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Page:Jourdain - Les Décorés, 1895.djvu/261

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PAUL BONNETAIN

Ah, quel charmeur que ce maître écrivain !

Les femmes devraient élever un temple au féministe passionné qui les a si subtilement comprises et si tendrement dépeintes. Qu’elles s’abstiennent toutefois d’orner l’autel du lierre symbolique ; la plante qui « meurt où elle s’attache » représenterait mal l’humeur vagabonde de l’infatigable explorateur dont la devise restera jusqu’à la fin : Tout passe, tout lasse, tout casse.