Recent reviews by Cacao

Masterpiece

Cheating is a thing but changing the rules like the pawns can only take by moving forward is just dumb. I don"t like this game.

J’ai l’impression que ce jeu a été développé par des stagiaires en mode « full flemme ».
Le tuto est imbuvable, on comprend à peine ce qu’on fait et pourquoi on le fait. Les règles sont pas claires ou insuffisantes. Le jeu manque d’explications à peu près partout.
Si vous ne connaissez pas déjà bien les règles du jeu, inutile de l’acheter.
Je n’ai pas testé le jeu multi.

Best game, best community !
Goodbye PSN !
Now it"s time to dive again and again,
and again, and again, and again, and again,
and again, and again, and again, and again,
and again, and again, and again, and again,
and again, and again, and again, and again

Réaction à chaud.

Incroyable RPG qui m"étonne à chaque minute de jeu. J"en suis à un peu plus de 20 heures et pour l"instant je dois dire que je suis plutôt bluffé. Le système de pions est génial dans un jeu solo. L"histoire n"est certes pas mémorable mais l"aspect exploration avec ses quêtes sans direction est très rafraîchissant.
Les grottes, sortes de donjons interminables est excellent, la tension qui monte quand on fait de trop longues expéditions, la nuit flippante, ... Je retrouve dans Dragon"s Dogma 2 ce qui fait qu"on adore découvrir un RPG : le saut dans l"inconnu.
Je ne parle pas volontairement des micro-transactions qui seront très certainement vite oubliées tellement ce jeu a à offrir.

Je regrette peut-être juste un système de monture car les voyages peuvent parfois être longs.

Franchement je vous recommande ce jeu si vous aimez le genre.

Quelques petites anecdotes en plus qui me passent par la tête :

Le principe de pouvoir porter les PNJs, c"est anecdotique mais c"est excellent. Un PNJ vous saoule ? Jetez le d"une falaise. Vous pouvez même le faire avec vos pions.

En plein combat contre un "montre qui vole" (pour pas spoiler), vous pouvez vous retrouver sur son dos et traverser le monde accroché à son pelage... Je vous laisse imaginer ce qui peut arriver.

La nuit, on ne voit pas à 2 mètres (c"est la nuit quoi). Il m"est arrivé de ne plus avoir de quoi m"éclairer et tomber dans un trou tellement je voyais rien devant moi.

Pray the BALADROGUE !

The Cosmic Wheel Sisterhood est un livre magique où chaque page est une porte vers un univers inexploré. Ce jeu est une invitation à voyager à travers l"espace pour résoudre le complexe sujet de l"amitié en nous proposant un scénario sans limites sur l"avenir de l"univers et le cosmos.

C"est une aventure qui questionne en permanence et qui sait parfaitement jouer avec nos émotions les plus profondes. Tout comme pour The Red Strings Club, autre jeu de Deconstructeam, il est ici question de faire des choix cruciaux, à la fois sur nous-même mais aussi carrément sur l"univers tout entier. Et pourquoi pas ?

La bande son est encore une fois une odyssée auditive et bien qu"elle me semblait assez répétitive sur la fin de The Red Strings Club, ici c"est tout l"inverse. Elle s"intensifie plus on avance vers le dénouement final. La scène finale est encore plus mémorable avec cette musique quasi post-rockesque.

Deconstructeam nous livre à nouveau des dialogues de haut vol, et une traduction française quasi-parfaite (quelques fautes légères par-ci par-là). Chaque conversation est l"occasion de tisser des liens avec les différents personnages grâce aux pouvoirs sans limites de Fortuna. Et je ne pourrais malheureusement pas en dire plus sans vous spoiler, mais croyez-moi, l"idée d"avoir utilisé la cartomancie permet d"autant plus la réflexion sur l"importance de l"empathie, de la compréhension et du soutien mutuel.

Le jeu dure environ 8h. Ni trop long, ni trop court, cela permet de s"immerger pleinement dans ce monde et d"exploiter le plein potentiel des pouvoirs de Fortuna :)

Je recommande vivement ce jeu. Bravo et merci Deconstructeam !

Dès l"instant où j"ai lancé Baldur"s Gate 3, j"ai su que j"étais face à un jeu pas comme les autres. Au lieu du traditionnel RPG en 3D isométrique, j"ai été accueilli dans un monde où chaque scène, chaque dialogue semblait tiré d"un film épique. L"histoire m"a captivé immédiatement, me tenant en haleine de la première à la dernière minute, sans aucun temps mort.

Le jeu brille par ses graphismes exceptionnels. Chaque détail, de la lumière filtrant à travers les arbres à l"expression des personnages, est traité avec un soin minutieux. Les animations sont fluides, rendant chaque mouvement crédible et immersif. Et le doublage ? Parfait. Chaque voix apporte une dimension supplémentaire aux personnages, les rendant encore plus réels et attachants.

En parlant de gameplay, Baldur"s Gate 3 reste fidèle à l"esprit RPG, tout en empruntant à la série des Divinity de Larian Studios. Les combats, bien que s"inscrivant dans cette tradition, sont simplifiés par rapport aux Divinity, rendant l"expérience plus accessible sans sacrifier la profondeur. Ce qui m"a vraiment marqué, c"est la façon dont l"histoire prend vie à travers ces interactions. Chaque personnage, de la mystérieuse Ombrecoeur à l"imposante Lae"zel, est richement développé, rendant chaque rencontre mémorable. Bien que certains personnages masculins, comme Gale, semblent clichés, ils ajoutent à la diversité et à la richesse narrative du jeu.

La bande-son est un autre triomphe. Les compositions musicales accompagnent chaque scène, accentuant l"épique, le drame, ou la tension, selon les besoins. C"est une musique qui reste en tête, que j"ai même écoutée en dehors du jeu.

En terme de durée de vie, Baldur"s Gate 3 est un géant. Il m"a fallu environ 125 heures pour le terminer, mais j"aurais pu facilement en passer 150 si j"avais pris mon temps pour explorer chaque recoin. Le mode "sombre pulsions" (que je compte parcourir suite à de futures mises à jour) ajoutant encore plus de profondeur et de rejouabilité, me fait déjà planifier ma prochaine aventure dans ce monde incroyable.

En conclusion, Baldur"s Gate 3 est bien plus qu"un jeu, c"est une œuvre d"art vivante, un voyage épique qui marque tant par sa beauté visuelle que par la profondeur de son histoire. Pour moi, c"est non seulement le jeu de l"année, mais aussi le jeu de la décennie. Un incontournable pour tout amateur de RPG et de belles histoires.

Enveloppé dans l"étroitesse du Red Strings Club mais dans l"immensité d"un monde profondément cyberpunk, c"est un jeu qui a transcendé mes attentes. C"était un voyage riche et profondément émouvant, une expérience qui restera gravée dans mon cœur bien après avoir éteint l"écran.

L"histoire, qui est le cœur du jeu, est non seulement captivante mais aussi pertinente dans un monde où la technologie et l"humanité se mêlent. Ce jeu sait tenir ses promesses en laissant un sillage d"émerveillement, d"admiration mais aussi de questionnement derrière chaque scène, chaque échange, chaque dialogue.

La musique, un véritable chef-d"œuvre, joue un rôle majeur dans cette atmosphère. Poétique et dramatique, toujours pertinente bien qu"un peu répétitive sur la fin.

L"esthétique est tout aussi parfaite. Un pixelart 2D subtil, en symbiose avec le scénario. On a vraiment l"impression d"être immergé dans un tableau vivant. Les animations sont légères mais pleine de sens.

Les dialogues sont la proue du navire, guidant le joueur à travers une mer de réflexions profondes sur la liberté individuelle, le libre arbitre ou tout simplement le sens de la vie, rien que ça. Jamais trop long, parfois légers mais plus souvent profonds et provocants, ils laissent le joueur décider des réponses sans jamais le brimer. Sauf peut-être à la fin, mais il faut bien une conclusion à cette intrigue.

La notion de liberté est subtilement mise en lumière. Le jeu tisse l"illusion que chaque choix de dialogue a des conséquences, créant une atmosphère si palpable que l"on hésite à revivre l"expérience. C"est comme si l"on avait peur de défaire le tissage de notre histoire unique, qui semble parfaite telle qu"elle est. On veut juste garder ce souvenir impérissable et je ne suis sincèrement pas sur de vouloir y rejouer.

Le gameplay pur est subtil. Léger, peut-être un peu trop mais ce n"est clairement pas le coeur du propos. Je ne crois pas qu"on puisse perdre ou avoir un écran de game over. Ce n"est pas le but. Voyez plutôt cela comme un visual novel interactif avec une grosse pointe de roleplay.

Le jeu se termine 5 heures environ.

En somme, The Red Strings Club est bien plus qu"un jeu, c"est une expérience envoûtante, une réflexion existentielle et une célébration de l"art de raconter des histoires. Un voyage que je recommande vivement à tous ceux qui cherchent à explorer les limites de la liberté, de l"humanité et de la technologie.

Le petit jeu du dimanche qu"on lance avec plaisir avec sa moitié (ou un ami), si possible en local sur le canapé. On est littéralement transporté par son univers fantastique qu"on parcours avec un grand plaisir à chaque instant. Le jeu n"est jamais frustrant et est rempli de centaines de bonnes idées ; et pourtant, le gameplay change a chaque environnement avec à chaque fois de grandes idées. Un jeu comme en voit très rarement. Une perle vidéo-ludique, mon GOTY jusqu"à présent.
Jouez à ce jeu, il est grandiose !