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Wikipédia:Oracle/semaine 8 2017

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accessibilité en temps réel

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Bonjour comment on fait pour modifier la répartition de façon homogène??? merci

42 Chère visiteuse, cher visiteur, nous regrettons, mais nous n'avons pas compris votre question. Sachez tout de même que la réponse ultime est 42. Si cela ne répond pas à votre question, nous vous invitons à reformuler celle-ci de manière claire et néanmoins courtoise, afin que nous puissions tenter d'y répondre.
--Serged/ 21 février 2017 à 07:17 (CET)[répondre]
On touille ! --Doalex (discuter) 21 février 2017 à 19:19 (CET)[répondre]
Ben oui. Un certain nombre de permutations aléatoires ? -- Jean-Rémi l. (discuter) 21 février 2017 à 21:46 (CET)[répondre]
Question mal posée, en fait notre questionneuse ou questionneur semble se demander comment modifier la répartition des accès en temps réel pour les rendre homogènes, parce que « modifier la répartition de façon homogène » est très simple, on décide par exemple de permuter non aléatoirement les positions dans la file tous les cinq accès ; ça ne rendra pas les accès plus homogènes, par contre les modifications seront bien homogènes.
Sinon, on ne peut pas vraiment faire ça si la gestion de la file est bien pensée : les demandes n'ont pas toutes la même priorité ni les sources des requêtes et les cibles des réponses la même disponibilité, de ce fait l'accessibilité d'une ressource est nécessairement non homogène. >O~M~H< 11 mars 2017 à 03:20 (CET)[répondre]

Marina Foïs

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Bonjour, messieurs et mesdames. Y a-t-il quelque'un qui puisse souffler la prononciation correct de nom Marina Foïs? Prononce-t-on "s" terminale? Quelle doit être la transcription: [fwa], [fwas], [foi] ou [fois] ?

Merci d'avance.

--В.Галушко (discuter) 21 février 2017 à 13:50 (CET)[répondre]

Salut, В.Галушко. Marina Foïs étant d'origines diverses qui ont en commun de n'être pas « de souche », son nom se prononce tout entier. Un indice en tout cas montre que la prononciation ne peut être [fwa], la présente du tréma dit que les deux voyelles doivent être articulées séparément, [oi]. L'écoute régulière de France culture où je l'ai entendue souvent et ai souvent entendu parler d'elle me montre que la prononciation commune est bien [fois], ou plus exactement en transcription API, [fɔis], bien que j'entende souvent [fɔjs] (pas si facile pour un Français de prononcer une diphtongue). >O~M~H< 21 février 2017 à 20:40 (CET)[répondre]
Monsieur Olivier Hammam, merci beaucoup pour le renseignement, il est très utile. Nous allons écrire l'article sur Marina Foïs en Wikipedia ukrainienne.
--В.Галушко (discuter) 21 février 2017 à 21:16 (CET)[répondre]
В.Галушко : En alphabet cyrillique russe (et ukrainien aussi, apparemment), je dirais Фойс (ha ha ! les Russes pensent comme moi). Syrdon (discuter) 22 février 2017 à 09:11 (CET) (mais en ukrainien, on pourrait peut-être considérer aussi Фоіс ou Фоїс...) Syrdon (discuter) 22 février 2017 à 09:14 (CET)[répondre]
Merci, monsieur Syrdon, je prendrai note de votre conseil. Nous avons créé l`article sous le nom de Марина Фоїс.
--В.Галушко (discuter) 23 février 2017 à 18:16 (CET)[répondre]

Bénéficiaire d'un chèque

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Bonsoir,

J'ai une question qui n'a rien d'encyclopédique (merci de la déplacer si ce n'est pas le bon endroit pour la poser). Mon problème est le suivant: L'an passé, notre ancien syndic d'immeuble a fait un chèque à quelqu'un. Comment faire, en tant que copropriétaire, pour connaître le bénéficiaire de ce chèque? Je précise que le compte sur lequel est tiré le chèque ne m'appartient pas mais appartient à la copropriété. Je précise également que je suis le nouveau président du conseil syndical (mais cela ne change rien je suppose). Merci pour votre aide, Skiff (discuter) 21 février 2017 à 21:36 (CET)[répondre]

(En Belgique (?),) quand une organisation (ASBL, société commerciale,...) possède un compte en banque, certaines personnes sont mandatées pour effectuer certaines opérations sur ce compte. Elles doivent fournir des preuves (publication du Moniteur belge (journal officiel) et, éventuellement, signatures des co-mandataires, qu'elles sont bien habilitées par l'organisation à faire ces opérations (ou quelque chose comme ça; je ne suis pas juriste). Je ne sais pas si le 'président' a une fonction exécutive ou un droit de regard sur les comptes mais la banque devrait pouvoir le renseigner. -- Xofc [me contacter] 22 février 2017 à 04:36 (CET)[répondre]
Salut, Skiff. Encyclopédique, non encyclopédique, ça dépend de l'humeur des pythies et de l'angle d'approche du sujet Émoticône À vue de nez, un conseil syndical de copropriété me semble devoir fonctionner comme une association, et le syndic plus ou moins correspondre à la fonction de trésorier, d'où l'on peut supposer qu'il a obligation de rendre compte de son activité au conseil, avec toutes pièces justificatives. Pour confirmation de mes suppositions, cette page officielle qui explique tout ça, et précise, partie « Rôle », sous-partie « Mission de contrôle », que « le conseil syndical contrôle la gestion du syndic. À cet effet, il peut consulter toute pièce ou document relatif à la gestion et l'administration de la copropriété ou intéressant le syndicat de copropriétaires [...] ». Bref, comme prévisible, le syndic, même après avoir cessé sa fonction, doit être en mesure de donner au conseil tout élément concernant son mandat, ce qui inclut sa gestion des comptes de la copropriété. >O~M~H< 22 février 2017 à 09:23 (CET)[répondre]
En tant que membre du Conseil Syndical et mieux président, tu as accès à tous les documents liés au Syndicat des copropriétaires détenus par le nouveau syndic, sauf si un litige est en cours entre les syndics, toutes les archives sont en possession du nouveau syndic et si un compte a été ouvert au nom du syndicat des copropriétaires, elles comprennent les relevés bancaires pour la période qui t'intéresse, peu importe le fait éventuel, d'avoir changé aussi d'établissement bancaire, ce qu'on appelle le Grand livre doit d'ailleurs fournir la preuve, qu'il s'agit d'un chèque émanant du syndic si tel est le cas, en tant que représentant du Syndicat.--Doalex (discuter) 22 février 2017 à 11:07 (CET)[répondre]
Je précise que je suis en France. Je vais redemander au nouveau syndic s'il a les relevés de compte mais il m'a dit qu'il n'avait pas l'information, lorsque ils ont posé la question à l'ancien syndic il leur a été répondu quelque chose verbalement sans aucune preuve écrite. Je vais relancer le nouveau syndic sur les anciens relevés de compte en espérant que cela leur ait échappé du fait de la récente transmission du dossier entre syndics. Merci pour vos réponses. Skiff (discuter) 22 février 2017 à 19:43 (CET)[répondre]
Pour l'anecdote, à lire compte séparé, et pour revenir à ton problème, l'obligation faite aux syndics (pour des copropriétés d'au moins 15 lots) d'ouvrir un compte séparé au nom du syndicat des copropriétaires (pas SDC trop flou et trompeur) depuis le 24 mars 2015 a du faire l'objet par ton ancien syndic à un moment ou un autre de mentionner par courrier ou dans les appels de fonds l'identité de la banque avec les mentions SEPA (RIB), il est malheureusement possible que le syndic n'ait pas ouvert de compte spécifique, je te précise que le terme archives recouvrent tous les documents. Je reste à ta disposition par tout autre moyen de communication, hors l'Oracle Émoticône sourire, et pour d'autres renseignements en tant que membre de 2 conseils syndicaux sur 2 lieux différents, Paris et province. Et c'est gratuit Émoticône --Doalex (discuter) 23 février 2017 à 11:14 (CET)[répondre]
Merci pour ces indications, je n'ai pas vu le grand livre de mes yeux mais le syndic actuel (auquel je fais confiance sur ce point) m'a dit que le grand livre indiquait juste chèque n°XXX avec le montant et la date sans mention du bénéficiaire. Nous avons et avions bien un compte séparé mais du fait du changement de syndic nous avons changé de banque. Je vais mettre à jour mes références pour pouvoir communiquer sans polluer l'oracle. Skiff (discuter) 24 février 2017 à 21:15 (CET)[répondre]
La banque de l'émetteur doit conserver les chèques pendant 5 ans. Il est possible de se faire remettre (contre paiement, vraisemblablement), une copie du recto du chèque par ladite banque en étant l'émetteur ou son représentant légal. -- Al | ^^ 25 février 2017 à 17:55 (CET)[répondre]
Certains documents et pièces comptables doivent donc pouvoir être consultés à tout moment par le conseil syndical (art. 21 de la loi du 10.7.65).

Le document essentiel (situé avant le grand journal) et bien connu des syndics reste Le livre journal : il enregistre, au jour le jour et de façon chronologique, tous les mouvements comptables ayant une incidence financière sur le fonctionnement du syndicat. Il peut être subdivisé en journaux auxiliaires (achats, appels de fonds et recettes, opérations diverses). Les pièces justificatives : toute écriture doit être justifiée, c’est-à-dire appuyée sur un document probant. Ce sont des factures, des contrats ou des documents établissant le comptage d’une opération autorisée. Les justificatifs émanant de tiers doivent être des originaux conformes à la loi (date, nom, adresse et coordonnées commerciales, montants hors taxe, de la TVA…). Plus simplement personne n'établit un chèque sans se servir (réellement ou virtuellement) du talon en mentionnant, au minimum, date et bénéficiaire. --Doalex (discuter) 26 février 2017 à 12:03 (CET)[répondre]

Dieu se rit des créatures qui déplorent les effets dont elles chérissent les causes.

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Bonjour chers Pythies rieuses. Le titre est une simplification d'un écrit de Bossuet (1627-1704). En relisant une ancienne série d'échanges [1] sur une variation sur une citation de Bossuet : "Dieu se rit des créatures qui déplorent les effets dont elles chérissent les causes.", je me pose quelques questions. De nos jours les exemples illustrant cette citation abondent : 1) l'automobiliste coincé dans un embouteillage maudit tous les jours les caisses qui lui pourrissent la vie ! 2) les médecins et autres qui ont abusé des antibiotiques maudissent l'antibiorésistance. 3) Des personnes passionnées par leur travail surinvestissent puis se plaignent de ne plus profiter de la vie !
MES 2 DEMANDES :
1) Pourriez-vous donner d'autres exemples qui illustrent de nos jours cette citation ? On doit en trouver des tas, certains exemples étant des Némésis je suppose.
2) Plus important. Quels pouvaient-être les exemples de ce genre à l'époque de Bossuet ? L’excès d'intérêt pour l'argent ? Autre ? Merci.--Jojodesbatignoles (discuter) 24 février 2017 à 12:30 (CET)[répondre]

Pour le point 1, j'ai toujours considéré que l'exemple-type (de l'effet) était l'irrésistible ascension du FN, mais si je le dis, on va me traiter de troll, de malpensant et de bien d'autres choses moins plaisantes encore (peut-être même d'adolescent boutonneux), donc je ne le dirai pas. Mais si j'étais Dieu, je rigolerais effectivement. Chamfort (non, pas Alain Chamfort) a dit pour sa part : « En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin. » Et un sage chinois[réf. nécessaire] a déclaré : « Ôte ta tête de sous le marteau, et tu éviteras la bosse », ce qui me semble assez voisin dans l'esprit, et fort juste par ailleurs. Syrdon (discuter) 24 février 2017 à 14:59 (CET)[répondre]
Salut, Jojo le Parigot. Sans vouloir médire de Bossuet, sa sentence est plutôt banale, la seule singularité que j'y vois est d'attribuer à Dieu un sentiment qui anime tout humain raisonnable. Les exemples abondent, deux thèmes très en vogue ces temps-ci, le changement climatique et les perturbateurs endocriniens, un autre moins visible récemment mais qui le fut un peu plus précédemment, le règlement REACH de l'UE : dans ces trois cas on déplore bien les effets et l'on chérit les causes, raison pourquoi d'ailleurs les (faibles et massivement entravées) tentatives de régler ces problèmes consistent pour l'essentiel à « traiter » les effets sans trop agir sur les causes...
Autre exemple intéressant, les accidents de la route. Clairement, les trois causes principales sont de longue date identifiées : la vitesse, l'alcool et le manque de vigilance du à la fatigue. On peut dire qu'en France, la règlementation pour réduire fortement ces causes est en place dès le milieu des années 1970 et renforcée régulièrement, sans que la mortalité et les séquelles graves se soient réduites rapidement, jusqu'en 2003 où il y a une nette rupture, pour la raison simple qu'à partir de cette date la police et la gendarmerie ont eu pour consigne d'appliquer la règlementation avec rigueur et que les instruments de contrôle ont été nettement plus nombreux, bref qu'on s'est plus sérieusement attaqué aux causes.
En ce qui concerne l'époque de Bossuet, je n'ai pas d'exemple particulier en tête ; du moins, ce qu'il disait a toujours été vrai et le reste : quand le problème est la conséquence, on trouvera toujours une bonne raison de ne pas trop s'intéresser à la cause, qu'on jugera être « bonne ». >O~M~H< 24 février 2017 à 21:08 (CET)[répondre]
Je ne suis pas complètement d'accord avec OMH, qui met de côté "chérissent les causes". Dans les accidents de la route, on veut réduire les morts mais on n'aime pas particulièrement le manque de vigilance. Je propose "trop manger", on aime manger, mais on déplore être gros. Surtout qu'à l'époque de Bossuet, il y a avait la goutte. Trop boire aussi : on aime picoler, mais on n'aime pas la gueule de bois. Et encore trop dépenser : on aime acheter des trucs pour se faire plaisir, n'importe quoi (jouer au casino, des tours de manège...) mais on n'aime pas être fauché en fin de mois. Ces exemples s'appliquent à toutes époques. Bertrouf 28 février 2017 à 08:44 (CET)[répondre]
Je vois que j'ai mal expliqué, probablement parce que, à tort, les « causes chéries » me paraissaient claires. Bien sûr, on n'aime pas en soi le manque de vigilance, mais on aime tout ce qui y concourt : abuser de la boisson, rouler vite, faire de longs trajets sans pauses, s'affranchir d'un strict respect du code de la route. D'un sens, le manque de vigilance a un statut mixte, pour partie conséquence et pour partie cause. >O~M~H< 1 mars 2017 à 06:05 (CET)[répondre]

Portait d'Adèle Hugo

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Bonjour les Pythies

Je viens vers vous parce que je me suis aperçu, à la relecture des articles concernant Adèle Foucher et sa fille, Adèle Hugo, que les deux pages présentent le même portrait peint par Louis Boulanger. Or, la page spécifique de ce dernier mentionne que le «portrait de madame Hugo» aurait été peint en 1839. Donc, en toute logique de chronologie, il ne peut s'agir que de la première, puisque Adèle H., née en 1830, n'avait, elle, que 9 ans à la date d'exécution dudit portrait, et les photos faites d'elle ultérieurement montrent une ressemblance plutôt limitée avec le modèle de ce tableau. Ne voulant pas commettre malgré moi de vandalisme, je préfère poser la question ici, préalablement à toute modification. Est-ce qu'une pythie experte de la famille Hugo pourra me confirmer QUI est représenté sur la toile de Boulanger ? Merci Elsæsser (discuter) 24 février 2017 à 14:29 (CET)[répondre]

Ni expert, et n'appartenant pas à la famille Hugo, je mets 2 liens de la base Joconde les dates sont concordantes pour le tableau de la maison de Victor Hugo, le reste...[2] et [3]. --Doalex (discuter) 24 février 2017 à 17:23 (CET)[répondre]
Oui, Doalex, ton second lien tend à confirmer que c'est bien Adèle Foucher, épouse de V. Hugo, qui est sur ce tableau. Merci en tout état de cause. Cordialement, Elsæsser (discuter) 24 février 2017 à 17:29 (CET)[répondre]

Un truc pas compliqué...

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Hello l'Oracle, j'ai une question sans doute peu encyclopédique, si tu ne veux pas répondre tu peux me le dire gentiment, je ne serai pas fâché. Voilà, je cherche, comment dire, une solution informatique simple, économique (et même gratuite de préférence) qui permettrait à un modeste particulier dans mon genre de se bricoler une petite appli exploitant une petite base de données (genre postGres ou similaire) sur son petit ordi perso, sans devoir installer et paramétrer des tonnes des pré-requis imbitables et se palucher préalablement des tonnes de doc esotérique (et en anglais). Quelque chose de gentillet, permettant de réaliser quelques formulaires de saisie/consultation, quelques requêtes, quelques traitements de masse, enfin du basique quoi (enfin, en "look Web" quand même). Je précise que 1/ j'ai une expérience informatique, mais un peu vintage (genre Basic, Cobol, PL/1, JavaScript, et même un peu Java) ; 2/ j'ai déjà essayé la base de données d'Open Office, mais mon impression reste mitigée (surtout depuis qu'un jour j'ai tout cassé suite à une manip hasardeuse, et perdu plusieurs jours de boulot). Quelqu'un aurait-il un conseil (désintéressé) pour une solution sympathique, ergonomique, rapide à mettre en œuvre et m'évitant la méningite et la crise de nerfs ? Actuellement, je suis un peu paumé dans ce domaine. Voilà, c'est tout. Salamalecs et merci d'avance, Syrdon (discuter) 24 février 2017 à 15:14 (CET)[répondre]

Salut, Syrdon. Désolé d'avoir à le dire mais la gestion de base de données, soit c'est simple mais limité, rigide et très contraint, soit c'est étendu, souple et adaptable mais compliqué, en tous les cas c'est toujours prise de tête. Mais la question est avant tout de savoir ce que tu veux faire, non pas la manière mais le but, non les moyens mais le projet à réaliser et mettre en place.
Une première chose à considérer : si tu veux accéder ou faire accéder à tes résultats via Internet, tu ne peux directement le faire à l'aide d'un langage de script, même sur ta propre machine, et tu dois en passer par un langage serveur (p. ex. PHP, ASP ou JSP), donc en passer par un serveur HTTP, typiquement Apache. Tu peux aussi le faire au départ avec un SGBD ou un tableur et mettre tes résultats en ligne, mais en ce cas tu ne pourras que difficilement les modifier aussi en ligne, là encore en passant par un langage serveur.
Si ton projet est simple et courant (gestion de compte, gestion d'une association, calendrier événementiel...) il existe des applications toutes prêtes, tant pour SGBD locaux (Open Office, Microsoft Office ou autre) que serveurs (PostGres, MySQL, SQLite ou autre). Si tu souhaites faire quelque chose de très spécifique, désolé d'avoir à le dire là aussi, sauf à avoir sous la main un programmeur de SGBD compétent, faut mettre les mains dans le cambouis et se taper la doc ésotérique.
Dans tous les cas, la solution la plus simple me semble d'en passer par un système de gestion de contenu (un CMS) orienté vers la gestion de formulaires, cela dit ça n'est pas évident de trouver le bon ni parfois de l'installer, spécialement si on a Free ou Orange comme fournisseur (perso, j'ai fini par opter pour un hébergeur internet, ça me coûte 5€ par mois mais au moins je n'ai [presque] jamais de problèmes pour installer un truc). Publicité gratuite, le site CMS Matrix est pas mal pour chercher un truc adapté à ses besoins, mais la recherche et les tests sont longs...
En fait, la seule vraie question est : que veux-tu effectivement mettre en place ? L'unique manière de trouver est de savoir ce que l'on cherche. Par exemple, si tes données sont statiques et s'il n'y a pas de calculs ou de tris à effectuer, il se peut que tu n'aies même pas besoin de base de données, à ce moment-là il se peut qu'une gestion par langage de script soit envisageable, les données étant stockées directement dans la page HTML ou dans un fichier texte. >O~M~H< 25 février 2017 à 03:18 (CET)[répondre]
Merci Olivier, ou en fait c'est un peu ce que je craignais d'entendre. En fait, je souhaite bien utiliser une base de données, il ne s'agit pas d'un besoin standard genre compta mais d'une base totalement perso et expérimentale, et (je ne l'ai peut-être pas précisé) je souhaite pouvoir créer mes propres scripts, quel que soit le langage à utiliser. Tout ça me rappelle que j'avais déjà fait quelque chose d'assez similaire (il y a longtemps) avec Access (mais ce n'était pas gratuit - et à l'époque il n'était pas question de Tomcat, Apache et je ne sais quoi encore) ; je ne m'en sortais pas trop mal. J'ai aussi de bonnes notions de SQL, à rafraîchir certes. Je pensais qu'il existait des solutions intermédiaires, entre le "prêt-à-utiliser" pour pékin lambda et le "prise de tête pour spécialiste - 10 ans d'expérience mini requis", et Access me semblait assez bien correspondre à mon besoin. En fait, ce que je souhaite surtout, c'est de ne pas passer des jours à mettre en place l'environnement nécessaire (avec toujours qqch qui déconne), mais pouvoir me consacrer le plus tôt possible au projet lui-même. Mais c'est peut-être un rêve vain... Syrdon (discuter) 25 février 2017 à 10:09 (CET)[répondre]
Un truc avec SQLite? (mais je n'en ai aucune expérience et je ne sais pas ce qui existe au niveau interface utilisateurapplicatif). À noter qu'on a une {{Palette Systèmes de gestion de base de données}}. -- Xofc [me contacter] 25 février 2017 à 14:43 (CET)[répondre]
Merci, je continue sur ma page de discussion, mais Olivier m'a répondu sur l'essentiel, mon cerveau s'est un peu désembrumé sur la question... Syrdon (discuter) 26 février 2017 à 09:37 (CET)[répondre]

Science sans conscience n’est que ruine de l’âme

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Bonjour Déesse aux 100 bouches. Dans la lignée d'une question ci-dessus [4] (Demande n°2 qui n'a pas eu beaucoup de réponses) ; je pense à Rabelais : "Science sans conscience n’est que ruine de l’âme" qui est évidente de nos jours vu la sur-puissance de la science. Mais à quoi Rabelais (mort en 1553) pouvait-il bien penser ? Les armes bien sûr : arbalètes puis armes à feu et canon. Mais quoi d'autre ? Je vous remercie pour vos cogitations.--Jojodesbatignoles (discuter) 25 février 2017 à 09:55 (CET)[répondre]

Bonjour. Je pense qu'il faut se demander ce que Rabelais appelait science : ce n'est probablement pas tout à fait la même chose que ce que nous désignons ainsi (peut-être toute connaissance reçue par enseignement ?), et que le médecin qui abuse de la naïveté des malades, l'astrologue qui profite de la peur des bien-portants, le juge qui attend la "maturité" des affaires avant de lancer les Dés de Justice, grossissent la foule des savants qui n'ont pas élevé leur conscience au niveau de leurs connaissances ? 2A01:E35:8A5D:4340:7DA5:ACCF:C740:E83D (discuter) 25 février 2017 à 18:50 (CET)[répondre]
Cette citation de Rabelais est à comprendre avec "science" signifiant "savoir, connaissances acquises par l'étude". C'est effectivement le sens ancien de ce mot. Rabelais affirme en gros que si on est très instruit de faits, mais qu'on ne se préoccupe pas de philosophie (ou de morale), alors on devient plus mauvais qu'auparavant. Je te signale au passage que Rabelais était médecin. Si on parle de science (même avec un sens proche de celui d'aujourd'hui), le mal qu'un médecin peut faire s'il n'a que des connaissances médicales mais pas de soucis d'humanité ne lui échappait pas. C'est un axe de réflexion à propos de la médecine qui est très ancien, exprimé par exemple dans le serment d'Hippocrate sous ses diverses formes. Toujours aux yeux d'un médecin, les conséquences de la gloutonnerie sont, à toutes les époques, une manifestation de ces "effets déplorables dont on chérit les causes" : l'homme obèse ressent douloureusement des troubles nombreux, dus à un plaisir sensuel qu'il continue à rechercher, en général. Ce n'est qu'un exemple. La contemplation des paradoxes du comportement humain n'est pas une nouveauté. Amicalement Aluminium (discuter) 26 février 2017 à 01:14 (CET)[répondre]
Et je pense que contrairement à l’usage moderne, Rabelais n’incluait pas la technique dans la science — bref, il ne pensait certainement pas aux armes.
Il s’agit de l’éducation de Pantagruel, qui est en gros ce qu’on appelait « les humanités » — on peut facilement retrouver le contexte sur Wikisource. Le chapitre commence par une farce à la Rabelais : Pantagruel étudie fort efficacement car « il avoit l'entendement à double rebras et capacité de memoire à la mesure de douze oyres et botes d'olif » — traduction libre : il avait la comprenotte bien épaisse et de la mémoire par hectolitres ; suit la lettre de Gargantua, qui après quelques mots émouvants sur le fait que le père décrépit survit dans l’enfant, procède à l’énumération (là encore, plutôt farce) de tout ce qu’il attend de son rejeton : maîtriser le grec, le latin, l’hébreu, le chaldéen, l’arabe, en formant son style sur le modèle des meilleurs auteurs ; et puis se former à la géométrie, l’arithmétique, la musique, l’astronomie (et délaisser l’astrologie), au droit, aux sciences naturelles (sans omettre la géologie), à la médecine, à la théologie (dans l’étude des textes sacrés). Enfin, il lui faudra « apprendre la chevalerie et les armes pour defendre ma maison, et nos amys secourir en tous leurs affaires contre les assaulx des malfaisans », sans omettre de profiter de la compagnie des beaux esprits parisiens. Vient alors la recommandation qui te préoccupe : « Mais parce que, selon le saige Salomon, sapience n'entre poinct en ame malivole et science sans conscience n'est que ruine de l'ame, il te convient servir, aymer et craindre Dieu, et en luy mettre toutes tes pensées et tout ton espoir, et par foy formée de charité, estre à luy adjoinct, en sorte que jamais n'en soys désamparé par peché. Aye suspectz les abus du monde. Ne metz ton cueur à vanité, car ceste vie est transitoire, mais la parolle de Dieu demeure eternellement. » — il lui enjoint simplement de rester, malgré toute cette science, un bon chrétien, aimant et craignant Dieu.
Comme on le voit, comme à peu près toujours chez Rabelais, difficile de savoir si c’est du lard ou du cochon. La farce et le ridicule se mêlent aux propos sérieux, tout est mi-figue, mi-raisin. Peut-être a-t-il voulu ridiculiser un poncif de son époque, peut-être est-il sérieux comme une pierre, va savoir ? En tout cas les lectures scolaires « officielles » de Rabelais (à la Lagarde et Michard, mais d’autres avant eux) ont soigneusement omis de voir le côté farce, pour prétendre en tirer des enseignements sérieux. Que de ce savoureux chapitre seule cette phrase isolée et un peu plate survive a, à mon avis, quelque chose de pitoyable.
N’oublie pas que Pantagruel est « roi des dipsodes », c’est-à-dire des ivrognes (cf le moderne dipsomane). rv1729 26 février 2017 à 10:08 (CET)[répondre]


Je vous remercie pour vos éclairages, savants Dieux et Déesse.--Jojodesbatignoles (discuter) 26 février 2017 à 10:33 (CET)[répondre]

Biologie : fusion cellulaire ?

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Bonjour !
En regardant la video suivante : https://www.youtube.com/watch?v=vVbYwo-Qaxc qui montre diverses cellules du systeme immunitaire en action, j'ai remarqué que dans la séquence qui commence à 1:05, on voit deux lymphocytes cytotoxiques attaquant une cellule cancéreuse...mais quelques secondes après, j'ai comme l'impression que les deux lymphocytes fusionnent ou tout au moins, ont des contacts directs forts et prolongés...est-ce que ce phénomène de "fusion" cellulaire, en particulier dans le système immunitaire et de façon spontanée, est documenté ?
Merci beaucoup et bonne journée --Karim93600 (discuter) 25 février 2017 à 10:45 (CET)[répondre]

Je pense que c'est le mauvais lien, ça m'envoie vers une vidéo de rap français. Sinon, je peux pas répondre désolé :) – Rozmador [M'écrire] 27 février 2017 à 01:31 (CET)[répondre]
Ici on ne supprime pas sans motif (voir historique), si le lien de la vidéo est faux (sauf canular) il faut chercher une autre vidéo approchante, par exemple celle-ci .--Doalex (discuter) 27 février 2017 à 13:44 (CET)[répondre]
(Conflit d'édit mais pas de propos, en ce cas Émoticône) Enfin si, on supprime parfois sur l'Oracle, mais faut prévenir et avoir un motif valide, deux condition absentes ici Émoticône sourire >O~M~H< 28 février 2017 à 10:01 (CET)[répondre]