Barry Gifford
Apparence
Barry Gifford est un écrivain, romancier, poète et scénariste américain, né le 18 octobre 1946 à Chicago (Illinois).
Port Tropique, 1980
[modifier]C'est toujours une chose que d'apprendre l'existence de mondes différents du vôtre.
- Port Tropique, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1989, p. 27
Parfois une bonne perspective se dessine plus facilement vue de loin.
- Port Tropique, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1989, p. 59
Un écrivain est toujours à chercher une excuse pour ne rien faire.
- Port Tropique, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1989, p. 71
Les écrivains travaillent tout le temps.
- Port Tropique, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1989, p. 87
Une ancienne femme ou compagne qui demeure votre amie peut être souvent la meilleure sorte d'amie qui soit.
- Port Tropique, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1989, p. 157
Sinaloa story, 1998
[modifier]Tout ce que vous pourrez faire pour n'importe qui ne sera jamais suffisant.
- Sinaloa story, Barry Gifford (trad. Laetitia Devaux), éd. Gallimard, 2002, p. 141
La terre ne va pas s'arrêter de tourner à cause de nous.
- Sinaloa story, Barry Gifford (trad. Laetitia Devaux), éd. Gallimard, 2002, p. 193
La cruauté commence et prend fin en soi.
- Sinaloa Story, Barry Gifford (trad. Laetitia Devaux), éd. Gallimard, 2002, p. 194
Sailor et Lula, 1990
[modifier]Dans ce monde, toutes les choses intéressantes viennent de gens qui ont des idées bizarres.
- Sailor et Lula, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1991, p. 113
Les rêves sont pas plus étranges que la vie réelle.
- Sailor et Lula, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1991, p. 120
Personne n'a l'exclusivité des embêtements.
- Sailor et Lula, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 1991, p. 171
Vient le moment ou il faut laisser faire.
- Sailor et Lula, Barry Gifford (trad. Richard Matas), éd. Rivages/noir, 191, p. 185
Perdita Durango, 1991
[modifier]Souvent, pour parvenir à des découvertes, il est nécessaire d'aller à l'encontre des croyances populaires.
- Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 25
Il y a trop d'horreurs sur cette terre, puisqu'elle grouille de goules sans âme.
- Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 162
À trois, on peut garder un secret si les deux premiers sont morts.
- Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 205
- Citation choisie pour le 27 avril 2017.
La violence d'homme à homme n'est jamais aussi effroyable que le massacre anonyme et systématique.
- Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 233
La trahison n'est que l'une des ressources de l'ingéniosité.
- Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 252
La religion organisée est une indécence.
- Perdita Durango, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1991, p. 260
Jour de chance pour Sailor, 1991
[modifier]Les gens essaient tout le temps de trouver des horreurs à raconter sur les autres.
- Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 38
Il y a des choses qui doivent être comme elles sont.
- Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 56
Le monde est encore gouverné par les armes.
- Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 124
Il y a toujours des serpents dans la forêt.
- Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 149
Chaque famille a ses tueurs.
- Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 162
Les gens désespérés font toutes sortes de choses incroyables.
- Jour de chance pour Sailor, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1992, p. 197
Rude journée pour l'homme léopard, 1991
[modifier]Il n'y a pas bête plus féroce que le temps qui passe.
- Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 19
C'est quand même étonnant de constater qu'on ne peut pas faire grand-chose pour changer son destin.
- Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 26
La mort et la destruction sont jamais plus loin que la bouche qu'on veut embrasser.
- Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 36
Toutes les sectes se valent.
- Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 72
Le ridicule est la malédiction du génie.
- Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 121
Un homme seul est la quintessence du conflit.
- Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 134
Tout le monde est prisonnier d'une façon ou d'une autre.
- Rude journée pour l'homme léopard, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 1993, p. 168
L'Imagination du cœur , 2007
[modifier]On ne peut pas supposer quand il s'agit de religion.
- L'Imagination du cœur, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 2009, p. 60
Les acteurs sont de grands enfants.
- L'Imagination du cœur, Barry Gifford (trad. Jean-Paul Gratias), éd. Rivages/noir, 2009, p. 122