angoisse en le voyant détruit par ceux qui sont la verge de Dieu pour le châtier. Nous avons ensuite la réponse de Dieu, montrant qu’il connaît l’orgueil du méchant et qu’il le jugera, mais que le juste doit vivre en se confiant en Lui. Enfin, il s’élève au-dessus de tout jusqu’à la glorieuse puissance de Dieu, qu’Il exerce pour le salut de son peuple, en sorte qu’il se confie en Lui, quoi qu’il puisse arriver.
SOPHONIE.
En Sophonie nous trouvons le complet jugement du pays, dans la grande journée de l’Éternel, à cause de l’iniquité, de l’hypocrisie et de l’idolâtrie, — et celui de toutes les nations d’alentour — de tout ce qui se rattache à la puissance naturelle de l’homme — Jérusalem y comprise à cause de son iniquité — tout en étant spécialement signalée comme objet particulier du déplaisir de Dieu, en tant qu’en relation avec le Seigneur. La prophétie indique ensuite, très-distinctement, le résidu, en l’exhortant à s’attendre à Jéhova, qui les a laissés comme un peuple affligé et misérable, mais qui les délivrera par les jugements qu’il exécute, et qui se reposera dans son amour pour Jérusalem, la rendant célèbre et faisant d’elle un sujet de louange parmi tous les peuples.
AGGÉE.
s’occupe de la maison de Dieu, et déclare que sa dernière gloire sera plus grande que la première, au temps