Nouvelles récréations et joyeux devis
Apparence
Texte établi par Paul-Louis Jacob, Delahays, .
- Extrait du privilège du roy.
- Sonnet. Au lecteur.
- I. Première nouvelle, en forme de préambule.
- II. Des troys folz Caillette, Triboulet et Polite.
- III. Du chantre bassecontre de Sainct-Hilaire de Poytiers, qui accompara les chanoines à leurs potages.
- IV. Du bassecontre de Reims, chantre, Picard et maistre ès ars.
- V. Des trois sœurs nouvelles espousées qui respondirent chacune un bon mot à leur mary la première nuict de leurs nopces.
- VI. Du mary de Picardie qui retira sa femme de l’amour par une remonstrance qu’il luy fit en la presence des parens d’elle.
- VII. Du Normand allant à Romme, qui fit provision de latin pour porter au Sainct-Père, et comme il s’en ayda.
- VIII. Du procureur qui fit venir une jeune garse du village pour s’en servir, et de son clerc qui la luy essaya.
- IX. De celuy qui acheva l’oreille de l’enfant à la femme de son voisin.
- X. De Fouquet, qui fit accroire au procureur en Chastelet, son maistre, que le bonhomme estoit sourd, et au bonhomme que le procureur l’estoit, et comment le procureur se vengea de Fouquet.
- XI. D’un docteur en decret qu’un beuf blessa si fort qu’il ne sçavoit en quelle jambe c’estoit.
- XII. Comparaison des alquemistes à la bonne femme qui portoit une potée de lait au marché.
- XIII. Du roy Salomon, qui fit la pierre philosophale, et la cause pourquoy les alquemistes ne viennent au dessus de leurs intentions.
- XIV. De l’advocat qui parloit latin à sa chambrière, et du clerc qui estoit le truchement.
- XV. Du cardinal de Luxembourg et de la bonne femme qui vouloit faire son filz prebstre, qui n’avoit point de tesmoings, et comment ledict cardinal se nomma Philippot.
- XVI. De l’enfant de Paris nouvellement marié, et de Beaufort, qui trouva moyen de jouir de sa femme nonobstant la songneuse garde de dame Pernette.
- XVII. De l’advocat en parlement qui fit abbattre sa barbe pour la pareille, et du disner qu’il donna à ses amys.
- XVIII. De Gillet le menuzier : comment il se vengea du levrier qui luy venoit manger son disner.
- XIX. Du savetier Blondeau, qui ne fut oncq en sa vie melancholique que deux fois, et comment il y pourveut, et de son epitaphe..
- XX. De trois frères qui cuidèrent estre pendus pour leur latin.
- XXI. Du jeune filz qui fit valoir le beau latin que son curé lui avoit monstré.
- XXII. D’un prebstre qui ne disoit aultre mot que Jesus en son Evangile.
- XXIII. De maistre Pierre Fai-feu, qui eut des bottes qui ne lui coustèrent rien, et des copieux de la Flèche en Anjou.
- XXIV. De maistre Arnaud, qui emmena la haquenée d’un Italien en Lorraine, et la rendit au bout de neuf mois.
- XXV. Du conseillier et de son pallefrenier, qui luy rendit sa mule vieille en guise d’une jeune.
- XXVI. Des copieux de la Flèche en Anjou : comment ilz furent trompez par Piquet au moyen d’une lamproye.
- XXVII. De l’asne umbrageux qui avoit peur quand on ostoit le bonnet, et de Sainct-Chelaut et Croisé, qui chaussèrent les chausses l’un de l’aultre.
- XXVIII. Du prevost Coquillaire, malade des yeux, auquel les medecins faisoient accroire qu’il voyoit.
- XXIX. Des finesses et actes memorables d’un regnard qui estoit au bailly de Maine-la-Juhés.
- XXX. De maistre Jehan du Pont-Alais : comment il la bailla bonne au barbier d’estuves, qui faisoit le brave.
- XXXI. De madame la Fourrière,qui logea le gentilhomme au large.
- XXXII. Du gentilhomme qui avoit couru la poste et du coq qui ne pouvoit chaucher.
- XXXIII. Du curé de Brou et des bons tours qu’il faisoit en son vivant.
- XXXIV. Du mesme curé et de sa chambrière, et de sa laiscive qu’il lavoit, et comment il traicta son evesque, et ses chevaulx, et tout son train.
- XXXV. Du mesme curé et de la carpe qu’il achepta pour son disner.
- XXXVI. Du mesme curé qui excommunia tous ceux qui estoient dedans un trou.
- XXXVII. De Teiran, qui, estant sur sa mule, ne paroissoit point par dessus l’arçon de la selle.
- XXXVIII. Du docteur qui blasmoit les danses et de la dune qui les soustenoit, et des raisons alleguées d’une part et d’aultre.
- XXXIX. De l’Escossois et sa femme, qui estoit un peu trop habile au maniement.
- XL. Du prebstre et du masson qui se confessoit à luy.
- XLI. Du gentilhomme qui crioit la nuict après ses oiseaux et du chartier qui fouettoit ses chevaux.
- XLII. De la bonne femme vefve qui avoit une requeste à presenter et la bailla au conseiller lay pour la rapporter.
- XLIII. De la jeune fille qui ne vouloit point d’un mary pour ce qu’il avoit mangé le doz de sa première femme.
- XLIV. Du bastard d’un grand seigneur qui se laissoit pendre à credit et qui se faschoit qu’on le sauvast.
- XLV. Du sieur de Raschault, qui alloit tirer du vin, et comment le fausset lui eschappa dedans la pinte.
- XLVI. Du tailleur qui se desroboit soy-mesmes, et du drap gris qu’il rendit à son compère le chaussetier.
- XLVII. De l’abbé de Saint-Ambroise et de ses moines, et d’autres rencontres dudict abbé.
- XLVIII. De celuy qui renvoya ledit abbé avec une responce de nez.
- XLIX. De Chichouan, tabourineur, qui fit adjourner son beau-père pour se laisser mourir, et de la sentence qu’en donna le juge.
- L. Du Gascon qui donna à son père à choisir des œufs.
- LI. Du clerc des finances qui laissa cheoir deux detz de son escriptoire devant le roy.
- LII. De deux pointz pour faire taire une femme.
- LIII. La manière de devenir riche.
- LIV. D’une dame d’Orleans qui aymoit un escolier qui faisoit le petit chien à sa porte, et comment le grand chien chassa le petit.
- LV. De Vaudrey et des tours qu’il faisoit.
- LVI. Du gentilhomme qui coupa l’oreille à un coupeur de bourses.
- LVII. De la damoiselle de Thoulouse qui ne souppoit plus, et de celuy qui faisoit la diette.
- LVIII. Du moyne qui respondoit tout par monosyllabes rymez.
- LIX. De l’escolier legiste et de l’apotiquaire qui luy apprint la medecine.
- LX. De messire Jehan, qui monta sur le mareschal pensant monter sur sa femme.
- LXI. De la sentence que donna le prevost de Bretaigne, lequel fit pendre Jehan Trubert et son filz.
- LXII. Du jeune garson qui se nomma Thoinette pour estre receu à une religion de nonnains, et comment il fit sauter les lunettes de l’abbesse qui le visitoit.
- LXIII. Du regent qui combatit une harangère du Petit-Pont à belles injures.
- LXIV. De l’enfant de Paris qui fit le fol pour jouir de la jeune vefve, et comment elle, se voulant railler de luy, receut une plus grande honte.
- LXV. De l’escolier d’Avignon et de la vieille qui le print à partie.
- LXVI. D’un juge d’Aigues-Mortes, d’un Pasquin et du concile de Latran.
- LXVII. Des gensdarmes qui estoient chez la bonne femme du village.
- LXVIII. De maistre Berthaud, à qui on fit accroire qu’il estoit mort.
- LXIX. Du Poytevin qui enseigne le chemin aux passans.
- LXX. Du Poytevin et du sergent qui mit sa charrette et ses beufs en la main du roy.
- LXXI. D’un aultre Poytevin, et de son filz Micha.
- LXXII. Du gentilhomme de Beausse et de son disner.
- LXXIII. Du prebstre qui mangea à desjeuner toute la pitance des religieux de Beau-Lieu.
- LXXIV. De Jehan Doingé, qui tourna son nom par le commandement de son père.
- LXXV. De Janin, nouvellement marié.
- LXXVI. Du legiste qui se voulut exercer à lire, et de la harangue qu’il fit à sa première lecture.
- LXXVII. Du bon yvrogne Janicot et de Jeannette sa femme.
- LXXVIII. D’un gentilhomme qui mit sa langue en la bouche d’une damoyselle en la baisant.
- LXXIX. Des coupeurs de bourses et du curé qui avoit vendu son blé.
- LXXX. Des mesmes coupeurs de bourses et du prevost La Voulte.
- LXXXI. D’eux-mesmes encores, et du coultelier à qui fut couppé la bourse.
- LXXXII. Du bandoulier Cambaire et de la responce qu’il fit à la court de Parlement.
- LXXXIII. De l’honnesteté de monsieur Salzard.
- LXXXIV. De deux escolliers qui emportèrent les cizeaux du tailleur.
- LXXXV. Du cordelier qui tenoit l’eau auprès de soy à table et n’en beuvoit point.
- LXXXVI. D’une dame qui faisoit garder les coqs sans cognoissance de poulles.
- LXXXVII. De la pie et de ses piaux.
- LXXXVIII. Du singe d’un abbé, qu’un Italien entreprint de faire parler.
- LXXXIX. Du singe qui beut la medecine.
- XC. De l’invention d’un mary pour se venger de sa femme.
- Sonnet de l’autheur aux lecteurs.