tu quoque mi fili
Apparence
Étymologie
[modifier le wikicode]- Emprunté au latin tu quoque mi fili.
Locution-phrase
[modifier le wikicode]tu quoque mi fili \Prononciation ?\
Traductions
[modifier le wikicode]- Anglais : et tu, Brute (en)
- Arabe : حتى أنت يا بُنيَ (ar)
- Bulgare : et tu, Brute (bg)
- Chinois : et tu, Brute (zh)
- Cineni : et tu Brute (*)
- Danois : et tu, Brute (da)
- Estonien : et tu, Brute (et)
- Finnois : sinäkin Brutukseni (fi)
- Grec ancien : καὶ σὺ τέκνον (*)
- Hébreu : הגם אתה, ברוטוס (he)
- Islandais : og þú líka (is)
- Italien : tu quoque, Brute, fili mi (it)
- Japonais : おまえもか (ja) omae mo ka
- Macédonien : зар и ти, сине Бруте (mk)
- Russe : И ты, Брут (ru)
- Suédois : et tu, Brute (sv)
- Turc : et tu, Brute (tr)
- Ukrainien : et tu, Brute (uk)
Voir aussi
[modifier le wikicode]- tu quoque mi fili sur l’encyclopédie Wikipédia
Étymologie
[modifier le wikicode]- Mot attribué, sous cette forme, à Jules César au moment de sa mort, vraisemblablement par l’abbé Lhomond en 1779. Suétone (Vie de César, LXXXII, 3) rapporte la phrase en grec : « Atque ita tribus et uiginti plagis confossus est uno modo ad primum ictum gemitu sine uoce edito, etsi tradiderunt quidam Marco Bruto irruenti dixisse : καὶ σὺ τέκνον. » (« Il fut ainsi percé de vingt-trois coups : au premier seulement, il poussa un gémissement, sans dire une parole. Toutefois, quelques écrivains rapportent que, voyant s’avancer contre lui Marcus Brutus, il dit en grec : “Toi aussi, mon fils!” »).
- Composé de tu (« toi »), quoque (« aussi »), mi (« mon ») et fili (« fils (vocatif singulier de filius) »), littéralement « toi aussi, mon fils ».
Locution-phrase
[modifier le wikicode]tu quoque mi fili \tu: ˈkʷokʷe mi: ˈfi:li\