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6 | Janvier | Par M. de Perussis (pour Rome) : Au card. Barberin, au S. Fraisse, avec pacquet de Guittard à la Napolon.
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7 | » | Au Sire Cesari, avec les 14 escus des peaux de marroquin[1]. À M. Viaz, touchant le livre d’Estius que demandoit M. d’Orléans (Gabriel de l’Aubespine).
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8 | » | À Dominico Majolo et Benedetto Gnieco (à Rome) pour 60 orangers[2].
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14 | » | À M. de Lomenie, à M. du Puy, à M. Rubens[3], M. d’Oppede. Voyage de Marseille avec M. l’Archevesque d’Aix (en lettres majuscules).
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16 | » | par M. de Bourdaloue, de Marseille. |
À M. de Guise sur ses marbres antiques.
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20 | » | À M. le General Ranchin à Mompelier, pour les recueils du concile de son parent.
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- ↑ On sait que Peiresc avait, pour ses reliures, la passion du maroquin et particulièrement la passion du maroquin rouge.
- ↑ Pour Domenico Majolo et Benedotto Gnieco, je renvoie à une lettre de Peiresc à son frère, du 25 mai 1625, où l’on trouvera le dramatique récit des aventures de ces Italiens, qui furent arrêtés et emprisonnés à Brignoles et qui ne durent leur mise en liberté qu’à l’énergique intervention de leur illustre client, lequel eut à lutter, à cette occasion, contre le premier président du parlement d’Aix (d’Oppède). Cette lettre est une des plus curieuses de toutes celles que Peiresc écrivit à Valavez et qui rempliront en entier un volume de la collection des documents inédits.
- ↑ Pas de minute à Carpentras (R).