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Brest 1-0 Lyon : L’OL s’enfonce un peu plus pour la première de Grosso, le débrief complet de l’After foot

Brest 1-0 Lyon : L’OL s’enfonce un peu plus pour la première de Grosso, le débrief complet de l’After foot

Le miracle n’aura donc pas eu lieu. Pour la première de Fabio Grosso à la tête de l’effectif lyonnais, les Rhodaniens ne sont encore inclinés face à Brest (1-0). Dominateur, le Stade Brestois a trouvé la faille en fin de rencontre sur un coup de tête du rentrant Mounié qui permet au SB29 de prendre provisoirement la tête du championnat. Retrouvez le débriefe complet de Brest-Lyon dans l’After foot ce samedi.

Des dizaines de paysans sont victimes de la rémanence de pesticides désormais interdits

Des dizaines de paysans sont victimes de la rémanence de pesticides désormais interdits

Selon nos informations, ils seraient des dizaines de paysans victimes de ces pesticides interdits, en Gironde, dans le Finistère, le Morbihan. L’un d’eux nous a expliqué que cet insecticide remonte notamment pendant les périodes de grande sécheresse. Et oui, car les plantes doivent puiser l’eau plus profondément dans la terre. La Fédération Nationale d’Agriculture Biologique est au courant de ce fléau. Elle milite pour une indemnisation des exploitants et des tests systématiques des sols par l’Etat, avant toute installation agricole. Et elle est en passe d’être en partie entendue. C’est une information RMC : l’obligation de dépistage des sols devrait être votée lors du prochain pacte d’orientation agricole (PLOAA), au mois de décembre.

Guillemot : "On ne veut pas être des sous-citoyens"

Guillemot : "On ne veut pas être des sous-citoyens"

La tension monte autour de la fermeture des urgences de Carhaix, en Bretagne. Mathieu Guillemot réfute la séquestration et dénonce le mépris des autorités, sur RMC: "On paye nos impôts comme tout le monde, on ne veut pas être des sous-citoyens : "On est qu'au début, on est loin d'arrêter le mouvement. On paye des impôts comme tout le monde, on veut pas être des sous-citoyens. On entre dans une lutte de classe au plan sanitaire. Ici les pauvres payent pour les riches sur la santé, avec un centre Bretagne abandonné. On ferme les urgences avec le plus gd mépris. Si on arrive aux urgences à 15h15 on est déjà réorienté car les urgences doivent être vidées à 18h. Sinon c'est une heure de route pour les plus proches urgences. C'est un cri de colère. On veut salir notre combat, mais il est propre. S'il y avait eu séquestration, il y aurait eu des plaintes. En face de nous, on a des gens méprisants qui nous disent qu'on n'aura rien de plus."