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Energy and mines in Mauritania

About us

TAQA is a Mauritania-focused platform publishing, on a daily basis, updates regarding all issues, news, policies related to mining and energy fields. Our team pursues the latest information in order to offer to our readers useful reports, in-depth analyses and exclusive interviews with all stakeholders (public officials in charge of the mining and energy sector, international companies' executives investing in, local private operators….). All in all, we cover different areas of the entire energy value chain – from oil and gas exploration to renewable power and green hydrogen –, on top of the mining matters. In that respect, many contents' formats (texts, videos, motion graphics.. and so forth) will be utilized. Our editorial line First of all, Taqa is an independent media outlet. It has no political bias whatsoever. For us, the precision of information and the objectivity of analysis are of highest importance. Secondly, our platform is a specialized website which delivers a high quality content focusing on mining -be it is industrial or traditional- and energy. We are reporting and investigating these areas, explaining what needs to be clarified, making it easy to read such a sophisticated and technical information. Finally, the website content is all about Mauritania. We cover also some regional and international informations which are relevant for the local energy sector or could revealed to be interesting for mauritanian public. Overall, we value great deal the respect of the journalistic norms and standards, pledging to observe these deontological norms in all what we do.

Website
https://taqas.net/fr/
Industry
Online Audio and Video Media
Company size
2-10 employees
Headquarters
Nouakchott, Mauritanie
Type
Self-Employed
Founded
2022
Specialties
Mines, gaz , pétrole, energies renouvelables , hydrogène vert, or , fer, cuivre , uranium, mining, oil, gas, green hydrogen, energy, conenu local , local content, energies, renewable energy, green hydrogen, Iron , hydrocarbures , mauritania, mauritanie , gold, and Copper

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    Mauritania, with its abundant natural resources and strategic location, has significant potential to become a key player in the green hydrogen sector. The global transition to cleaner energy sources to combat climate change positions green hydrogen—produced using renewable energy—as a highly promising solution. This article delves into the economic and environmental potentials of green hydrogen production in Mauritania, along with the challenges that must be addressed to establish the country as a major player in this emerging industry... The full article in the first comment

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    Ce matin, le ministre mauritanien des Pétroles et de l’Énergie, M. Nani Ould Chrougha, en compagnie de son homologue sénégalais, M. Birame Souleye Diop, a effectué une visite significative des installations du champ de gaz Tortue Ahmeyim, situé à 40 kilomètres au large de la côte atlantique. Cette visite marque un jalon important dans le suivi du développement du champ de gaz, qui est un projet commun entre la Mauritanie et le Sénégal, en collaboration avec les entreprises BP et Kosmos Energy. Le ministre Ould Chrougha a annoncé lors de cette visite que l’avancement du projet avait atteint 95 %, signalant ainsi la proximité de la première production de gaz. Selon ses déclarations, l’objectif est désormais de produire 2,3 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié par an pendant plus de 20 ans, ce qui représente une étape clé dans la réalisation des ambitions énergétiques des deux pays. L’arrivée de la plateforme FPSO (Floating Production Storage and Offloading) au site est considérée comme une avancée majeure pour le projet. Cette unité flottante, qui est la quatrième et dernière composante nécessaire à la phase initiale du développement, sera en mesure de traiter et de produire 500 millions de pieds cubes de gaz par jour, soulignant ainsi l’importance stratégique de cette installation. Les infrastructures du champ GTA comprennent quatre éléments principaux : les systèmes de puits et les pipelines sous-marins, la plateforme FPSO, la station de liquéfaction FLNG, ainsi que les installations de soutien telles que les logements et les infrastructures de protection contre les vagues. Cette visite a permis aux délégations mauritanienne et sénégalaise de vérifier le bon état de ces installations et de confirmer leur préparation pour le début imminent des opérations. Le champ de gaz GTA, situé à la frontière maritime entre la Mauritanie et le Sénégal, représente une opportunité significative pour la région, précise un communiqué publié par le ministère. Ce projet, qui marque la première initiative de développement de gaz en mer dans la région, devrait non seulement générer des revenus substantiels pour les deux pays, mais aussi fournir une source d’énergie locale à faible coût, tout en favorisant l’expansion du secteur énergétique et minier en Mauritanie.

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    Le Conseil des Ministres, réuni ce 23 juillet 2024, a validé le Projet de loi visant à renforcer le contenu local dans les secteurs des Industries Extractives et de l’Énergie. Ce projet de loi s'inscrit dans une vision stratégique qui aspire à une meilleure intégration locale et à une optimisation des retombées économiques pour le pays, selon le communiqué de presse publié par le conseil. "Ce projet de loi est directement aligné avec la Stratégie du Contenu Local dans le secteur Extractif (CLE) 2022-2030, la Vision Minière Africaine, et l'Agenda 2063 de l'Union Africaine. Il reflète également les engagements pris dans le cadre des accords commerciaux avec les nations africaines, visant à renforcer la coopération économique régionale", précise le communiqué. Dans le communiqué, l’accent est mis sur le rôle stratégique croissant des industries extractives et de l’énergie, en particulier l’hydrogène vert, dans l’économie nationale. L’objectif est de jeter les bases d'une économie diversifiée, moins dépendante des ressources naturelles, et surtout des ressources non renouvelables. Ce projet de loi cherche ainsi à transformer les richesses naturelles en un levier de développement durable et inclusif. Pour garantir l’atteinte de ces objectifs, des mesures d’accompagnement seront mises en place, ajoute le communiqué. Elles visent principalement à promouvoir les petites et moyennes entreprises locales, à améliorer la qualité des biens et services offerts, et à développer une expertise et un savoir-faire locaux. Ces actions sont essentielles pour répondre aux impératifs de développement et pour assurer une croissance économique résiliente et durable.

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    Le Conseil des Ministres a examiné et approuvé, aujourd’hui, le projet de loi instituant le Code de l’Hydrogène Vert. Ce cadre législatif vise à établir une réglementation claire et incitative, destinée à stimuler les investissements dans ce secteur en plein essor. Le communiqué du Conseil des Ministres souligne l’importance de cette initiative pour attirer des capitaux indispensables à la croissance de l’industrie de l’hydrogène vert en Mauritanie. Ce projet de loi sera un pilier pour la régulation des différentes activités liées à la production de l’hydrogène vert, tant en amont qu’en aval. Il comprend des dispositions visant à encadrer les processus industriels bruts et raffinés, garantissant ainsi une transparence accrue et une sécurité juridique pour les investisseurs. Le Conseil des Ministres insiste sur le rôle crucial de ce cadre réglementaire pour renforcer la confiance des investisseurs internationaux, qui montrent un intérêt croissant pour les opportunités offertes par le secteur de l’hydrogène vert. Avant de devenir définitif, le projet de loi sera présenté devant le Parlement pour discussion et approbation finale. Cette étape essentielle permettra de consolider le texte et d’assurer son adéquation avec les attentes des différents acteurs du secteur. Le communiqué du Conseil des Ministres rappelle l’importance de ce passage législatif pour la mise en œuvre rapide et efficace des dispositions prévues par le Code de l’Hydrogène Vert. La Mauritanie, ayant déjà signé plusieurs mémorandums d’entente (MOUs) pour le lancement de projets dans le domaine de l’hydrogène vert, se prépare à franchir une nouvelle étape avec l’adoption de ce projet de loi.

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    TGS, un leader mondial dans les données énergétiques et l’intelligence, a annoncé aujourd’hui la signature d’un accord avec le Ministère du Pétrole, des Mines et de l’Énergie de la Mauritanie. La signature, effectuée la semaine passée à Nouakchott, a été paraphée par NANI Ould Chrougha, ministre mauritanien du Pétrole, et James Pryor, responsable commercial multiclient pour TGS dans la zone MSGBC. Selon le communiqué de presse de TGS, cet accord permet à l’entreprise d’étendre les données disponibles tant sur terre qu’en mer à travers la Mauritanie. Les nouvelles données géologiques sous-surfaciques incluent dix relevés sismiques 3D à azimut étroit, traités par ION en 2022 grâce à la migration en profondeur avant empilement 3D, aboutissant à un volume fusionné et migré de 19,092 km². De plus, environ 84,000 km² de relevés 3D provenant de concessions offshore abandonnées, des puits offshore et onshore, et environ 20,000 km linéaires de données sismiques 2D onshore dans le bassin de Taoudeni sont inclus. Le communiqué précise également que l’exploration offshore en Mauritanie s’est concentrée sur les jeux de canaux drapés de sel cénozoïques, mis en lumière par la découverte du champ de Chinguetti en 2001. Depuis lors, la majorité des puits ont ciblé ce jeu éprouvé. Les récentes explorations en eaux profondes et dans les régions voisines ont révélé un potentiel significatif dans les jeux de sable canaux crétacés et les clastiques de plateau au-dessus de la plateforme carbonatée. Un potentiel non exploité existe également dans la plateforme carbonatée et les zones de syn-rift . David Hajovsky, vice-président exécutif de Multi-Client chez TGS, a déclaré dans le communiqué : « La Mauritanie offre un potentiel significatif en hydrocarbures. Ces ensembles de données critiques fourniront des insights complets sur la sous-surface, reliant les perspectives forées aux régions sous-explorées comme les eaux profondes. Combinées à la vaste base de données de TGS le long du bassin MSGBC, cela permettra une analyse méga-régionale approfondie, améliorant la compréhension des analogues et des variations le long de la marge » . Le communiqué mentionne, a mentionné à la fin, que les données sont dès à présent disponibles auprès de TGS sur une base multi-clients.

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    Thierry Lepercq, fondateur et président de HyDeal, a exprimé son opinion sur la récente décision de la Cour des comptes européenne (CCE) d’examiner de manière critique les politiques de l’UE en matière d’hydrogène vert. Selon Lepercq, cette révision est particulièrement commentée par les sceptiques de l’hydrogène, car la CCE soulève des points pertinents basés sur des faits indéniables. En effet, l’objectif de 20 Mt/an d’ici 2030, fixé il y a deux ans, n’a jamais été justifié de manière substantielle, ce qui soulève des doutes sur sa faisabilité et sa pertinence. Lepercq souligne également le coût élevé de la production d’hydrogène vert dans l’UE, comme le montre la récente enchère de la Banque européenne de l’hydrogène. Ce coût élevé crée un écart considérable avec les alternatives fossiles, rendant les régimes de subventions et les mandats réglementaires, en particulier pour les carburants de raffinage et d’aviation, financièrement insoutenables. Il met en garde contre la surcharge de l’industrie européenne avec des coûts et des régulations massifs, ce qui pourrait entraîner une délocalisation de la fabrication et d’autres secteurs économiques. Malgré ces critiques, Lepercq affirme que les efforts de décarbonisation, pour lesquels l’hydrogène vert est essentiel dans de nombreux secteurs, ne doivent pas être abandonnés. Il met en garde contre le débat politique dans certains pays qui prône l’abandon de ces efforts, surtout à un moment où les températures mondiales ont dépassé le seuil critique de 1,5 °C. Selon lui, il est impératif de continuer à soutenir le développement de l’hydrogène vert. Lepercq propose une voie claire pour aller de l’avant, que la CCE découvrira bientôt : (i) agréger une demande non subventionnée d’hydrogène vert (à 2,5 €/kg livré) dans l’industrie européenne, l’énergie et la mobilité ; (ii) produire à grande échelle de l’hydrogène solaire compétitif provenant de divers pays de la région MENA (pour diversifier l’approvisionnement et atténuer les risques) ; et (iii) mettre en place des infrastructures de pipelines (le moyen le plus rentable de transporter le produit), comme cela a été récemment annoncé entre la Tunisie et l’Italie. Pour conclure, Thierry Lepercq exprime un optimisme prudent : malgré les défis actuels, il croit fermement que le temps du marché et du système euro-méditerranéen de l’hydrogène vert est venu. Comme le dit le proverbe, « il fait toujours plus sombre juste avant l’aube ». Selon lui, l’avenir de l’hydrogène vert en Europe est prometteur, à condition de suivre la voie proposée.

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    Les auditeurs de la Cour des comptes européenne mettent en garde contre l’optimisme excessif des objectifs de production et de demande d’hydrogène renouvelable de l’UE pour 2030. Selon un rapport récent, bien que la Commission européenne ait pris plusieurs mesures positives, de nombreux défis persistent tout au long de la chaîne de valeur de l’hydrogène, rendant improbable l’atteinte des cibles fixées. Les auditeurs recommandent un réajustement des objectifs afin de garantir que les choix stratégiques de l’UE ne compromettent pas la compétitivité des industries clés ou ne créent pas de nouvelles dépendances stratégiques . L’hydrogène renouvelable, ou « vert », est crucial pour l’avenir de certaines industries européennes, car il peut contribuer à décarboniser des secteurs particulièrement difficiles à électrifier comme la production d’acier, les pétrochimiques, le ciment et les engrais. De plus, il aide l’UE à atteindre ses objectifs climatiques de zéro émission de carbone d’ici 2050 et à réduire sa dépendance aux combustibles fossiles russes. Malgré ces avantages potentiels, le rapport souligne la nécessité d’un examen réaliste des ambitions de l’UE pour éviter des répercussions négatives sur la compétitivité industrielle et de nouvelles dépendances stratégiques . Le rapport critique les objectifs ambitieux de la Commission pour 2030, soit 10 millions de tonnes de production et 10 millions de tonnes d’importation d’hydrogène renouvelable, jugés irréalistes et non fondés sur une analyse robuste. Ces objectifs, principalement motivés par des considérations politiques, ont rencontré plusieurs obstacles dès le départ. Par exemple, les ambitions des États membres n’étaient pas toujours alignées sur ces cibles, et la Commission n’a pas réussi à coordonner efficacement les efforts de toutes les parties prenantes . Cependant, les auditeurs reconnaissent que la Commission a proposé la plupart des actes législatifs nécessaires en un temps record, créant ainsi un cadre juridique presque complet. Malgré cela, la définition des règles pour l’hydrogène renouvelable a pris du temps, retardant de nombreuses décisions d’investissement. Les développeurs de projets hésitent à investir car l’offre et la demande sont interdépendantes, créant ainsi un véritable problème de type « œuf et poule » . Pour développer une industrie de l’hydrogène en Europe, des investissements publics et privés massifs sont nécessaires. Toutefois, la Commission ne dispose pas d’une vue d’ensemble complète des besoins ou des financements publics disponibles. Le financement européen, estimé à 18,8 milliards d’euros pour la période 2021-2027, est dispersé entre plusieurs programmes, rendant difficile pour les entreprises de déterminer le type de financement le plus approprié pour chaque projet.

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    Le député allemand Carl-Julius Cronenberg a exprimé son intérêt pour le développement de l’industrie de l’hydrogène vert en 𝐌𝐚𝐮𝐫𝐢𝐭𝐚𝐧𝐢𝐞, soulignant l’importance de la stabilité du pays dans une région tumultueuse. Lors d’une interview accordée à Deutsche Welle le 10 juillet 2024, Cronenberg a salué la réélection du président mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, vu comme un garant de stabilité dans une zone marquée par des coups d’État répétés. Cronenberg, président du groupe parlementaire pour les États du Maghreb, a insisté sur le potentiel de la 𝐌𝐚𝐮𝐫𝐢𝐭𝐚𝐧𝐢𝐞 à devenir un acteur clé dans le développement des énergies renouvelables. « Nous espérons voir se développer l’industrie de l’hydrogène vert en 𝐌𝐚𝐮𝐫𝐢𝐭𝐚𝐧𝐢𝐞 », a-t-il déclaré, soulignant que l’Allemagne, bien qu’elle n’investisse pas directement en tant qu’État, pourrait faciliter l’investissement privé et européen dans ce secteur. 𝐋’𝐡𝐲𝐝𝐫𝐨𝐠𝐞̀𝐧𝐞 𝐯𝐞𝐫𝐭 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐠𝐚𝐳 𝐧𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞𝐥 : 𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭𝐮𝐧𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐚̀ 𝐬𝐚𝐢𝐬𝐢𝐫 La Mauritanie, partageant un champ de gaz avec le Sénégal sur la côte atlantique, est en position favorable pour attirer des investisseurs en quête de nouvelles sources d’énergie. « L’Allemagne a besoin de beaucoup d’énergie et d’énergie verte de préférence », a affirmé Cronenberg. Il a souligné que les projets dans le gaz et l’hydrogène, ainsi que les énergies renouvelables comme le vent et le solaire, pourraient non seulement favoriser le développement local mais aussi répondre aux besoins énergétiques de l’Allemagne. Cronenberg a également mis en avant les défis liés à ces investissements, notamment la nécessité de développer les infrastructures et la formation professionnelle en Mauritanie. « L’Allemagne peut apporter beaucoup d’aide au développement dans ces domaines », a-t-il ajouté, indiquant une volonté de soutenir la montée en compétences des ingénieurs et travailleurs mauritaniens. 𝐋𝐞 𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐔𝐧𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐬𝐬𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐯𝐞́𝐬 Pour mobiliser les investisseurs privés, Cronenberg a mentionné le rôle crucial de l’Union européenne et de ses initiatives comme le Global Gateway. Ce programme, soutenu par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, vise à favoriser des partenariats internationaux dans les secteurs du numérique, de l’énergie et de l’environnement. « La Banque d’investissement européenne au Luxembourg finance déjà des projets d’infrastructure, ce qui est une bonne nouvelle pour les investisseurs européens et allemands intéressés par la région », a-t-il précisé.

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    Aura Energy (ASX) a reçu la dernière autorisation nécessaire de la part du gouvernement mauritanien pour développer son projet d’uranium Tiris en Mauritanie, franchissant ainsi une étape cruciale vers une décision finale d’investissement prévue pour le premier trimestre 2025, selon le The australian business review. L’entreprise a récemment augmenté ses ressources en uranium de 55 %, atteignant 91,3 millions de livres, grâce à un programme de forage de 15 262 mètres. Cette augmentation des ressources a été obtenue à un coût de découverte de seulement 0,14 USD par livre d’U₃O₈, renforçant l’attrait économique du projet avec une valeur actuelle nette (NPV8) de 388 millions USD et un taux de rentabilité interne (IRR) de 36 % après impôts. L’autorisation pour développer, extraire et produire du concentré d’oxyde d’uranium (UOC) a été délivrée par l’Autorité nationale pour la protection contre les radiations, la sécurité et la sûreté nucléaire. Cette avancée, soutenue par la formation d’un comité interministériel par le gouvernement mauritanien, permet à Aura Energy de se positionner comme un futur producteur d’uranium à court terme, avec une production initiale estimée à partir de 2026. Les approbations pour l’exportation de l’uranium seront accordées dans le cadre d’un programme de surveillance des exportations, conforme aux normes internationales de suivi des matériaux radioactifs.

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    La Mauritanie a présenté, vendredi 12 juillet 2024, son deuxième rapport d’examen national volontaire sur les Objectifs de Développement Durable (ODD) au Forum politique de haut niveau sur le développement durable. Ce forum, se tenant à New York du 8 au 18 juillet 2024, est organisé sous l’égide du Conseil économique et social des Nations unies. Le thème de cette année, « Faire progresser le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et éradiquer la pauvreté en période de crises multiples : mettre en œuvre efficacement des solutions durables, résilientes et innovantes », a mis en lumière les défis et opportunités rencontrés par les pays dans leur quête d’un avenir durable. Le ministre mauritanien de l’Économie et du Développement Durable, M. Abdessalam Ould Mohamed Saleh, a présenté les avancées significatives de la Mauritanie dans le cadre des ODD. Il a souligné les « progrès réalisés grâce aux programmes ambitieux du gouvernement en matière de protection sociale et d’accès aux services de base tels que l’éducation, la santé, l’eau potable et l’électricité ». M. Saleh a également rappelé les efforts de la Mauritanie pour lutter contre le changement climatique. Face à des défis majeurs comme les sécheresses, la désertification et la dégradation des milieux environnementaux fragiles, le pays s’est engagé à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 11 % d’ici à 2030, a-t-il précisé. En 2021, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale d’énergie a déjà atteint 42 %, avec un objectif ambitieux de 60 % d’ici 2030, ajoute-t-il. Cependant, le ministre a reconnu que des défis importants subsistent, notamment en termes de développement du capital humain, d’infrastructure et de gouvernance. Il a souligné le potentiel énorme de la Mauritanie dans le domaine de l’économie verte, un secteur capable de stimuler une croissance soutenue et d’améliorer les conditions de vie des citoyens. Pour exploiter ce potentiel, M. Saleh a insisté sur la nécessité d’une participation active du secteur privé et d’une mobilisation substantielle de ressources financières. Il a conclu en réaffirmant le soutien total de la Mauritanie à l’agenda de financement proposé par le Secrétaire Général des Nations Unies, visant à renforcer les initiatives durables à l’échelle mondiale.

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