packen
Apparence
:
Étymologie
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Verbe
[modifier le wikicode]Mode ou temps |
Personne | Forme |
---|---|---|
Présent | 1re du sing. | ich packe |
2e du sing. | du packst | |
3e du sing. | er packt | |
Prétérit | 1re du sing. | ich packte |
Subjonctif II | 1re du sing. | ich packte |
Impératif | 2e du sing. | pack packe! |
2e du plur. | packt! | |
Participe passé | gepackt | |
Auxiliaire | haben | |
voir conjugaison allemande |
packen \ˈpa.kən\ (voir la conjugaison)
- Empoigner, attraper.
„Ei, Großmutter, was hast du für große Ohren!“
— (Brüder Grimm, Rothkäppchen, 1812)
„Daß ich dich besser hören kann.“
„Ei, Großmutter, was hast du für große Augen!“
„Daß ich dich besser sehen kann.“
„Ei, Großmutter, was hast du für große Hände!“
„Daß ich dich besser packen kann.“
„Aber, Großmutter, was hast du für ein entsetzlich großes Maul!“
„Daß ich dich besser fressen kann.“- « Eh ! Grand-mère comme tu as de grandes oreilles »
« C’est pour mieux t’entendre »
« Eh ! Grand-mère comme tu as de grands yeux »
« C’est pour mieux te voir »
« Eh ! Grand-mère comme tu as de grands bras »
« C’est pour mieux t’embrasser »
« Eh ! Grand-mère comme tu as une grande bouche »
« C’est pour mieux te manger. »
- « Eh ! Grand-mère comme tu as de grandes oreilles »
Außer einem Bett stand wenig (in dem Zimmer) – und der Zweck des Besuchs wurde damit auch recht schnell deutlich. Tobi packte mich und warf mich aufs Bett, (...)
— ((anonyme), « Horror-Date: Die Mutter im Zimmer », dans Jetzt.de, 25 septembre 2022 [texte intégral])- A part un lit, il n'y avait pas grand-chose (dans la chambre) - et le but de la visite est ainsi devenu assez vite clair. Tobi m'a attrapée et m'a jetée sur le lit, (...)
Die Schlacht begann von neuem. Diesmal stumm, ohne Schrei, ohne Wort. Sie nahmen sich nicht um den Leib, aber sie stießen sich die Nägel ins Gesicht, packten, zwickten, zerkratzten mit den Händen, was sie erwischen konnten.
— (Émile Zola, traduit par Franz Blei, Der Totschläger, Kurt Wolfs Verlag, 1923)- La bataille recommença, muette, sans un cri, sans une injure. Elles ne se prenaient pas corps à corps, s’attaquaient à la figure, les mains ouvertes et crochues, pinçant, griffant ce qu’elles empoignaient.
Und dabei trällerte sie, von einer tollen Lustigkeit gepackt, in Erinnerung an ein Wäscherinnenlied: »Patsch, patsch, Margot wäscht die Wäsche. Patsch, patsch, die Wäsche kriegt die Dresche. (...)«
— (Émile Zola, traduit par Franz Blei, Der Totschläger, Kurt Wolfs Verlag, 1923)- Et elle causait, prise d’une gaieté féroce, se rappelant une chanson de lavandière : — Pan ! pan ! Margot au lavoir… Pan ! pan ! à coups de battoir…
Auch wenn das Weibchen provozierend oder willig ist, ist es in jedem Fall das Männchen, das es nimmt: es wird genommen. Das trifft oft buchstäblich zu: entweder weil das Männchen entsprechende Organe hat oder weil es stärker ist, packt es das Weibchen und hält es fest; ebenso vollführt es aktiv die Kopulationsbewegungen.
— (Simone de Beauvoir, traduit par Uli Aumüller et Grete Osterwald, Das andere Geschlecht, Rowohlt Verlag, 1992)- Fût-elle provocante, consentante, c’est lui de toute façon qui la prend : elle est prise. Le mot a souvent un sens très précis : soit parce qu’il possède des organes adaptés, soit parce qu’il est le plus fort, le mâle la saisit, l’immobilise ; c’est lui qui effectue activement les mouvements du coït ;
- Faire (les valises).
Warum packt ihr die Koffer? Fahrt ihr weg? -- Ja, wir machen Urlaub am Bodensee und wollen morgen früh losfahren.
- Pourquoi faites-vous les valises ? Vous partez en voyage ? -- Oui, nous allons en vacances au lac de Constance et nous voulons partir demain matin.