Traité de la musique
Apparence
Œuvres complètes de Saint Augustin, Texte établi par Jean-Joseph-François Poujoulat et Jean-Baptiste Raulx, L. Guérin & Cie, .
Traduit par MM. CATULEUX et THÉNARD.
CHAPITRE PREMIER. L’art de déterminer la juste étendue des sons dépend de la musique et non de la grammaire.
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—II. Définition de la musique et de la modulation.
398
—III. Qu’entend-on par bien moduler et pourquoi ce mot est-il nécessaire à la définition ?
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—IV. En quoi le mot science entre-t-il nécessairement dans la définition de la musique ?
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—V. Le sentiment musical vient-il de la nature ?
402
—VI. Les chanteurs de théâtre ignorent la musique.
403
—VII. Des termes longtemps et non longtemps.
404
—VIII. Du temps plus ou moins long dans le mouvement.
404
—IX. Des mouvements rationnels ou irrationnels, connumérés ou dinumérés.
405
—X. Des mouvements compliqués et sesquialtères.
405
—XI. Comment on mouvement et un nombre sont bornés dans leur accroissement à l’infini et reçoivent une forme déterminée. — Système décimal.
406
—XII. Pourquoi, dans la numération, va-t-on de 1 à 10 et revient-on de 10 à 1 ?
407
—XIII. Du charme des mouvements proportionnés, en tant qu’il est apprécié par l’oreille.
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Chapitre premier. Points de vue différents du grammairien et du musicien dans l’appréciation de la quantité des syllabes.
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—II. Le grammairien juge d’un vers d’après l’autorité, le musicien, d’après la raison et l’oreille.
412
—III. Durées des syllabes.
412
—IV. Des pieds de deux syllabes.
413
—V. Des pieds de trois syllabes.
413
—VI. Pieds de quatre syllabes.
415
Chap. VII. Le vers est composé d’un nombre déterminé de pieds, comme le pied l’est d’un nombre déterminé de syllabes.
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—VIII. Noms des divers pieds.
417
—IX. De la construction des pieds.
418
—X. L’amphibraque, soit seul, soit mêlé à d’autres pieds, ne peut former de vers. Du levé et du posé.
419
—XI. Du mélange rationnel des pieds.
420
—XII. Des pieds de six temps.
420
—XIII. Comment on peut changer l’ordre des pieds sans troubler l’harmonie.
421
—XIV. Des pieds susceptibles de se mêler entre eux.
422
Chapitre premier. Définition du rhythme et du mètre.
424
—II. De la différence entre le mètre et le vers.
425
—III. Du rhythme composé de pyrrhiques.
426
—IV. Du rhythme continu.
427
—V. Y a-t-il des pieds de plus de quatre syllabes ?
428
—VI. Aucun pied de plus de quatre syllabes ne peut constituer un rhythme qui porte son nom.
430
—VII. De l’espèce et du nombre des pieds qui constituent le moindre mètre.
430
—VIII. De la valeur des silences dans les mètres. — Définition du mètre.
431
—IX. Du nombre de temps et de pieds auquel s’arrête le mètre.
432
Chapitre premier. Pourquoi la dernière syllabe d’un mètre est-elle indifférente ?
434
—II. Du nombre de syllabes dont se compose le moindre mètre pyrrhique. — De la durée du
silence qu’il comporte.
435
—III. Variétés du mètre pyrrhique.
436
—IV. Du mètre iambique.
437
—V. Du mètre trochaïque.
438
—VI. Du mètre spondaïque.
439
—VII. Du tribraque : combien de mètres peut-il former ?
439
—VIII. Du dactyle.
439
—IX. Du bacchius.
440
—X. Que faut-il ajouter, avant le silence, à un pied déjà complet ?
440
—XI. L’iambe ne va pas bien après le ditrochée.
441
—XII. Total des mètres.
442
Chap. XIII. Méthode pour battre la mesure des mètres et pour interposer les silences.
443
—XIV. Suite de l’interposition des silences dans la mesure des mètres.
444
—XV. Suite de l’interposition des silences dans le mètre.
446
—XVI. Du mélange et de l’assemblage des pieds.
448
—XVII. De la combinaison des mètres.
450
Chapitre premier. Différence du rhythme, du mètre et du vers.
452
—II. Les mètres susceptibles de se diviser en deux parties sont plus parfaits que les autres.
452
—III. Étymologie du mot vers.
453
—IV. De la fin du vers.
454
—V. Fin du vers héroïque.
455
—VI. Suite du chapitre précédent.
456
—VII. Comment peut-on ramener à l’égalité le nombre inégal des demi-pieds dans chaque membre ? Du rapport d’égalité entre les membres de 4 et de 3 demi-pieds, de 5 et de 3 demi-pieds.
457
—VIII. Rapport entre les membres de 5 et de 7 demi-pieds.
458
—IX. Des membres composés de 6 et de 7 demi-pieds, de 8 et de 7, de 9 et de 7.
459
—X. De l’excellence des vers de six pieds : perfection incomparable du vers bernique et iambique, parmi les vers de six pieds.
460
—XI. De la manière la plus exacte de mesurer les vers de six pieds.
461
—XII. De la raison pour laquelle les vers senaires sont supérieurs à tous les autres.
462
—XIII. Épilogue.
463
Chapitre premier. De la fin qu’on s’est proposée
dans les livres précédents.
465
—II. De l’harmonie dans les sons : de ses différentes espèces, des rapports harmoniques, selon qu’ils existent dans le son ou qu’ils résultent de l’impression de l’oreille.
466
—III. Des rapports d’harmonie qui naissent de la prononciation ou qui se conservent dans la mémoire.
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—IV. Des rapports d’harmonie qui se rattachent au jugement : quelle est, parmi les différentes espèces d’harmonie, la plus parfaite ?
467
—V. L’âme est-elle modifiée par le corps ? Comment sent-elle ?
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—VI. Les trois dernières espèces de nombre : ordre et nom de toutes les espèces.
472
Chap. VII. Les nombres de jugement sont-ils éternels ?
473
—VIII. Tous les nombres sont soumis au contrôle des nombres de jugement.
474
—IX. Il y a dans l’âme d’autres nombres supérieurs aux nombres de jugement.
476
—X. Du rôle que joue la raison dans l’étude de la musique, dont le charme tient exclusivement à un rapport d’égalité.
478
—XI. L’harmonie, dans les choses inférieures, ne doit pas offenser, celle des choses supérieures doit seule charmer. Différence entre l’imagination de mémoire et l’imagination pure.
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—XII. Des nombres spirituels et éternels.
481
—XIII. De la manière dont l’âme se détourne de l’immuable vérité.
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—XIV. L’âme s’élève à l’amour de Dieu par la connaissance de l’ordre et de l’harmonie qu’elle goûte dans les choses.
484
—XV. L’âme accomplira en paix les mouvements du corps après la résurrection : la perfection de l’âme consistera alors en quatre vertus.
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—XVI. Comment ces quatre vertus sont l’apanage des bienheureux.
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—XVII. Des harmonies auxquelles l’âme pécheresse donne naissance et de celles qui la dominent. — Conclusion de l’ouvrage.
489