Amours diverses
1578
- I Quiconque a peint Amour, il fut ingenieux
- II Jamais Hector aux guerres n’estoit lâche
- III Il ne falloit, Maistresse, autres tablettes
- IV Ce Chasteau-neuf, ce nouvel edifice
- V Si mon grand Roy n’eust veincu meinte armee
- VI À mon retour (hé, je m’en desespere !)
- VII A Phoebus
- VIII Amour, tu es trop fort, trop foible est ma Raison
- IX Cusin, monstre à double aile, au mufle Elephantin
- X Genévres herissez, et vous Houx espineux
- XI Cruelle, il suffisoit de m’avoir pouldroyé
- XII Tant de fois s’appointer, tant de fois se fascher
- XIII Quoy? me donner congé d’embrasser chaque femme
- XIV Je t’avois despitee, et ja trois mois passez
- XV Puis qu’elle est tout hyver, toute la mesme glace
- XVI Sommeillant sur ta face, où l’honneur se repose
- XVII Je liay d’un filet de soye cramoisie
- XVIII D’un profond pensement j’avois si fort troublee
- XIX Aller en marchandises aux Indes precieuses
- XX Comme je regardois ces yeux (mais ceste fouldre)
- XXI Le mois d’Augst bouillonnoit d’une chaleur esprise
- XXII Ma Dame beut à moy: puis me baillant sa tasse
- XXIII J’avois esté saigné: ma Dame me vint voir
- XXIV Si la beauté se perd, fais-en part de bonne heure
- XXV Amour, seul artisan de mes propres malheurs
- XXVI Cythere entroit au bain, et te voyant pres d’elle
- XXVII J’ay honte de ma honte, il est temps de me taire
- XXVIII Maintenant que l’Hyver de vagues empoullees
- XXIX Chacun me dit, Ronsard, ta Maistresse n’est telle
- XXX Au milieu de la guerre, en un siecle sans foy
- XXXI Le Juge m’a trompé: ma Maistresse m’enserre
- Elegie (amours diverses)
- XXXII Trois jours sont ja passez, que je sui affamé
- XXXIII Prenant congé de vous, dont les yeux m’ont donté
- XXXIV Quand je pense à ce jour, où pres d’une fonteine
- XXXV Quand l’Esté dans ton lict tu te couches malade
- XXXVI D’autant que l’arrogance est pire que l’humblesse
- XXXVII Ma peine me contente, et prens en patiance
- XXXVIII Vous triomphez de moy, et pource je vous donne
- XXXIX Voyez comme tout change (hé, qui l’eust esperé!)
- XL Je suis pour vostre amour diversement malade
- XLI Ma Dame, je me meurs abandonné d’espoir
- XLII Voyant par les soudars ma maison saccagee
- XLIII Vous estes le bouquet de vostre bouquet mesme
- XLIV Amour, je ne me plains de l’orgueil endurci
- XLV Amour, je pren congé de ta menteuse escole
- XLVI Doux cheveux, doux present de ma douce Maistresse
- XLVII Je vous donne des œufs. L’œuf en sa forme ronde
- XLVIIIEst-ce le bien que tu me rends, d’avoir
- XIL Vœu à Venus, pour garder Cypre de l’armée du Turc
- L Je faisois ces Sonets en l’antre Pieride