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Willy Ronis

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Willy Ronis
Willy Ronis en 2002.
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Willy Ronis, né le à Paris 9e et mort le dans le 20e arrondissement de Paris, est un photographe français, lauréat du Grand Prix national de la photographie en 1979 et du prix Nadar en 1981.

Il est l’un des représentants les plus importants de la photographie humaniste française avec Édouard Boubat, Jean-Philippe Charbonnier, Robert Doisneau, Izis et Sabine Weiss. Il définit l'école humaniste comme « le regard du photographe qui aime l'être humain »[1].

Willy Ronis est le fils de Emmanuel Ronis, un émigré juif d’Odessa en Ukraine, qui arrive à Paris en 1904, et de Tauba Gluckman, une pianiste juive lituanienne, qui s’installe à Paris en 1899, fuyant les pogroms de l’Empire russe.

Mélomanes, ils se rencontrèrent dans une amicale d’exilés russes et s’installèrent dans le 9e arrondissement de Paris. Un fonctionnaire de l’immigration commet une erreur et baptise les Ronis « Roness », et c'est sous ce nom que Marcus Ronis ouvre son studio après un emploi de retoucheur en photographie dans un studio réputé, « pour effacer les rides des dames ».

Willy naît en 1910 à Paris au pied de la butte Montmartre[2]. Pour ses 15 ans, son père lui offre un appareil photographique ; Willy Ronis veut cependant devenir compositeur de musique[3]. Cela ne l'empêchera pas de parcourir les rues de Paris et de s'essayer à la photographie.

En 1929, après sa scolarité au Lycée Rollin (actuel Collège-lycée Jacques-Decour[4]), il s'inscrit à la faculté de droit de la Sorbonne, dans l'objectif de devenir compositeur de musique [5],[6].

Willy Ronis signe ses premiers travaux sous le patronyme de « Roness ». Ce n’est qu’en 1945 que la famille Ronis retrouve son véritable patronyme.

Débuts en photographie

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Willy Ronis découvre la Société française de photographie (notamment les travaux de Brassaï, Pierre Boucher, Rogi André) qui lui ouvre les yeux sur une pratique différente de la photographie que celle exercée par son père dans son studio : une pratique qui met en avant des images vivantes et anti-conventionnelles[7].

Mais lors de son retour du service militaire en 1932, son père, très malade, lui demande de l’aider au studio. Ainsi Willy Ronis fait-il lui-même les tirages de ses photos. Il est peu intéressé par la photographie conventionnelle, mais se passionne pour les expositions de photographies. Alors que la gauche se mobilise amenant l’avènement du Front populaire aux législatives de 1936, le jeune photographe, partisan de telles idées, suit avec entrain les manifestations ouvrières d’alors et prend ses premiers clichés marquants qui seront publiés par la revue Regards[8],[9].

L'année 1935 est ainsi décisive pour lui, puisqu’elle marque la mort de son père (des suites d'un cancer, après une agonie de quatre ans) et la vente d’un studio qui périclitait et qui est vécu par Willy Ronis comme un fardeau. La famille déménage ensuite dans le 11e arrondissement[8],[5].

À la rencontre du Front populaire

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À partir de cette date, Willy Ronis se consacre au reportage. Ses premiers reportages sont des commandes de la SNCF ou du Commissariat au Tourisme. Avec la montée du Front populaire, les mêmes idéaux rapprochent Ronis de Robert Capa et de David Seymour, photographes déjà célèbres. Il a également l’occasion de rencontrer André Kertész, Brassaï et Henri Cartier-Bresson. Mais, par rapport à la vision de ses pairs, Willy Ronis développe une véritable originalité, marquée par l’attention portée à l’harmonie chorale des mouvements de foule et à la joie des fêtes populaires[10].

En 1937, il achète son premier Rolleiflex avec lequel il effectue un reportage qui est publié dans Plaisir de France[11].

En 1938, il immortalise Rose Zehner, déléguée syndicale aux usines Citroën du quai de Javel haranguant ses collègues ouvrières. La photo est tirée d'un reportage, commande du magazine Regards[12]. En 1982, dans Un voyage de Rose, le cinéaste Patrick Barbéris filme ses retrouvailles avec Rose Zehner, personnage principal de son cliché pris lors des grèves de 1938 chez Citroën-Javel et publié pour la première fois en 1980 dans Sur le fil du hasard[13].

La parenthèse de la Seconde Guerre mondiale

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À l'arrivée au pouvoir du régime vichyste, Willy Ronis est catégorisé comme Juif : sa carte d'identité est tamponnée de la mention « Juif ». Alors que sa mère, catégorisée comme juive elle aussi, décide de rester à Paris, Willy Ronis, qui ne veut pas porter l'étoile jaune, passe la ligne de démarcation en 1941 et part vivre dans le sud de la France : Nice, Cannes puis le Vaucluse. Il vit la période de la Seconde Guerre mondiale comme une parenthèse : très peu de photographies des persécutions subies par les Juifs et pas de témoignages de la période d'épuration. Willy Ronis veut préserver sa foi en l'homme. Ayant mis la photographie de côté, il exerce divers métiers comme décorateur de studio, régisseur de théâtre et devient même l'assistant du photographe de plateau Sam Lévin[1],[7],[11],[12].

Photojournaliste d'agence

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Willy Ronis et sa femme devant leur maison au 7, passage des Charbonniers dans le 15e arrondissement de Paris en 1946 (et en 2016).

En 1946, Willy Ronis entre à l’Agence Rapho et rejoint les grands noms de la photographie de l'époque que sont Brassaï, Doisneau, Ergy Landau. En 1945, il fait un reportage pour la SNCF sur le retour des prisonniers. Il collabore alors aux revues Point de vue, Regards, L'Écran français, Le Monde illustré, Time ou Life. Il est d'ailleurs le premier photographe français à travailler pour Life[8]. Il sillonne alors l'Europe : la Belgique (1951) et les Pays-Bas (1952 et 1954) donnent un reportage pour les lectrices du magazine Nouveau Femina ; Londres (1955), l'Italie (1959) et enfin la RDA (1967)[14]. Il travaille également pour l'industrie (Air France), la publicité ou la mode (Vogue). Pour Air France, il effectue un reportage, qui est publié dans la revue interne Air France Revue, sous le titre Familles de France dans le numéro de juin-.

En 1948, c'est une de ses photos les plus célèbres : Marie-Anne (Lansiaux), Gordes. Une série de quatre clichés de sa femme pris après la sieste lors de sa toilette. Un des clichés est publié par l'agence Rapho et connaît tout de suite un important succès. Willy Ronis a souvent été comparé à une peinture de Bonnard[15].

Dans les années 1950, Willy Ronis milite au sein du Groupe des XV pour que la photographie soit reconnue comme discipline artistique[8]. À la fin des années 1950, il exerce des activités d'enseignement auprès de l'EDHEC, de l'école Estienne et à Vaugirard.

Sa période à l'agence Rapho est contrariée par sa volonté d'indépendance : il refuse plusieurs contrats qui ne lui conviennent pas et quitte l'agence en 1955 pour la rejoindre de nouveau en 1972[7].

En 1967, l'Association d'échanges franco-allemands lui passe une commande. Il se rend pour cela en Allemagne de l'Est et y photographie les villes, la campagne, les sites industriels, les gens, les Allemands. Cette commande fait l'objet d'une exposition itinérante qui est présentée, jusqu'en 1974, dans 70 sites en France[14]. Les photos prises en RDA font l'objet d'une nouvelle exposition à Versailles en 2021, Willy Ronis en RDA - La vie avant tout, 1960-1967, accompagnée de la publication d'un catalogue[16].

Belleville-Ménilmontant, Sur le fil du hasard et Mon Paris sont parmi les livres importants qu’il a publiés. On a alors pu dire que Willy Ronis, avec Robert Doisneau et Édouard Boubat, était l’un des photographes majeurs de cette école française de l’après-guerre qui a su concilier avec talent les valeurs humanistes et les exigences esthétiques du réalisme poétique[10]. Il a cette particularité de traiter les sujets — y compris les sujets difficiles — avec une tendresse accompagnée d'une certaine joie de vivre. Les critiques qualifient cette manière de photographier, de mièvre et sentimentaliste[3]. En revanche, contrairement à Robert Doisneau, il travaille ses clichés sur l'instant : en une ou deux prises de vue, sans mise en scène, laissant une place importante au hasard[5].

Il travaille beaucoup avec Life, qui lui passe régulièrement commande pour ses reportages ; deux clichés de cette époque donnent à Willy Ronis le respect de ses pairs mais sont aussi à l'origine de l'arrêt de sa collaboration avec le magazine américain. Il éprouve, avec Life comme avec l'agence Rapho, le déplaisir de voir son travail retouché afin de lui donner un autre sens que celui voulu originellement. Ainsi, le portrait du mineur silicosé de 1951 devient, dans les colonnes de Life, « L’évangélisation du monde ouvrier est-elle possible ? ». Plus tard, un cliché représentant des ouvriers en grève écoutant leur délégué syndical voit ce dernier escamoté. Willy Ronis tente de résister, mais Life ne lui passe plus de commande.

Période vauclusienne

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En 1972, déçu, Willy Ronis arrête le photojournalisme et quitte Paris pour le Midi de la France : sa volonté d'exercer un droit de regard sur l'utilisation qui est faite de ses clichés lui vaut une traversée du désert d'une dizaine d'années[17],[12],[18],[19],[20],[note 1].

Dans les années 1970-1980, parallèlement à ses activités de photographe, il consacre beaucoup de temps à l’enseignement : à l’École supérieure d'art d'Avignon, puis aux facultés d’Aix-en-Provence et de Marseille. Il y crée un cours d’histoire de la photographie et Pierre-Jean Amar le rencontre alors. En 1972, il s’installe à L'Isle-sur-la-Sorgue[7].

En 1980, sur les conseils de Pierre-Jean Amar et Guy Le Querrec, Claude Nori publie sa première monographie Sur le fil du hasard aux Éditions Contrejour, lequel recevra le prix Nadar et l’encouragera à revenir sur le devant de la scène avec de nouveaux projets.

Bien que Willy Ronis ait publié de nombreux ouvrages et fait de nombreuses expositions, les années 1970 et 1980 sont difficiles financièrement pour lui. Il prend alors une importante décision et, en 1982, contre le paiement jusqu'à la fin de sa vie du loyer de son logement, il fait un premier don à la France. En 1983, il s'installe de nouveau à Paris[8],[11],[18].

En 2001, il décide d'arrêter la photographie à titre professionnel[8]. En 2002, frappé par l'arthrite, il cesse de prendre des photographies. Son dernier cliché est un nu qui figure dans le livre Nues sorti en 2008[15],[5].

En 2009, dans une interview au Figaro donnée à l'occasion des 40e Rencontres d'Arles, il avoue ne pas comprendre le monde de la photographie actuelle : trop d'exhibitionnisme[1].

Il souhaite organiser une exposition en 2010, pour son 100e anniversaire. La mort de l'artiste empêche le projet de voir le jour. Cependant celui-ci est repris par le musée de la monnaie de Paris[7].

Willy Ronis meurt presque centenaire dans la nuit du 11 au à l'hôpital Tenon (20e arrondissement) à Paris[21],[22],[23],[24].

Vie privée

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Le 14 février 1946, Willy Ronis épousa l'artiste peintre et décoratrice Marie-Anne Lansiaux[25] (né à Reims en 1913 et décédée à Nogent-sur-Marne en 1991)[26]. Ils habitèrent le 15e arrondissement de Paris avec leur fils Vincent, 7 passage des Charbonniers[27],[6].

Vincent Kaldor, fils de Marie-Anne, a été adopté par Willy Ronis qui l'a élevé comme son fils. Il est mort en 1988 dans un accident de deltaplane[note 2],[18].

Prix et récompenses

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Distinctions

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Postérité

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Plaque apposée en 2019 sur son domicile, passage des Charbonniers (Paris, 15e arrd.).

Depuis sa mort, l’œuvre de Willy Ronis est exposée dans le monde entier et ses images figurent dans les collections des plus grands musées.

Willy Ronis lègue son œuvre photographique à la France au travers de deux donations (1983 et 1989) et d'un testament[8],[11]. Conscient de l'utilisation qui peut être faite de ses clichés, il nomme, dans son testament, quatre exécuteurs testamentaires, détenteurs du droit moral de son œuvre et chargés de veiller à son utilisation. Par ailleurs son petit-fils, Stéphane Kovalsky, hérite de la part réservataire[32].

À la fin du règlement de succession, la Médiathèque du patrimoine et de la photographie est en possession de l’ensemble de son œuvre[33]: 82 000 négatifs, 6 000 diapositives couleurs, 18 000 tirages, 6 albums comportant 590 tirages de référence, 26 cartons d'archives, 720 volumes de bibliothèque, 400 volumes de périodiques.

Depuis 2015, une voie porte son nom dans le 20e arrondissement de Paris.

Engagement politique

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Willy Ronis date son engagement politique pour le parti communiste à l'année 1923. Il est subjugué par des ouvriers qui chantent La Jeune Garde dans un bar parisien où il se trouve avec des amis. C'est alors un lycéen âgé de seulement 13 ans. Cette rencontre le mène plus tard à adhérer au parti communiste[1].

Il effectue son premier reportage sur le du Front Populaire, reportage qui est publié par la revue Regards, une revue d'obédience communiste qui donne la priorité au photojournalisme. Ce reportage agit comme un déclic en lui, alors que jusque-là la photographie l'ennuyait. Il décide alors de vivre de la photographie, plus précisément du reportage[3],[34].

Pendant le régime de Vichy, il passe clandestinement en zone libre et se cache près de Marseille pour échapper à la déportation[35].

Il reste proche du monde ouvrier qui est un axe majeur de son œuvre. On le retrouve notamment lors des grèves de Citroën en 1938-1939, sur le carreau des mines de Saint-Étienne en 1948 ou encore chez Renault en 1950. C'est également l'époque où, avec son ami Henri Cartier-Bresson, il rejoint l'Association des écrivains et artistes révolutionnaires, proche du Parti communiste français[8] dont il fut par ailleurs membre pendant près de vingt ans, de 1945 à 1964[36] : « J'ai été membre du Parti communiste un certain temps, et j'ai travaillé quelques années pour ce mouvement, tout en restant indépendant. J'étais orienté, certes, mais je suis resté libre ! »[3].

En 1951, il participe au Congrès International de la Paix de Varsovie. On le retrouve en 1967 en RDA, à la recherche de l'idéal communautaire, photographiant sous l'étroite surveillance de la Stasi l'apparente utopie communiste que voulait montrer le gouvernement (mais cette série ne sera exposée que deux fois, à Amiens et à Montreuil)[35],[14],[5]. En 2002, il est le signataire d'un manifeste de soutien à la candidature de Robert Hue pour l'élection présidentielle[37].

Expositions

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Publications

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Années 1950

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  • Belleville Ménilmontant, textes de Pierre Mac Orlan, Éditions Arthaud, Paris, 1954.
  • " Paris ", Phographies de Willy Ronis, Texte de Marcel Brion, par B. Arthaud, Paris, 1962

Années 1980

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Années 1990

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Années 2000

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Années 2010 et 2020

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Notes et références

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  1. (fr) Willy Ronis, Ce jour-là, 2006, Le mineur silicosé, 1951
  2. (fr) Bertrand Eveno, Marie-Anne, Vincent et moi, 1999
  3. (fr) Kristen Gresh, Regard sur la France, 2007, En intitulant l’exposition “Five French Photographers”, Steichen respecte la particularité de ces auteurs et contribue à la définition d’un mouvement qu’on appellera par la suite « la photographie humaniste ». Cette exposition donne aux Américains une idée de cette « vision particulière »

Références

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  1. a b c et d Valérie Duponchelle, « Willy Ronis : « La photographie exhibitionniste me dérange » », Le Figaro, (consulté le )
  2. « Willy Ronis est né au pied de la Butte Montmartre d'un père artisan photographe qui », sur L'Humanité, (consulté le ).
  3. a b c et d Daphné Thiery, « Il était une fois… Willy Ronis », Le Figaro, (consulté le )
  4. Autobiographie
  5. a b c d et e Christine Kerdellant, « Willy Ronis: "J'ai fait de la photo buissonnière toute ma vie" », L'Express, (consulté le ).
  6. a et b « Biographie Willy Ronis », Encyclopædia Britannica (consulté le )
  7. a b c d e f g et h « Willy Ronis (1910-2009), photographe humaniste », sur Au Féminin, (consulté le ).
  8. a b c d e f g h i et j Samuel Laurent, « Willy Ronis, mort d'un géant de la photographie. », sur lefigaro.fr, (consulté le )
  9. a et b Dominique Vidal, « Willy Ronis, au-delà de la nostalgie », sur Le Monde diplomatique, (consulté le )
  10. a et b « Biographie de Willy Ronis », sur Reporter sans frontières, (consulté le ).
  11. a b c et d Dominique Raizon, « Willy Ronis, un passeur d’histoire », RFI, (consulté le )
  12. a b et c Brigitte Ollier, « Willy Ronis à perte de vues », Libération, (consulté le )
  13. Alexandre Courban, Roger Gauvrit, Allain Malherbe, Jean-Yves Masson, Citroën par ceux qui l'ont fait : un siècle de travail et de luttes, Éditions de l'Atelier, 12 septembre 2013, 224p. .
  14. a b et c Valérie Duponchelle, « Willy Ronis, autoportrait au-delà des clichés », Le Figaro, (consulté le )
  15. a et b Bernard Genies, « (Re)voir les nus secrets de Willy Ronis », Le Nouvel Observateur, (consulté le ).
  16. Anne-Marie Pailhès, « Catalogue : Willy Ronis en RDA – La vie avant tout, 1960-1967 », sur vllemagnest.hypotheses.org.
  17. Magali Jauffret, « Willy RONIS. Le petit-fils, le philosophe et les photographes », L'Humanité, (consulté le )
  18. a b et c Armelle CANITROT, « Décès de Willy Ronis, "photographe de l'humain" », La Croix, (consulté le ).
  19. « Willy Ronis », The Daily Telegraph, (consulté le )
  20. Willy Ronis, « Ce jour-là », Télérama, (consulté le )
  21. Relevé des fichiers de l'Insee.
  22. AFP, « Willy Ronis, le "photographe de l'humain", est mort à 99 ans », La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  23. « Le photographe Willy Ronis est mort », in LeParisien.fr, 12 septembre 2009 à Paris.
  24. « Willy Ronis, mort d'un géant de la photographie », sur LEFIGARO (consulté le ).
  25. « Visionneuse - Archives de Paris », sur archives.paris.fr (consulté le )
  26. « Acte »
  27. a b et c « Biographie Willy Ronis », Who's Who (consulté le ).
  28. Décret du 14 avril 1990 portant promotion et nomination, JORF no 90 du 15 avril 1990, p. 4647–4655 (4653), NOR PREX9010728D, sur Légifrance.
  29. Décret du 3 décembre 1994 portant promotion et nomination, JORF no 281 du 4 décembre 1994, p. 17157–17192 (17183), NOR PREX9412415D, sur Légifrance.
  30. Décret du 14 mai 2001 portant promotion et nomination, JORF no 112 du 15 mai 2001, p. 7695–7725 (7720), NOR PREX0104833D, sur Légifrance.
  31. Décret du 30 janvier 2008 portant promotion et nomination, JORF no 26 du 31 janvier 2008, p. 1818, texte no 4, NOR PREX0811182D, sur Légifrance
  32. Claire Guillot, « Willy Ronis, une œuvre très convoitée », sur Le Monde, .
  33. « Willy Ronis, un fonds photographique d’une richesse exceptionnelle », sur Ministère de la Culture, (consulté le ).
  34. Charles Silvestre, « L'expo Willy Ronis : au bonheur de 36 », L'Humanité, (consulté le ).
  35. a et b Vladimir Vasak, documentaire Willy Ronis, les combats d'un photographe, 2019, [1].
  36. Tangui Perron, « RONIS Willy [un temps RONESS en raison d’une erreur de transcription de l’État civil] », sur maitron.fr, 31 août 2015, dernière modification le 3 septembre 2015 (consulté le ).
  37. « Des intellectuels avec Robert Hue », L'Humanité, (consulté le ).
  38. Claude Massonnet, « Willy Ronis : une vie de photographies », Le Parisien, (consulté le )
  39. Le Temps, 20.I.2003, Au ras du pavé, l'amour des gens et du Paris populaire transparaît dans les tendres images de Willy Ronis [2]
  40. dossier de l'exposition Willy Ronis à Paris.
  41. Communiqué de presse de l'exposition
  42. « Le Front populaire à l’honneur à Hôtel de Ville de Paris », Le Parisien, (consulté le )
  43. Sud Ouest, 11 juillet 2024 https://www.sudouest.fr/lot-et-garonne/duras/duras-des-photos-en-noir-et-blanc-de-willy-ronis-a-la-galerie-artidor-20474028.php
  44. « Edmonde Charles-Roux, le courage de la liberté », L'Humanité, (consulté le )
  45. Emmanuel Hecht, « Derrière les objectifs de Willy Ronis et d'Eric Valli », L'Express, (consulté le )
  46. Damien Roué, « Nouvel album RSF : hommage à la photographie humaniste de Willy Ronis », sur phototrend.fr,

Bibliographie

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Périodique

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Documentaire

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  • Willy Ronis, autoportrait d'un photographe, documentaire de Michel Toutain & Georges Chatain, 2003. Une coproduction Pyramide Production et France Télévisions.
  • Willy Ronis, une journée à Oradour, documentaire de Patrick Séraudie, 2012, une coproduction Pyramide Production, telim TV et Gamma Rapho.
  • Willy Ronis, les combats d’un photographe, documentaire de Vladimir Vasak, France, 2020, coproduction : Arte France, Day For Night Productions, 53 min.

Articles connexes

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Liens externes

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