conducteur cacher dans le compartiment de M Finnick.
Il arriva au compartiment et trouva M Finnick tenant le deguisement dans une patte tandis que l’autre tenait une petite bouteille de bourbon.
Gideon Hardman : Monsieur Finnick.
Le petit fennec fut surpris par l’arriver du renard qu’il renversa quelques gouttes de bourbon sur l’uniforme.
Hector Finnick : Vous m’avez fait peur monsieur Hardman.
Gideon Hardman : Désoler, mais nous avons besoin de l’uniforme pour notre plan.
Hector Finnick : Il est prêt et j’ai écrit un faux message avec le plan de la voiture de Zootropolis afin de faire croire qu’il s’agit d’un passager clandestin dans ce meurtre, puis je l’ai déchire en petit morceaux et mis dans la poche avec le passe de conducteur.
Gideon Hardman : Parfait monsieur Finnick.
Monsieur Hardman prit le vêtement au fennec et s’en alla dans le couloir, il s’approcha du compartiment de madame Hubbard et de Michel a qui il donna le bouton et continua son chemin.
Le guépard entra dans le compartiment de madame Hubbard qui l’attendait et déposa le bouton sur le sol montrant a la lapine de se prépare a jouer son jeu d’actrice.
Madame Hubbard prit une grande respiration et se mit a sonner plusieurs fois la sonnette pour attirer le guépard avant de dire son texte.
Bonnie Hubbard : Monsieur Michel au secours il y a un homme dans mon compartiment.
Benjamin Michel : Voyons Mme Hubbard, votre porte est fermée vous avez du rêver.
Mme Hubbard pensa a la colère.
Bonnie Hubbard : Qu'en savez vous ? C'est vous ou moi qui occupe ce compartiment ? Il était bien la, j'ai sentit sa présence.
Benjamin Michel : Non madame.
Ce discours attira Judy qui l’a fait sortir de son sommeil encore une fois.
Benjamin Michel Bonne nuit madame.
Judy Poirot : Y-a t-il un problème Michel ?
Benjamin Michel : Non mademoiselle Poirot, c'est juste cette lapine, madame Hubbard qui a sonner sous prétexte qu'il y avait un homme dans son compartiment alors que la porte était fermée. J'imagine qu'elle a du le rêver, son mystérieux visiteur. Sans compter que nous sommes bloqués dans une congère.
Judy Poirot : Ça c'est embêtant et ou sommes nous a peut près ?
Benjamin Poirot : Nous devrions être quelque part entre Tropical-city et Tundraville. Cela peut prendre des jours avant qu'on nous sorte de ce pétrin. Une fois lors d'un voyage on est restés coincé pendant cinq jours.
Judy Poirot : Peut être que cette fois ci, cela ne prendra pas beaucoup de temps. Vu que je me suis réveillé je sens que je ne vais pas me rendormir tout de suite. Voudriez-vous me rapporter un verre de jus carotte s'il vous plaît ?
Benjamin Michel : Bien-sur mademoiselle.
Sur ce, Benjamin Michel se rend vite fait vers le wagon-restaurant puis revient quelques instants avec un verre bien remplit. Puis Judy prit le verre, remercia Michel et en lui souhaitant bonne nuit, et retourna dans son compartiment.
Une fois la lapine détective fut rentrer, mademoiselle Gazelle décida de jouer une entourloupe afin de faire brouiller l’esprit de mademoiselle Poirot, elle se dirigea dans les toilettes et se revêtit d’un kimono rouge brodé d’un dragon noir et s’enveloppa la tête dans une serviette de bain afin de ne pas être reconnu.
Elle fit un grand bruit en claquant la porte afin d’attirer Judy et se mit a courir, Judy ouvre la porte et voie l’inconnu s’enfuir vers le salon.
Benjamin qui était assis a son poste relève la tête vit Judy et lui demanda « Quelque chose ne va pas mademoiselle » ?
Judy se retourna et répondit « Non rien, j'ai juste entendue un bruit et je ne vois rien de si gênant. Bonne nuit Michel ».
Benjamin Michel : Bonne nuit mademoiselle.
Benjamin replongea dans sa lecture et Judy retourna dans son compartiment et referma la porte.
1H plus tard Michel se releva une nouvelle fois de sa place et vint frapper tout doucement a chacune des portes de la voiture de Zootropolis, a l’exception de celle de M Doug et de Judy Poirot.
Après avoir toqué, tous les occupants sortirent de leurs compartiments et se rendirent dans le compartiment de Mme Hubbard et passèrent par la porte voisine pour aller dans le compartiment de M. Doug autrement dit Casseti.
Le Premier a entrer dans le compartiment de Casseti fut Hector Finnick qui entra avec un poignard dans la patte droite et s’approcha du bélier endormit.
Hector Finnick : Vous avez fait chanter mon père pour pouvoir enfuir en tout liberté.
Il leva le poignard.
Hector Finnick : Pour mon père !
Il planta le poignard dans le torse de son patron et le passa a M. Koslov.
Edward Koslov : Pour mon maître, le colonel Stuart Armstrong !
Il planta a son tour dans le torse du bélier et passa le poignard au colonel Bogo.
Colonel John Bogo : Pour mon frere d’armes !
Il planta le poignard avec violence et force avant de le passer a la comtesse Andreyeni, mais en tenant le poignard elle s’est sentie toute tremblante. Son mari le comte Jack Andreyeni prit le poignard dans les pattes tout doucement et décida de prendre sa place de juré.
Le Comte Jack Andreyeni : Pour ma belle-famille !
Il enfonça la lame, et passe le couteau a mademoiselle Bellwether.
Greta Bellwether : Pour Cotton et ses parents !
Elle plante le poignard a son tour et s’écarta pour laisser passer Mme Otterton qui porta la princesse Dragomiroff vers le corps de M Doug. Elle sortit de sa poche une épinglette a cravate et la donna a sa maîtresse afin de poignarder sans utiliser le couteau qui est trop grand pour elle.
La Princesse Fru-Fru Dragomiroff : Pour ma filleule et sa famille !
Elle piqua la nuque de Casseti avec l’épinglette a cravate, et fut déposée sur la table de chevet pour laisser place a Mme Otterton qui reprit le poignard des mains de Bellwether.
Hildegarde Otterton : Pour mes maîtres !
Elle planta le poignard et le passa a M Michel avant de recuperer la princesse et d’effacer les traces sur la table avec un chiffon.
Benjamin Michel : Pour ma fille !
Il planta le poignard et donna la relève a M Hardman.
Gideon Hardman : Pour mon amour !
Le 9 e coup fut donner vers la poche contenant la montre pour faire croire qu’elle est cassée lors de l’attaque et passe l’arme du crime a M Manchas.
Antonio Manchas : Pour mes maîtres !
Il planta le 10e coup près de la blessure faite par Hardman et passe le couteau a Miss Gazelle.
Mary Gazelle : Pour Cotton et ses parents !
Elle donna l’avant-dernier coup de couteau et donne le poignard a Mme Hubbard qui regarda le bélier avec un regard noir plein de haine.
Bonnie Hubbard : Pour ma petite-fille, mon futur petit-enfant, ma fille et mon gendre !
Et après avoir dit ses mots elle mis tout sa force dans le 12e coup de poignard dans le corps de Casseti.
Après cela elle essuya le manche de l’arme du crime pour effacer les empreintes, la princesse essuie l’épinglette et le laissa sur la table, et le colonel Bogo laissa un cure-pipe afin de laisser des indices pour mener la lapine détective sur une fausse piste quand elle mènera l’enquête, et ils ouvrirent la fenêtre pour faire entrer le froid et faire croire a un tueur qui s’est enfuit par la fenêtre.
Ensuite tout le monde sort du compartiment afin de regagner celui de Mme Hubbard pour sortir et pour regagner leurs couchettes, et c’est ainsi que le crime fut commis.
Murder on the Orient Express belong to Agatha Christie, the picture belong to Kendall Collins and zootopia character belong to at Disney
Quelques instants après l’incident avec Finnick, Nicholas finit par réunir l’ensemble des passagers de la voiture Zootropolis dans le salon en compagnie de Judy et du Dr Constantine.
La nuit était tombée et l’intérieur du wagon était illumine par les petites lampes qui se trouvaient sur des petites tables a cotes des fauteuils ou se trouvaient les mammifères suspect en restant silencieux avant que Judy prenne la parole.
Judy Poirot : Vous devez vous demandez pourquoi vous êtes tous réunis ici ? Probablement pour trouvez le coupable qui a commis un meurtre a bord de ce train ?
Il y a que 2 possibilités, la première est qu’un mammifère inconnue est monté a bord lors de l’arrêt a Tropical-city et qui c’est déguisé en mouton contrôleur avant de poignarder Casseti et de s’enfuir par la fenêtre.
Nicholas Bouc : Non cela n’a aucun sens il serait impossible de sortir du train dans un blizzard pareil et si c’était le cas comment le kimono rouge s’est retrouver dans ta valise ?
Judy Poirot : Ce qui mène alors a ma deuxième théorie, l’assassin est l’un d’entre vous. Mais en examinant les blessures sur le corps nous avons remarquer qu’il y a des blessures profondes et moins profondes qui ont été faites par un droitier et un gaucher, ce qui nous amène a deux assassins, peut être a un homme ou une femme.
Vous pensez qu’il s’agit de M. Finnick ? Figurez vous qu’il y a quelques minutes il a essayé de me tirer dessus, mais j’ai bien analyser la situation et j’ai déduit qu’il a fait exprès de me manquer, car la ou il se trouvait il avait toutes ses chances de me descendre. (Elle se tourna vers Finnick) Et j’ai compris qu’au fond de vous M.Finnick vous n’etes pas un tueur, mais cependant il manque des informations a votre récit, et cela ne veut pas dire que vous n’êtes pas appliqué dans cette histoire.
( elle se tourna vers la comtesse)
Madame la comtesse je désirais connaître le nom de votre gouvernante ?
La comtesse Skye Andrenyi : Elle s’appelait madame Armadillo, c’était un tatou qui portait des lunettes.
Judy Poirot : Mais mademoiselle Gazelle ne porte pas de lunettes et encore moins n’est pas un tatou !
Mary Gazelle : Je ne comprends pas mademoiselle Poirot, pourquoi vous faites allusion a moi ?
Judy Poirot : Il y a une boutique qui se situe en Angleterre qui est très célèbre et qui s’appelle Gazelle & Armadillo. Et cela n’a pas empêcher a la comtesse de donner un nom pour cacher le nom de la gouvernante qu’ elle a eu et qui fut ensuite celle de la petite Cotton Amstrong n’est ce pas mademoiselle Gazelle ?
Mary Gazelle se mit a regarder le sol en restant silencieuse tandis que le colonel Bogo se mit près d’elle pour la réconforter.
Judy Poirot : Et j’ajouterais également que le véritable nom de la comtesse n’est pas Goldenberg, mais Goldenstein, la fille survivante de Linda Goldenstein.
La comtesse commençait a se sentir mal a l’aise et son époux se mit en colère.
Le comte Jack Andrenyi : Je vous défend d’accuser ma femme de ce meurtre a bord, c’est moi qui ait trafiqué son passeport pour lui éviter l’embarras.
La comtesse Skye Andrenyi : Il est vrai que c’est un sacre hasard que je me suis retrouver a bord du train avec le meurtrier de ma nièce, mais je ne l’ai pas poignarde je vous le jure.
La princesse Dragomiroff : J’ai également conserve l’identité de Skye pour lui éviter l’embarras moi aussi.
Judy Poirot : Ah ce que je vois vous vous connaissez votre altesse, il est évident que vous vous connaissiez puisque vous êtes amie avec sa mère. Et je me souviens que Mme Otterton m’a dit que vous aviez perdu un bijou, est ce que le bijou en question ne serait pas une épinglette a cravate ?
La princesse Dragomiroff : Oui elle est a moi, ou plutôt a mon père, le prince Vladimir Dragomiroff que tout le monde le surnommait « le Prince Big » l’utilisait comme un sceptre, mais cela dit j’ignore comment il s’est retrouver dans le compartiment de Casseti ?
Judy Poirot : Au contraire je crois que vous le savez, figurez vous que j’ai remarqué qu’il y a bord de ce train beaucoup de personnes liées aux Armstrong ou a l’affaire de Casseti.
Avant de vous retrouvez ici j’ai pensée comme une réalisatrice de film ou je vous ait donné chacun un rôle et le résultat était satisfaisant et m’a montrée un mobile pour chacun de vous dans ce meurtre. M.Finnick, votre père était le juge qui devait envoyer Casseti a la mort mais le chantage qu’on lui a fait la poussé a mettre la police sur une fausse piste et de laisser ce bélier s’enfuir sous le nom de Doug. M.Koslov étant un valet de chambre bien élevé, je vous vois très bien comme étant le valet du colonel Stuart Armstrong après lui avoir servi d’ordonnance dans l’armée avant de le suivre aux États-Unis. Nous avons la plus grande admiratrice de Linda Goldenstein qui est devenu la marraine de sa fille Marian morte sous le choc d’avoir perdu sa fille et en perdant par la même occasion son deuxième enfant a cause d’une fausse couche, et votre femme de chambre Mme Otterton, je ne peux imaginer qu’elle était autrefois la cuisinière des Armstrong. Mlle Bellwether vous étiez la nurse de la petite Cotton Armstong et que vous êtes défendu comme une lionne pour essayer de sauvez la petite de ses ravisseurs, (Mlle Bellwether regarda le sol restant silencieuse), il y a également le colonel Bogo qui était le frere d’armes du colonel Armstrong et qui était pour lui un ami dévoué et qui se retrouve actuellement avec miss Gazelle qui était la gouvernante de la petite Cotton après avoir été celle de sa tante la comtesse Andreyeni et qui a épouser un homme qui est prêt a tout pour la défendre. Puis M Manchas ici présent étant un vendeur de voiture qui s’y connaît très bien en ce qu’il vend, il est probable qu’il était le chauffeur des Armstrong. Le détective de Pigerton M Gideon Hardman qui le soi-disant detective garde du corps de M Doug, mais cela est un mensonge car s’il il a déjà un detective, pourquoi notre victime chercherait t-il a m’engager ? Il autrefois un officier de la police lors de l’affaire Armstrong et qui a quitté son poste après avoir perdu le mammifère qu’il aime, car dans cette tragédie il y a eu une autre victime qui était la bonne française accusée a tort d’avoir été complice dans l’enlèvement de la petite avant de se suicider par désespoir avant d’apprendre qu’elle était innocente,mais cela surtout chagrine un père aimant sa fille qu’il a adopter malgré qu’il ne sois un guépard français qui lui a donné un nom Sharla Michel,( Clawhauser fouilla dans sa poche et trouva une photo de lui et sa fille en la regardant tristement).
Mais celle qui a le plus souffert dans cette histoire est la mère de Marian Armstrong, la belle-mère du colonel Stuart Armstrong et la grand-mère de Cotton Armstrong Linda Goldenstein connu sous le nom de Linda Hopps qui a quitter très vite la scène après cette tragédie mais qui a décider de revenir pour une ultime représentation en revenant sous les traits d’une lapine sous le nom de Bonnie Hubbard.
(Mme Hubbard sortit un mouchoir et commença a frotter sa joue droite révélant une fourrure blanche qui montre que sa fourrure grise n’est que du maquillage.)
En général se train n’est pas complet en cette saison, mais pourtant il est plein a l’exception d’une passagère qui n’est jamais arrivée a temps car cette mademoiselle Harris n’existe pas et qu’elle n’a été qu’une excuse pour éviter que le meurtrier ne soit dérangé, mais malheureusement il se trouve que j’ai prit cette place et le crime aurait été parfait si il n’y avait pas eu l’arrivée du blizzard qui a du obliger le coupable a faire l’apparition de personnes mystérieuses comme la femme au kimono-rouge ou le mouton conducteur et de laisser des indices pour faire penser que le ou les tueurs sont un homme, une femme ou même les deux. Le cri que j’ai entendu l’autre soir ne pouvait pas provenir de Casseti puisqu’il était sous l’effet du barbital donc quelqu’un d’autre a crier a a place et sachant que monsieur Doug ne parlait que la langue nordiste alors pourquoi a t-il fait des excuses a monsieur Michel avec un accent sudiste, j’en déduit donc que c’est monsieur Hardman qui a pu produire ce cri puisqu’il est le seul a parler avec un accent sudiste . Mais son alibi est confirmée par monsieur Manchas et comme tous les autres, il est en béton. Mais si nous n’avons pas eu de passager clandestin a bord et que vous avez tous un alibi cela veut dire que quelqu’un a changer l’heure de la montre avant de la cassée afin que tout le monde croit que Casseti a été tué a 1H45 alors qu’il a été tué bien plus tard au moment ou il n’y a aucun alibi. Et nous avons retrouver l’épingle a cravate de la princesse et un cure-pipe du colonel Bogo dans le compartiment de M. Doug. Mais je me suis aussi rappelé de ce que le colonel m’a dit tout a l’heure quand j’étais dehors avec lui, il a dit qu’il préférerait les châtiments légaux avec un jury de 12 personnes plutôt qu’a la vengeance, et cela ma mis la puce a l’oreille, nous avons retrouvés douze blessures sur le corps de monsieur Doug et nous avons douze passagers. Ce crime ne pouvait être qu’accompli que par vous tous formant ainsi un jury qui a condamné Ramsès Casseti a mort.
Maintenant imaginer la scène de la mort de Casseti.
M. Koslov entra dans le compartiment de son patron avec un café dans la main. Il toqua a la porte, M Doug lui donna la permission, il ouvra la porte et trouva le bélier assis sur son lit dans sa robe de chambre marron au dessus de son pyjama bleu entrain de regarder quelques documents.
Edward Koslov : Voici votre café M Doug.
Samuel Doug : Merci Edward, vous pouvez disposer.
Edward Koslov : Merci monsieur, Bonsoir monsieur Doug.
L’ours polaire déposa la tasse de café remplit de barbital sur la table de nuit,se retourna et sortit du compartiment et monsieur Doug le suivait afin de refermer la porte du compartiment, Quand lorsqu’il vit Judy s’avancer dans le couloir pour atteindre son compartiment avant de fermer la porte et de mettre la chaînette afin que plus personne ne puisse entrer dans le compartiment.
Il s’approcha de sa table de nuit et prit la tasse et commença a boire la mixture jusqu’à ce qu’elle soit vide.
Il redéposa le mug et commença a s’allonger sur son lit tout en attrapant son porte-document et sortit une lettre et déposa le porte-document sur le sol tout en regardant la feuille devant ses yeux. Il s’agissait de l’une de ces lettres de menaces. Sur le papier il était écrit « Vous avez du sang de Cotton Armstrong sur les mains vous mourrez pour cela » ! Tout a coup le bélier commença fermer les yeux tout en essayant de résister au effet du barbital, mais rien n’y fait et succomba au sommeil.
Quelques instants plus tard, le renard détective entra dans le compartiment en passant par celui Mme Hubbard afin de vérifier si tout est en place. Voyant le bélier endormit, il récupérera la lettre et alluma une allumette afin de la faire brûler, et la déposa dans le cendrier qui est sur la table de nuit et trouva la montre de Casseti dans la petite poche sur le torse et la régla a 1h15, l’heure ou tout le monde a un alibi qui ne soupçonnerais personne et la casse avant de la remettre dans la poche.
Après cela, il prit une grande respiration avant de crier et d’appuyer sur la sonnette pour appeler M. Michel qui était revenu de la voiture d’Oasis-Ville après avoir discuté avec ses collègues.
Le ci attira l’attention de Judy qui regarda a travers la porte de son compartiment et le guépard conducteur s’approcha de la porte de M. Doug et frappa.
Benjamin Michel : Monsieur Doug ?
Gideon Hardman : Ce n’est rien je me suis tromper.
Benjamin Michel : Bien, monsieur.
Michel retourna a son poste tandis que Judy retourna se coucher. Au même moment M Hardman sortit du compartiment de madame Hubard pour aller chercher l’uniforme du mouton conducteur cacher dans le compartiment de M Finnick.
Il arriva au compartiment et trouva M Finnick tenant le deguisement dans une patte tandis que l’autre tenait une petite bouteille de bourbon.
Gideon Hardman : Monsieur Finnick.
Le petit fennec fut surpris par l’arriver du renard qu’il renversa quelques gouttes de bourbon sur l’uniforme.
Hector Finnick : Vous m’avez fait peur monsieur Hardman.
Gideon Hardman : Désoler, mais nous avons besoin de l’uniforme pour notre plan.
Hector Finnick : Il est prêt et j’ai écrit un faux message avec le plan de la voiture de Zootropolis afin de faire croire qu’il s’agit d’un passager clandestin dans ce meurtre, puis je l’ai déchire en petit morceaux et mis dans la poche avec le passe de conducteur.
Gideon Hardman : Parfait monsieur Finnick.
Monsieur Hardman prit le vêtement au fennec et s’en alla dans le couloir, il s’approcha du compartiment de madame Hubbard et de Michel a qui il donna le bouton et continua son chemin.
Le guépard entra dans le compartiment de madame Hubbard qui l’attendait et déposa le bouton sur le sol montrant a la lapine de se prépare a jouer son jeu d’actrice.
Madame Hubbard prit une grande respiration et se mit a sonner plusieurs fois la sonnette pour attirer le guépard avant de dire son texte.
Bonnie Hubbard : Monsieur Michel au secours il y a un homme dans mon compartiment.
Benjamin Michel : Voyons Mme Hubbard, votre porte est fermée vous avez du rêver.
Mme Hubbard pensa a la colère.
Bonnie Hubbard : Qu'en savez vous ? C'est vous ou moi qui occupe ce compartiment ? Il était bien la, j'ai sentit sa présence.
Benjamin Michel : Non madame.
Ce discours attira Judy qui l’a fait sortir de son sommeil encore une fois.
Benjamin Michel Bonne nuit madame.
Judy Poirot : Y-a t-il un problème Michel ?
Benjamin Michel : Non mademoiselle Poirot, c'est juste cette lapine, madame Hubbard qui a sonner sous prétexte qu'il y avait un homme dans son compartiment alors que la porte était fermée. J'imagine qu'elle a du le rêver, son mystérieux visiteur. Sans compter que nous sommes bloqués dans une congère.
Judy Poirot : Ça c'est embêtant et ou sommes nous a peut près ?
Benjamin Poirot : Nous devrions être quelque part entre Tropical-city et Tundraville. Cela peut prendre des jours avant qu'on nous sorte de ce pétrin. Une fois lors d'un voyage on est restés coincé pendant cinq jours.
Judy Poirot : Peut être que cette fois ci, cela ne prendra pas beaucoup de temps. Vu que je me suis réveillé je sens que je ne vais pas me rendormir tout de suite. Voudriez-vous me rapporter un verre de jus carotte s'il vous plaît ?
Benjamin Michel : Bien-sur mademoiselle.
Sur ce, Benjamin Michel se rend vite fait vers le wagon-restaurant puis revient quelques instants avec un verre bien remplit. Puis Judy prit le verre, remercia Michel et en lui souhaitant bonne nuit, et retourna dans son compartiment.
Une fois la lapine détective fut rentrer, mademoiselle Gazelle décida de jouer une entourloupe afin de faire brouiller l’esprit de mademoiselle Poirot, elle se dirigea dans les toilettes et se revêtit d’un kimono rouge brodé d’un dragon noir et s’enveloppa la tête dans une serviette de bain afin de ne pas être reconnu.
Elle fit un grand bruit en claquant la porte afin d’attirer Judy et se mit a courir, Judy ouvre la porte et voie l’inconnu s’enfuir vers le salon.
Benjamin qui était assis a son poste relève la tête vit Judy et lui demanda « Quelque chose ne va pas mademoiselle » ?
Judy se retourna et répondit « Non rien, j'ai juste entendue un bruit et je ne vois rien de si gênant. Bonne nuit Michel ».
Benjamin Michel : Bonne nuit mademoiselle.
Benjamin replongea dans sa lecture et Judy retourna dans son compartiment et referma la porte.
1H plus tard Michel se releva une nouvelle fois de sa place et vint frapper tout doucement a chacune des portes de la voiture de Zootropolis, a l’exception de celle de M Doug et de Judy Poirot.
Après avoir toqué, tous les occupants sortirent de leurs compartiments et se rendirent dans le compartiment de Mme Hubbard et passèrent par la porte voisine pour aller dans le compartiment de M. Doug autrement dit Casseti.
Le Premier a entrer dans le compartiment de Casseti fut Hector Finnick qui entra avec un poignard dans la patte droite et s’approcha du bélier endormit.
Hector Finnick : Vous avez fait chanter mon père pour pouvoir enfuir en tout liberté.
Il leva le poignard.
Hector Finnick : Pour mon père !
Il planta le poignard dans le torse de son patron et le passa a M. Koslov.
Edward Koslov : Pour mon maître, le colonel Stuart Armstrong !
Il planta a son tour dans le torse du bélier et passa le poignard au colonel Bogo.
Colonel John Bogo : Pour mon frere d’armes !
Il planta le poignard avec violence et force avant de le passer a la comtesse Andreyeni, mais en tenant le poignard elle s’est sentie toute tremblante. Son mari le comte Jack Andreyeni prit le poignard dans les pattes tout doucement et décida de prendre sa place de juré.
Le Comte Jack Andreyeni : Pour ma belle-famille !
Il enfonça la lame, et passe le couteau a mademoiselle Bellwether.
Greta Bellwether : Pour Cotton et ses parents !
Elle plante le poignard a son tour et s’écarta pour laisser passer Mme Otterton qui porta la princesse Dragomiroff vers le corps de M Doug. Elle sortit de sa poche une épinglette a cravate et la donna a sa maîtresse afin de poignarder sans utiliser le couteau qui est trop grand pour elle.
La Princesse Fru-Fru Dragomiroff : Pour ma filleule et sa famille !
Elle piqua la nuque de Casseti avec l’épinglette a cravate, et fut déposée sur la table de chevet pour laisser place a Mme Otterton qui reprit le poignard des mains de Bellwether.
Hildegarde Otterton : Pour mes maîtres !
Elle planta le poignard et le passa a M Michel avant de recuperer la princesse et d’effacer les traces sur la table avec un chiffon.
Benjamin Michel : Pour ma fille !
Il planta le poignard et donna la relève a M Hardman.
Gideon Hardman : Pour mon amour !
Le 9 e coup fut donner vers la poche contenant la montre pour faire croire qu’elle est cassée lors de l’attaque et passe l’arme du crime a M Manchas.
Antonio Manchas : Pour mes maîtres !
Il planta le 10e coup près de la blessure faite par Hardman et passe le couteau a Miss Gazelle.
Mary Gazelle : Pour Cotton et ses parents !
Elle donna l’avant-dernier coup de couteau et donne le poignard a Mme Hubbard qui regarda le bélier avec un regard noir plein de haine.
Bonnie Hubbard : Pour ma petite-fille, mon futur petit-enfant, ma fille et mon gendre !
Et après avoir dit ses mots elle mis tout sa force dans le 12e coup de poignard dans le corps de Casseti.
Après cela elle essuya le manche de l’arme du crime pour effacer les empreintes, la princesse essuie l’épinglette et le laissa sur la table, et le colonel Bogo laissa un cure-pipe afin de laisser des indices pour mener la lapine détective sur une fausse piste quand elle mènera l’enquête, et ils ouvrirent la fenêtre pour faire entrer le froid et faire croire a un tueur qui s’est enfuit par la fenêtre.
Ensuite tout le monde sort du compartiment afin de regagner celui de Mme Hubbard pour sortir et pour regagner leurs couchettes, et c’est ainsi que le crime fut commis.
Murder on the Orient Express belong to Agatha Christie, the picture belong to Kendall Collins and zootopia character belong to at Disney
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Species Unspecified / Any
Gender Any
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