parfum
Apparence
Pandôo
[Sepe]parfum \paʁ.fœ̃\ linô kôlï
- fîon, yömbö
- Qu’ai-je besoin de demander aux choses d’autres jouissances que celle de leur présence, c’est-à-dire leur beauté et leur parfum ? — (Octave Mirbeau, « Ma chaumière » na Lettres de ma chaumière , 1885)
- Un souffle de parfum qu’elle porte, une odeur d’encens et de fleurs, vient à moi, et à ce parfum qui la désigne comme un vrai nom, je la reconnais : […]. — (Henri Barbusse, L’Enfer , Éditions Albin Michel, Paris, 1908 ; éditions G. Crès, Paris, 1925)
- Des racines coupées et des feuilles de betteraves, bouillant dans une marmite sur le feu, mêlaient leur parfum âcre à l’odeur de renfermé qui semblait stagner dans les encoignures. — (« La Vengeance du père Jourgeot » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- Et chacun de me plaisanter ; ma jeunesse à son lever, mon parfum de fille fraîche, ma chair toute neuve en son premier éclat éveillaient chez les hommes de sournoises concupiscences, aiguisaient leur regard. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes , 1954, lêmbëtï 32)
- Les soirs […], quand, à l'heure du repas, maman posait la cocotte noire sur la table, la cacasse-à-cul-nu dégageait un parfum particulier. — (Yanny Hureaux, Bille de chêne: Une enfance forestière , JC Lattès, 1996)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï