Recent reviews by SΛLEM

Un bon gros jeu de merde remplis de Hackers, un équilibrage du jeu lamentable, devoir jouer 500h pour débloquer les outils pour jouer m'enfin bon courage a ceux qui lancent ce jeu ...

J'ai pas fini de la rédiger encore mais un gros gros gros gros OUI !

à venir.

7€ c'est du vol ni plus ni moins pour 26 minutes de jeu.

Prend les joueurs pour des vaches a lait vous avez acheter le jeu 30€
mais vous n'avez pas les mise a jour si vous ne prennez pas l'édition a 80 boules


ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE CORDIALEMENT !

LMAO THE NEW PATCH LOCK EVERYTHING WITH STUPID LOCK MINIGAME RANDOM :)

A venir:

Sorti le 20 Décembre 2011, Star Wars : The Old Republic avait tout pour se faire une place en tête des MMORPG les plus joués. Sa scénarisation poussée à l’extrême et bien sûr l’univers de Star Wars dont la richesse n’est plus à démontrer sont des attributs de qualité. Quelques mois après, l’effet était retombé comme un soufflé au fromage. La faute à des problèmes techniques mais surtout à un contenu HL trop restreint. Face à une perte de vitesse faramineuse et à une concurrence tenace Bioware a dû revoir sa politique en passant le jeu en Free to Play. L’abonnement est toujours présent mais il est « optionnel ». 9 ans plus tard, le titre n’est pas mort. La Force n’a pas quitté Bioware. Le jeu a su se réinventer pour survivre et le résultat est loin d’être mauvais.

Le Star Wars : The Old Republic de 2020 n’est plus celui de 2011. Le jeu a considérablement changé. Les différents DLC et mises à jour y sont pour beaucoup. Bioware a revu peu à peu sa copie et développe la préhistoire de Star Wars dans un sens pour le moins intéressant tout en continuant à améliorer le gameplay et le contenu du titre comme le montre le DLC Knights of the Fallen Empire et sa suite Knights of the Eternal Throne ainsi que Onslaught. Le Durant le leveling, on joue toujours à la version de base avant de finalement passer aux DLC. Il est d’ailleurs intéressant de s’essayer à l’ensemble du contenu ne serait-ce que pour comprendre l’évolution du titre dans le temps et surtout saisir les enjeux scénaristiques propres à chaque classe de personnages.


Que le scénario soit avec nous !
Il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine … 300 ans après les événements de Star Wars : Knights of the Old Republic (3650 ans avant la bataille de Yavin de l’épisode IV), la République est prospère mais l’Empire Sith est loin d’être vaincu. Il lance un assaut sur Korriban, berceau de sa puissance d’antan, et reprend la planète. Les débuts d’une longue guerre qui se termine sur un statu quo après le saccage du temple Jedi sur Coruscant. La paix est signée mais elle menace d’être rompue à chaque instant. Ainsi commence votre histoire dans Star Wars, à vous d’écrire la suite en commençant par choisir un camp et une classe de personnage. La suite directe de KOTOR prend alors la forme d’un MMORPG où vos choix décideront du destin de la galaxie.

La force de Star Wars : The Old Republic réside avant tout dans sa scénarisation. Si la plupart des MMO font dorénavant un effort pour offrir des quêtes scénarisées autour d’une trame principale, c’est bien parce que Bioware a mis la barre très haut. Une petite révolution dans le monde des MMO qui nous avait habitué à un contexte construit mais à une évolution de l’avatar se passant comme dans une sorte de mode « bac à sable » avec un cheminement peu dirigiste. Dans SWTOR, en choisissant votre classe de personnage, vous signez pour un scénario unique. On ne peut que saluer le travail d’écriture qui nous fait vivre un « épisode » original pour chaque classe. Cerise sur le gâteau, l’ensemble des dialogues du jeu est entièrement doublé. Le leveling prend alors un ton très plaisant. Prendre son temps et profiter du scénario de son avatar est vraiment agréable (Prenez votre temps de faire l'histoire vous vous n'avez jamais fait l'histoire de chaque classe)

On parcourt différentes planètes, dont certaines bien connues comme Hoth la planète glacée ou Tatooine le désert aride ou Alderande qui est magnifique et Montagneuse, qui ont chacune leur charme et une histoire différente selon le camp choisi. L’aventure « principale » est aussi passionnante que celle de votre personnage mais elle est plus classique dans son écriture et son développement. En résumé, plus vous avancez de planète en planète plus vous vous approchez d’une guerre imminente puisque vous devez conquérir la planète pour vos couleurs. Le choix du camp pour cette partie révèle une ambition commune, gagner, mais bien des différences dans la façon d’y parvenir. L’Empire Sith est sombre et impitoyable dans ses actions. La République représente le côté « lumineux » mais est minée par la corruption et certaines de ses décisions politiques sont très contestables. Ainsi la démarcation entre bien et mal est difficile à faire ce qui implique un peu plus le joueur dans l’histoire.

Avec sa mise en scène et les choix moraux, l’aventure se dévore avec plaisir.

A côté, il y a bien sûr les DLC qui poursuivent le scénario principal et non celui des classes. Passons assez vite sur Rise of the Hutt Cartel et Shadow of Revan qui sont plutôt bons mais qui n’apportent rien de neuf (pardon pour les fans de Revan) en terme d’écriture : Il y a un méchant et on le combat. Le renouveau se fait vraiment avec Knights of the Fallen Empire sorti après le rachat par Disney de Lucasfilm. Libéré de ses obligations envers l’univers étendu, Bioware a choisi de refaire le monde de Star Wars à sa sauce. La galaxie est confrontée à une menace sans précédent que vous, Etranger, devait repousser. Une étrange puissance galactique s’attaque à la fois à l’Empire et à la République. Elle possède une technologie et surtout un nombre incroyable de vaisseaux de combats. Les deux ennemis sont obligés de s’allier afin d’en finir avec cette puissance qui menace de les anéantir. A la tête de l’Empire Eternelle de Zakel, Valkorion (Tiens, tiens !), ses fils, des utilisateurs de la Force, sa fille dont la maîtrise de la Force n’a d’égale que sa folie (Vaylin). Votre objectif ? Leur faire mordre la poussière à la tête de votre réseau de résistance galactique où de nouveaux protagonistes et des plus anciens viennent vous prêter main forte dans cette épreuve. Très centré sur votre avatar et votre histoire dans le jeu, on a vraiment le sentiment d’être l’élément clé qui fera la différence plutôt que le spectateur de la grande histoire. Knights of the Fallen Empire est clairement un nouveau départ (le jeu nous le suggère d’ailleurs) pour la licence qui tente de survivre et d’évoluer. D’ailleurs, on peut passer directement au niveau 70 ou 60 (si l’on est abonné) afin d’aborder ce contenu mais étant très lié à votre aventure initiale, ne pas la faire est tout de même préjudiciable pour la compréhension de ce vaste univers. Onslaught continue l’histoire commencée par son aîné avec le niveau maximal qui passe à 75.

Les combats se déroulent dans la pure tradition des MMO. Tank, DPS, Soin tout est là. On « aggro » le mob, on tank, on tape et on soigne. En soi, ce n’est pas un gameplay très novateur. Toutefois, on peut être classique mais apporter quelque chose qui fera la différence.

Un jeu que j'attendais avec impatience. Je n’ai pas honte d’avouer que j’ai longtemps rêvé de brandir un sabre laser, d’utiliser la force et de lutter l’Empire Galactique à travers différents lieux. Il correspond vraiment à mon rêve de devenir un Jedi et rentre dans mon top 5 des jeux star wars. L’histoire, les personnages et le gameplay commencent tous en force et évoluent de manière significative. Même si j’ai quelques petites points négatifs, je n’ai pas vécu une seule minute d’ennui pendant mes premières heures de jeu. J'adore le jeu et je ne pourrais être plus enthousiaste à en parler.

La période entre la revanche des sith et un nouvelle espoir est riche en récits, et Fallen Order capitalise avec une histoire originale riche en personnages intéressants. Vous suivez l'histoire de Cal Kestis dans son parcours pour devenir un chevalier Jedi et découvrir la clé d'un artefact transformant la guerre. Il est accompagné par les membres de l’équipage Cere et Greez à bord du Stinger Mantis alors qu’ils se lancent dans une aventure pour donner de l’espoir à la galaxie. Fallen Order peut être un dérivé de nombreux jeux géniaux, mais le développeur a prévalu en combinant plusieurs influences pour créer son propre design. Il existe une traversée semblable à Uncharted, un combat semblable à Dark Souls & Sekiro, et une exploration similaire à la Tomb Raider. Ils ont puisé leur inspiration dans tous les bons endroits et je l’adore absolument. C’est une explosion dès le début et cela devient de plus en plus amusant à mesure que vous débloquez des compétences et que vous achetez de nouveaux équipements.

Il y a beaucoup à aimer sur les planètes. Il y a des personnes chargées de nouvelles connaissances à découvrir, d'objets cosmétiques à collectionner et d'ennemis à combattre. L’exploration est essentielle pour ouvrir des raccourcis, trouver les équipements et secret, créer votre catalogue de ponchos glamour, de peintures et d’éléments de sabre laser, et pour acquérir des améliorations pratiques pour vous-même et BD-1. Au départ, j’ai apprécié le manque de déplacements rapides. Les planètes évoluent tout au long du jeu avec de nouvelles zones à explorer et des ennemis à affronter. Cependant, parcourir les planètes entières pour recueillir les derniers secrets est long et des compétences doivent être nécessaire pour terminer une planètes à 100%. De plus, les points de méditation présent sur les différents lui font office de point de sauvegarde où vous pourrez dispenser vos points de compétences dans les 3 arbres: La force, le sabre laser et la survie.

Les phases de combat et les techniques employées sont variées. Le combat est fluide. Les ennemis sont divers et vous devrez exploiter leur faiblesse pour les vaincre. Les combats de boss sont excellents dans l'ensemble, mais ils sont particulièrement excitants avec les inquisiteurs. Briser leurs défenses est nettement plus exigeant que les ennemis standard. Les cinématiques après les boss sont intéressantes. La narration et le gameplay fonctionnent à merveille conjointement. Au fur et à mesure que la confiance de Cal grandit tout au long de l’histoire, vous en maîtrisez les mécanismes. À la fin du jeu, je me sentais comme un chevalier Jedi chevronné dans chaque bataille.

Je ne peux pas assez célébrer la personnalisation du sabre laser. Vous pouvez le modifier à votre guise en modifiant la couleur, l’émetteur, le commutateur, la gaine et le matériau. Cela seul m'a encouragé à récupérer tous les coins et recoins des planètes. C’est un peu gênant d’admettre, mais le fait de modifier l’apparence de Cal m'a permis de jouer le rôle du voyage de Padawan à maître Jedi. J'ai passé la majeure partie du match dans sa combinaison de marron par défaut avec un sabre laser bleu puis j'ai enfin pu le modifier à ma façon. Vous pouvez également allumer votre sabre laser à volonté, pas mal pour les phases d’exploration obscure.

En conclusion, un très bon jeu avec des phases d'exploration et de combat. Conviendra parfaitement au fan, comme moi, de la licence Star Wars. Vive BD-1 & Merine ♥

NUL A CHIER ENVAHIE DE CHEATER CHINOIS

Pensé comme un petit épisode "à part", cette aventure nous place au contrôle de Chris, jeune enfant de 10 ans, qui vit seul avec son père, un brin porté sur la bouteille depuis la disparition de son épouse. On débute donc dans la chambre du petit blondinet, au milieu d'une de ses nombreuses session de jeu mêlant jouets et imagination. Le talent de DONTNOD pour la narration et la mise en scène fait tout de suite des merveilles et l'on se retrouve propulsé en enfance, au coeur d'une épopée calme, amusante, et touchante.
Les Aventures Extraordinaires de Captain Spirit : L'avant Life is Strange 2
D'un point de vue purement technique, cet aventure charnière mets les petits plats dans les grands et offre un rendu moins "aquarelle" que celui de la première saison, mais conjugue toujours aussi efficacement simplicité et beauté. Le passage à l'Unreal Engine 4 permet une plus grosse souplesse et une élégance flagrante au niveau du soin apporté aux caméras et aux animations, notamment faciales (un des points noirs de LiS et de LiS:BTS), tandis que l'enrobage graphique globale bénéficie d'un plus gros éventail d'effets. Le choix des musiques est toujours aussi parfait et nous avons pu découvrir un des trois morceaux qui compose l'OST, Death With Dignity et Sufjan Stevens, laquelle sera accompagnée notamment d'une chanson française durant cette aventure d'environ une à deux heures.
Au fil de la démo, d'environ 2 heures, le petit Chris va interagir avec de très nombreux objets, et dessinera notamment, suivant vos choix, son costume de "Captain Spirit", super-héro imaginaire qui l'aide à affronter ses peurs. Il récupérera d'ailleurs assez vite une feuille de quête, remplaçant les habituels journaux intimes et lettres de Life is Strange. Sur cette feuille, on découvrira plusieurs objectifs, comme par exemple aller vaincre le "monstre buveur d'eau". C'est ce dernier, parmi la demi-douzaine disponibles durant cette courte aventure, que les développeurs ont choisi d'affronter pour notre démonstration. Pour ce faire, il fallait se rendre au garage, plongé dans les ténèbres : l'une des plus grosses peur de Chris. Prenant son courage à deux mains, il s'introduit dans la pièce, et laisse parler son imagination...
C'est à cet instant que le titre bascule à nouveau dans l'imaginaire de cet enfant de 10 ans, lequel s'invente sans cesse des histoires et aventures épiques pour dépasser ses limites, s'amuser d'un rien, et affronter ses peurs les plus profondes. On se retrouve donc dans un niveau halluciné, face à un monstre difforme que l'on va mater en appuyant frénétiquement sur une touche. D'ailleurs, suivant les boss, plusieurs "variantes de gameplay" sont à attendre, sans pour autant que l'on sorte du socle d'interactions instauré par Life is Strange. Une fois dompté, le monstre s'avère en fait être le cumulus de la maison, et Chris revient victorieux du garage, prêt à affronter une nouvelle aventure où à reprendre le cours normal de sa vie, avec son père. D'ailleurs, ce dernier jouera une part importante dans l'intrigue puisqu'il est possible d'interagir différemment avec lui suivant vos choix.
LES CHOIX QUI COMPTENT
Comme dans Life is Strange premier du nom, les événements au sein d'une scène se déroulent en temps réel, et c'est à vous de choisir quand agir. Ici, même sans pouvoirs, nous avons pu voir différents événements ponctuels, à l'image d'un coup de téléphone, auquel on peut répondre ou non. Le père de Chris nous a également appelé pour le repas et il était possible de lui répondre ou non, ce qui influencera son discour à notre égard. Toute l'aventure est pensée comme un petit sandbox où les joueurs pourront tester différentes choses, lire des documents et évidemment en apprendre plus sur la mère de Chris, Emily Eriksen, étudiante en art a Blackwell elle abandonna son projet en 2006 suite a ça grossesse. Attention toutefois, n'allez pas vous imaginer que The Awesome adventure of Captain Spirit est un prologue de Life is Strange 2, il s'inscrit dans le "Life is Strange Universe" sans en être forcément l'introduction de la seconde saison. En revanche, les développeurs nous ont promis que nos choix dans cette courte épopée gratuite diffusée, auront un petit lien avec le déroulement de la seconde saison. On suppose donc que la saison 2 sera d'une manière où d'une autre liée à la vie de la mère de Chris, Emily Eriksen. Sur ces belle paroles Captain Spirit ne m'a pas endiablé comme BTS ou Farewell donc pour le moment je ne le recommande pas. (J'ai pas retrouvé l'émotion que j'ai eu avec les premier LIFE IS STRANGE).