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dois les meilleurs moments de ma vie, après ceux que j’ai consacrés aux affections domestiques. Je lui dois le désir constant de la retraite lorsque j’ai été dans les affaires, et la crainte d’y rentrer chaque fois que j’en suis sorti. Si l’ensemble de ma conduite m’a valu quelque considération, c’est à cet attrait pour l’étude qu’en revient tout l’honneur. Personnellement je n’y suis pour rien.