Bon, après plus de 2 000 heures de survie, de courses effrénées et de réparations sous pression, je pense pouvoir donner un avis digne de ce nom sur Dead by Daylight, sans langue de bois et avec quelques crochets dans le dos.

Au début, vous allez trouver ce jeu drôle. Vous courez, vous sursautez, vous paniquez en entendant le "DING" d'une cloche ou une tronçonneuse au loin. Je me suis surpris à sauter de ma chaise comme si mon café venait de tomber sur mes genoux. Mais après quelques parties ? C'est simple : soit vous devenez un génie du mindgame, soit vous passez plus de temps sur un crochet qu'un jambon à Noël.

Le gameplay, c'est un savant mélange entre cache-cache de l'enfer et générateurs Simulator 2024, avec une pincée de stress permanent. Vous apprenez vite que vos "amis" survie coopérative peuvent être vos pires ennemis : "Ah, tu veux de l'aide ? Dommage, j'étais en train de me soigner avec mon trousseau Gucci."

Et bien sûr, parlons des grands classiques :

Le tunnel : parce que oui, pourquoi chasser quelqu’un d’autre quand on peut te poursuivre à chaque souffle comme si tu devais de l’argent au tueur ?

Le facecamp : quand le tueur décide que ce crochet est son nouveau trône et toi, son trophée personnel.

Mais au fond, on reste. Pourquoi ? Parce que malgré les frustrations, les screams et les sacs de sel, Dead by Daylight, c'est l'adrénaline pure. Chaque escape clutch, chaque mindgame réussi, chaque lampe bien placée… c'est un mélange de souffrance et de satisfaction.

Verdict : après 2 298,9 heures, je peux le dire : ce jeu, c'est une relation toxique qu'on adore. Alors si le tunnel et le facecamp ne vous font pas peur, bienvenue dans la famille !

Note : 5 crochets et une boîte de sel sur 5.

Bon, après plus de 2 000 heures de survie, de courses effrénées et de réparations sous pression, je pense pouvoir donner un avis digne de ce nom sur Dead by Daylight, sans langue de bois et avec quelques crochets dans le dos. Au début, vous allez trouver ce jeu drôle. Vous courez, vous sursautez, vous paniquez en entendant le "DING" d'une cloche ou une tronçonneuse au loin. Je me suis surpris à sauter de ma chaise comme si mon café venait de tomber sur mes genoux. Mais après quelques parties ? C'est simple : soit vous devenez un génie du mindgame, soit vous passez plus de temps sur un crochet qu'un jambon à Noël. Le gameplay, c'est un savant mélange entre cache-cache de l'enfer et générateurs Simulator 2024, avec une pincée de stress permanent. Vous apprenez vite que vos "amis" survie coopérative peuvent être vos pires ennemis : "Ah, tu veux de l'aide ? Dommage, j'étais en train de me soigner avec mon trousseau Gucci." Et bien sûr, parlons des grands classiques : Le tunnel : parce que oui, pourquoi chasser quelqu’un d’autre quand on peut te poursuivre à chaque souffle comme si tu devais de l’argent au tueur ? Le facecamp : quand le tueur décide que ce crochet est son nouveau trône et toi, son trophée personnel. Mais au fond, on reste. Pourquoi ? Parce que malgré les frustrations, les screams et les sacs de sel, Dead by Daylight, c'est l'adrénaline pure. Chaque escape clutch, chaque mindgame réussi, chaque lampe bien placée… c'est un mélange de souffrance et de satisfaction. Verdict : après 2 298,9 heures, je peux le dire : ce jeu, c'est une relation toxique qu'on adore. Alors si le tunnel et le facecamp ne vous font pas peur, bienvenue dans la famille ! Note : 5 crochets et une boîte de sel sur 5.