mordre
Apparence
Palî
[Sepe]mordre \mɔʁdʁ\
- dë, te
- Catherine et moi nous allions derrière, dans le verger ; nous mordions dans les mêmes pommes et dans les mêmes poires ; nous étions les plus heureux du monde. — (Erckmann-Chatrian, Histoire d’un conscrit de 1813 , J. Hetzel, 1864)
- Il trempait son pain dans sa soupe et il en mordait d’énormes bouchées, […]. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 246)
- Mords-moi… Je veux que tu me mordes… Là, dans le cou, sous les cheveux, comme les chats font aux chattes… — (Pierre Louÿs, Trois filles de leur mère , Paris, 1926, chapitre 1)
- (Bîanî) — Si l’animal a le vice de mordre, il est attaché très-court, […]. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes , Jules Pailhès, 1877)
- hön, sï
- (Mbäkôro) bâa ndo
- De n’pas danser, on mord les autres, n’est-ce pas ? et j’ai justement vu — quand tu m’interrogeais — une connaissance avec qui j’suis en affaire et qui, en douce, m’a fait signe de rappliquer. — (Francis Carco, Images cachées , 1928)
- Le Bosphore, eh bien le Bosphore c’est pas de la merde non plus ! Tiens, matez les couleurs : la Corne d’Or, la Mer Noire, la Mosquée Bleue et les minarets, mordez les minarets ! — (Bernard Blier, Le cri du cormoran le soir au-dessus des jonques , Michel Audiard, 1971)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï