Wikipédia:Oracle/semaine 35 2014
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Article sur le film "Exam"
[modifier le code]Bonjour, J'ai consulté la fiche du film "Exam". Concernant les articles sur le cinéma, il me semble que Wikipedia ne doit pas être un lieu où l'on dévoile la totalité du déroulement d'un film. Il s'agit uniquement, à mon sens, d'exposer l'histoire en quelques lignes simples, concises et efficaces. L'article existant actuellement sur le film "Exam" est un "spoil". Il est d'ailleurs extrêmement désagréable de lire un article aussi long pour un synopsis. Je n'ai pas osé modifier cet article sans avoir l'avis de Wikipedia. Je peux le modifier avec autorisation et approbation de Wikipedia. Dans l'attente de votre réponse. Cordialement. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.20.161.237 (discuter), le 25 août 2014 à 14:10 (CSET)
- Bonjour,
- Je ne suis pas d'accord les articles sur les films expliquent souvent l'intrigue du film. J'utilise d'ailleurs souvent Wikipédia pour avoir des explications sur des films avec des fins ambigües.
- Par contre pour avoir un synopsis d'un film j'utilise d'autres sites tels que allocine et imdb (qui eux ne 'spoilent' jamais). --81.255.178.243 (discuter) 25 août 2014 à 14:34 (CEST)
- Je suis du même avis; même si cela est désagréable de lire un spoil, Wikipedia se veut aussi complète que possible, et donc l'article sur un film devrait parler de l'ensemble du film (y compris sa fin), en y intégrant aussi des détails du contexte (historique, politique géographique etc) qui permettent une meilleure compréhension du scénario. Par contre il est clair qu'il ne s'agit pas d'y rédiger tout le script du film; Un résumé est nécessaire pour garder un confort de lecture. Mitch-Mitch 25 août 2014 à 15:09 (CEST)
- « Couvrez ce sein que je ne saurais voir.
- Par de pareils objets les âmes sont blessées,
- et cela fait venir de coupables pensées. » -- Tartuffe, acte III, scène II, vers 860-862, Molière, années 1660.
- Je suis du même avis; même si cela est désagréable de lire un spoil, Wikipedia se veut aussi complète que possible, et donc l'article sur un film devrait parler de l'ensemble du film (y compris sa fin), en y intégrant aussi des détails du contexte (historique, politique géographique etc) qui permettent une meilleure compréhension du scénario. Par contre il est clair qu'il ne s'agit pas d'y rédiger tout le script du film; Un résumé est nécessaire pour garder un confort de lecture. Mitch-Mitch 25 août 2014 à 15:09 (CEST)
Expliquer une intrigue ne nécessite pas de dévoiler le déroulement complet d'un film, acte par acte. Un synopsis, comme sa définition l'indique, doit être bref et concis. Je comprend que l'on utilise Wikipedia pour trouver des détails du contexte mais pas au point de divulguer l'ensemble du film point par point. Un synopsis doit donner l'envie de visionner un film. Si en lisant un synopsis, on connaît déjà les tenants et aboutissants du scénario, il ne me semble plus utile de voir le film. On sait tout d'avance, il n'y a donc plus d'intérêt, plus de surprise, plus de plaisir cinématographique. Si l'on souhaite des explications sur un film avec une fin ambigue, il existe des sites spécialisés pour cela, comme par exemple Devildead pour les films SF, horreur et fantastique. Si tous les synopsis décrivent l'ensemble des détails et déroulement d'un film, il n'y a plus de plaisir de découverte. Si la politique de Wikipedia est de dévoiler l'ensemble d'un film alors Wikipedia devient un site spécialisé en critiques cinématographiques complètes et cela ne me semble pas être l'essence de Wikipedia. Cordialement. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.20.161.237 (discuter), le 25 août 2014 à 15:57
- En fait ça n'est pas évident : si tu prends par exemple Le Meurtre de Roger Ackroyd, connaître le fin mot du roman avant de l'avoir lu ne m'a pas empêché de le faire, parce que voir le déroulement de l'intrigue qui mène à ce dénouement est tout aussi intéressant quand on sait qui a commis les crimes, voire même plus. Il m'arrive régulièrement de relire des romans ou de revoir des films dans lesquels le suspense est un élément-clé, parce que l'œuvre tient à autre chose, je dirai même que revoir un film comme L'Inconnu du Nord Express est mieux que de le voir, car on attend avec plaisir et avec angoisse les moments les plus intenses de l'intrigue. Du moins c'est mon cas. Ou encore, pour en rester à Hitchcock, un film comme Rebecca est encore plus angoissant quand on sait comment il finit. Pour dire les choses, l'intérêt d'un film n'est pas tant dans le suspense qu'il peut comporter que dans la manière subtile ou au contraire brutale qu'a un réalisateur de le mener. >O~ ♦M♦ ~H< 26 août 2014 à 10:28 (CEST)
- Cette discussion existe déjà, là où elle doit figurer Discussion:Exam (film), l'Oracle n'est pas le lieu idéal pour remettre le couvert, par contre chacun peut aller s'exprimer sur la page précitée.--Doalex (discuter) 26 août 2014 à 11:13 (CEST)
Lessive
[modifier le code]Bonjour
Petite question qui me taraude : Vous connaissez tous es lingette du genre "décolorstop" qui évite de trier le linge pour la lessive entre celui coloré et le blanc, Quelqu'un pourrait-il m'expliquer comment ça fonctionne. Merci.--Le ciel est par dessus le toit (discuter) 28 août 2014 à 10:44 (CEST)
- Effet placebo?--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 28 août 2014 à 12:44 (CEST)
- Désolé explique moi le rapport avec l'effet placebo car vraiment là je ne comprends rien. --Le ciel est par dessus le toit (discuter) 28 août 2014 à 13:47 (CEST)
- et ben, le linge il pense recevoir un traitement actif, du coup, il se retient de déteindre?--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 28 août 2014 à 13:58 (CEST)
- Ca me paraît très peu plausible que le linge "pense", je pense. --Le ciel est par dessus le toit (discuter) 28 août 2014 à 14:13 (CEST)
- Oui, tout au plus peut-il panser. Mais il y aurait une limitation à ces produits, tenant au Ph du colorant. Les emballages de produits que j'ai examinés précisaient qu'ils étaient efficaces contre la migration des teintures modernes acides. J'en ai déduit que la lingette était traitée pour fixer les molécules acides, ce qui n'éclaire pas grand'chose. Un chimiste dans la laverie ? 88.165.212.52 (discuter) 28 août 2014 à 14:50 (CEST)
- Il semble (mais les fabricants communiquent peu ou pas sur la question...) qu'il s'agit d'une histoire d'ionisation : la lingette serait chargée en ions positifs et les colorants seraient eux, des ions négatifs ; mais cela reste à vérifier. -- Doc103 (discuter) 28 août 2014 à 15:07 (CEST)
- C'est justement quand on ne pense pas que l'effet placébo marche à fond...--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 28 août 2014 à 15:19 (CEST)
- Oui, tout au plus peut-il panser. Mais il y aurait une limitation à ces produits, tenant au Ph du colorant. Les emballages de produits que j'ai examinés précisaient qu'ils étaient efficaces contre la migration des teintures modernes acides. J'en ai déduit que la lingette était traitée pour fixer les molécules acides, ce qui n'éclaire pas grand'chose. Un chimiste dans la laverie ? 88.165.212.52 (discuter) 28 août 2014 à 14:50 (CEST)
- Bonjour, Sur ce forum quelqu'un s'est déjà posé la question. Globalement il s'agit, d'après eux, de languettes de tissus contenant toutes les fibres possible (car chaque colorant est fait pour se fixer sur un type de fibre), puis il faut améliorer l’absorption du tissu en utilisant les propriétés chimiques des colorants (groupes amine ou acide). L'explication exact se trouve dans le dernier message. --81.255.178.243 (discuter) 28 août 2014 à 15:53 (CEST)
- Ca me paraît très peu plausible que le linge "pense", je pense. --Le ciel est par dessus le toit (discuter) 28 août 2014 à 14:13 (CEST)
- et ben, le linge il pense recevoir un traitement actif, du coup, il se retient de déteindre?--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 28 août 2014 à 13:58 (CEST)
- Désolé explique moi le rapport avec l'effet placebo car vraiment là je ne comprends rien. --Le ciel est par dessus le toit (discuter) 28 août 2014 à 13:47 (CEST)
- En 2013 déjà l'Oracle tentait une réponse [1] sur ce mystère évoqué par quelqu'un (moi) sans toutefois, que cela l’empêche de dormir. La réponse était précise, mais moins sourcée. Pas de quoi ! --PatSchW (discuter) 29 août 2014 à 12:04 (CEST)
- Les lingettes sont imbibées d'un polymère soluble qui agit comme inhibiteur de transfert de colorant (DTI, dye transfer inhibitor), les plus connus : la polyvinylpyrrolidone (PVP, disponible commercialement sous le nom de PVP K-30), la polyvinylpyridine-N-oxide (PVNO, nom commercial ChromaBond S-403E), la pyridine bétaine (pyBET, ChromaBond S-100), etc. Les performance dépendent du mélange de ces polymères dans le liquide ou la lingette, de la dureté et du pH de l'eau, du tissu et du colorant. Pour plus de détails sur les polymères et leurs performances, voyez cette présentation donnée à une conférence : (en) [PDF] Polymer Technology -- Enhancing Household, Industrial and Institutional (HI&I) Product Performance (Robert Gibbison, Performance Chemicals). Cæruleum (discuter) 30 août 2014 à 23:58 (CEST)
- Merci pour les éclaircissements. --Le ciel est par dessus le toit (discuter) 31 août 2014 à 19:22 (CEST)
Répondre au hasard à une question…
[modifier le code]Phénomène qui pousse les gens à répondre au hasard à une question plutôt que de dire « Je ne sais pas » ou « Je n'ai pas d'avis »
Bonjour, je cherche un phénomène (d'ordre sociologique) qui expliquerait pourquoi une personne à qui on pose une question préfèrerait éventuellement répondre au hasard plutôt que « d'admettre » qu'elle ne sait pas ou n'a pas d'avis, par exemple sur une question du type: « Êtes vous plutôt très favorable, favorable, défavorable, très défavorable ou vous n'avez pas d'avis sur X ».
Je n'ai pour l'instant pas trouvé de mots clefs intéréssants, toute aide est donc la bienvenue. Merci d'avance. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 37.162.18.189 (discuter), le 28 août 2014 à 19:31 (CSET)
- … c'est un peu le même phénomène qui pousse des gens à poser au hasard une question à rallonge dans un titre plutôt que de synthétiser en quelques mots, non ? — Hautbois [canqueter] 28 août 2014 à 22:05 (CEST)
- Je ne suis pas totalement certain de comprendre votre question. Si vous voulez savoir pourquoi les individus que l’on interroge dans le cadre d’un sondage répondent alors même qu'ils n'ont pas vraiment d’opinion, il y a deux grands types de facteurs : 1) les sondeurs sont payés par leur commanditaires pour obtenir des réponses, et pas des "sans opinions". Les questions des sondages sont donc formulées de manière à rendre possible/à pousser les individus à donner une réponse, même s’ils n’ont pas vraiment d’opinion. Par exemple, on utilise des questions avec des réponses fermées (c’est-à-dire que le sondeur donne 3 ou 4 réponses parmi lesquelles on peut choisir -ce qui permet de dire quelque chose, même si on ne sait rien. La question que vous donnez en exemple "êtes vous plutôt très favorable", etc. est un exemple classique de question fermée qui maximise le taux de réponse). Ou alors la question débute par un "on dit habituellement que", qui suggère que tout le monde a une opinion, ce qui pousse à en donner une soi-même. En fait, il y a plein de "techniques" de ce type utilisées par les sondeurs. Le principe général des questions de sondeur est donc de pousser les individus à répondre, même s'ils n’ont rien à dire, et de leur donner les moyens de le faire.
2) Deuxième type de facteur : les individus qui n’ont pas d'opinion donnent ce que Daniel Gaxie appelle des "réponses de façades". Répondre à un sondage est une interaction sociale : l’individu interrogé donne à voir une image de lui à la personne qui l’interroge. Ne pas savoir, ne pas répondre, c’est donc en partie perdre la face, en avouant une ignorance -du moins, ne pas construire une image positive de soi. C’est, d’ailleurs, pour cela que les sondeurs utilisent des formulations du type "on dit habituellement que", parce qu’elles renforcent la difficulté qu'il y a à avouer ne pas avoir d'avis. De ce point de vue, comme le note Gaxie, la situation du sondage réactive les souvenirs que nous avons de la situation scolaire -ce qui pousse encore plus à répondre : « c’est aussi parce que la relation avec l'enquêteur renvoie à l'expérience scolaire qu'une partie des personnes interrogées accepte à l'improviste de se pencher avec docilité et sérieux sur les problèmes les plus divers et de manifester un intérêt plus ou moins factice pour les sujets qui lui sont proposés. [...] Certains enquêtés se sentent sommés de répondre à ce qu'ils perçoivent comme un examen et retrouvent à cette occasion les réactions de l'élève en difficulté, quand d'autres cherchent à se conformer à l'image qu'ils ont et veulent donner d'eux-mêmes. [...] La situation d'enquête suscite ainsi des dispositions à répondre qui excèdent les capacité à se prononcer et une partie des répondants s'efforcent visiblement de faire face aux questions "avec les moyens du bord" ». (citation tirée d’un article que vous pouvez trouver ici (pages 102, 103 et 104). -- gede (d) 28 août 2014 à 22:31 (CEST)- Bonjour,
- Je me suis posé la question il y pas très longtemps et voici quelques sources qui m'avait intéressé :
- Sondage d'opinion#L'honnêteté des réponses qui nous dit: Les sondés n'ont pas d'idées formées sur les questions qu'on leur pose et ils répondent au hasard, simplement pour le privilège d'être sondé.
- Sur Opinion on peut lire : Platon mentionne que l’opinion regroupe deux types de connaissances : la croyance et l’illusion.
- Sur Opinion publique : Le sociologue Alain Accardo de même considère que la réalité de l'« opinion publique » « tient pratiquement tout entière dans ce qu'en disent les médias et tout spécialement aujourd'hui les instituts de sondage qui, sans s'interroger outre mesure sur le bien-fondé de leur démarche, collent à des fins d'agrégation statistique, cette étiquette abusivement globalisante et homogénéisante sur une série limitée d'opinions individuelles artificiellement provoquées par leurs questions et de surcroît arbitrairement considérées comme interchangeables »
- Et un texte intéressant de Pierre Bourdieu : ici qui ne traite pas exactement du sujet mais on apprend pas mal de chose sur l'opinion.
- Et pour finir L'art d'avoir toujours raison de Arthur Schopenhauer : Il n’y a pas d’opinion, si absurde soit-elle, que les hommes ne sont pas prêts à embrasser dès qu’ils peuvent pourvu qu’on puisse les convaincre que c’est une vue généralement admise. L’exemple affecte leur pensée et leurs actions. Ils sont comme des moutons, suivant celui qui porte le grelot où qu’il les mène : il est pour eux plus facile de mourir que de réfléchir. Il est particulièrement étrange que l’universalité d’une opinion ait autant de poids lorsque par l’expérience on sait que son acceptation n’est guère qu’un processus imitatif sans aucune réflexion.
- Aux vues de ces articles je pense donc à panurgisme. Mais ce n'est pas un terme sociologique. --NexRezzo (discuter) 29 août 2014 à 11:50 (CEST)
- Je ne suis pas totalement certain de comprendre votre question. Si vous voulez savoir pourquoi les individus que l’on interroge dans le cadre d’un sondage répondent alors même qu'ils n'ont pas vraiment d’opinion, il y a deux grands types de facteurs : 1) les sondeurs sont payés par leur commanditaires pour obtenir des réponses, et pas des "sans opinions". Les questions des sondages sont donc formulées de manière à rendre possible/à pousser les individus à donner une réponse, même s’ils n’ont pas vraiment d’opinion. Par exemple, on utilise des questions avec des réponses fermées (c’est-à-dire que le sondeur donne 3 ou 4 réponses parmi lesquelles on peut choisir -ce qui permet de dire quelque chose, même si on ne sait rien. La question que vous donnez en exemple "êtes vous plutôt très favorable", etc. est un exemple classique de question fermée qui maximise le taux de réponse). Ou alors la question débute par un "on dit habituellement que", qui suggère que tout le monde a une opinion, ce qui pousse à en donner une soi-même. En fait, il y a plein de "techniques" de ce type utilisées par les sondeurs. Le principe général des questions de sondeur est donc de pousser les individus à répondre, même s'ils n’ont rien à dire, et de leur donner les moyens de le faire.
- Phénomène qui pousse les gens à répondre au hasard à une question plutôt que de dire « Je ne sais pas » ou « Je n'ai pas d'avis ». Ah ? Mais où est décrit le phénomène ? Que l'on sache un peu qui avance (à part vous) cette affirmation péremptoire. --PatSchW (discuter) 29 août 2014 à 12:14 (CEST)
- Au hasard, pas tout à fait, mais répondre quand on n’a pas vraiment d'avis/de connaissance sur une question est un phénomène parfaitement connu et étudié en sociologie des sondages : l’article que je cite au-dessus fait justement cela. -- gede (d) 29 août 2014 à 13:30 (CEST)
- le libre arbitre?--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 29 août 2014 à 12:43 (CEST)
- L’Oracle est bien le lieu pour poser la question : il est rempli de gens qui répondent sans avoir de réponse. Je dis ça, mais au fond j’en sais rien. C’est pour ça que j’interviens. --Morburre (discuter) 29 août 2014 à 13:52 (CEST) Hi hi ! rv1729 30 août 2014 à 16:04 (CEST)
- Gede, merci pour ta réponse intéressante. Je pense depuis longtemps qu’il faudrait valoriser davantage la capacité à se rendre compte qu’on ne sait pas répondre (on n’a pas les éléments pour répondre, que ce soit des informations ou des bases méthodologiques et théoriques), et à le dire tout bêtement. Il faut dire que pour ce qui est de donner son avis sur tout, y compris des sujets auxquels on ne connaît rien, l’exemple vient d’« en haut » ! rv1729 30 août 2014 à 16:04 (CEST)
- Au hasard, pas tout à fait, mais répondre quand on n’a pas vraiment d'avis/de connaissance sur une question est un phénomène parfaitement connu et étudié en sociologie des sondages : l’article que je cite au-dessus fait justement cela. -- gede (d) 29 août 2014 à 13:30 (CEST)
Auberge du cheval blanc
[modifier le code]Bonjour à toi ô racle, bénies soient tes pythies,
J'avais posé il y a quelque temps la question des « Civette », « Balto » et autres « Chiquito », et j'arrive avec une autre question : pourquoi autant de restaurants (notamment en Bourgogne, j'en ai vu trois dans la même journée) se nomment l'« Auberge du Cheval Blanc » ? J'ai un temps pensé à la comtesse de Ségur avant de réaliser qu'il s'agit de L'Auberge de l'Ange gardien ; ici on parle de l'opérette L'Auberge du Cheval-Blanc, mais franchement ce n'est pas convainquant, la mode étant sûrement plus ancienne et cette opérette pas si connue (même si elle apparaît plusieurs fois dans les précédentes questions de l'Oracle). Turb (discuter) 29 août 2014 à 12:42 (CEST)
- Bonjour,
- ici aussi ce restaurant explique que son nom viens de l'opérette.
- Alors que ici et la, on nous dit que c'est un ancien relais de poste (17-18ème).--NexRezzo (discuter) 29 août 2014 à 13:07 (CEST)
- … à lire Robe blanche du cheval, Symbolique du cheval, mais surtout Cheval blanc dans la culture. — Hautbois [canqueter] 29 août 2014 à 13:21 (CEST)
- Je pense que l'opérette reprend cette propension à nommer les auberges par ce nom. Je conçois l'importance de la symbolique du cheval blanc, mais pourquoi toujours ce nom ? (on pourrait avoir « le relais du cheval blanc » ou « l'hôtel du cheval blanc », etc. or ce n'est pas le cas. Turb (discuter) 29 août 2014 à 16:59 (CEST)
- En Suisse aussi. Je connaissais jadis un pub intitulé "le Cheval Blanc" à Châtel-Saint-Denis--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 29 août 2014 à 17:34 (CEST)
- Le cheval est aussi souvent noir, par exemple Hostellerie du cheval noir.
- oui, mais c'est diabolique.--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 29 août 2014 à 18:01 (CEST)
- Le cheval est aussi souvent noir, par exemple Hostellerie du cheval noir.
- En Suisse aussi. Je connaissais jadis un pub intitulé "le Cheval Blanc" à Châtel-Saint-Denis--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 29 août 2014 à 17:34 (CEST)
- Je pense que l'opérette reprend cette propension à nommer les auberges par ce nom. Je conçois l'importance de la symbolique du cheval blanc, mais pourquoi toujours ce nom ? (on pourrait avoir « le relais du cheval blanc » ou « l'hôtel du cheval blanc », etc. or ce n'est pas le cas. Turb (discuter) 29 août 2014 à 16:59 (CEST)
- … à lire Robe blanche du cheval, Symbolique du cheval, mais surtout Cheval blanc dans la culture. — Hautbois [canqueter] 29 août 2014 à 13:21 (CEST)
- … il serait trèèèèèèèès étonnant que le titre de l'opérette qui date de 1930 soit à l'origine des dizaines d'« Auberges du cheval blanc » dont le nom, déjà au XIXe était très courant comme celle de Saint-Germain-en-Laye où, en janvier 1848 par exemple, Alexandre Dumas fils écrivit La Dame aux camélias ou celle citée dans La Chartreuse de Parme de Stendhal. — Hautbois [canqueter] 29 août 2014 à 19:49 (CEST)
- … je pense (mais une fois de plus, je fais du TI n'ayant pas de sources fiables) que le nom vient des Relais de Poste ou Poste aux chevaux entre 1477 et 1873, « service de transports rapides des personnes et de leur bagages qui se maintient durant environ quatre cents ans, soit entre la création des premiers relais au début du XVIe siècle, et la fermeture progressive des relais concurrencés par le chemin de fer à partir des années 1845 » (lire là). Comme souvent pendant cette période, la corporation (lire Maître de poste, Maître général des postes, Postillon, Malle-poste…) gardait les mêmes noms (ici « Auberge du cheval blanc ») d'une ville à l'autre façon chaîne de restaurants (… curieux, plus de 200 entrées sur wp et c'est redirection vers Chaîne de magasins ! ). Les relais sont espacés de 16 à 20 km (au début du XIXe siècle, il existe /- 1 400 maîtres de poste et 16 000 chevaux) et se transforment en écuries avec des chevaux frais, en auberges pour la restauration du personnel et des voyageurs, et en gîtes pour leur hébergement. C'est pendant cette période que le nom a du se propager à la manière des tristement célèbres Restoroutes de Jacques Borel dans les années 1970… mais tout ça, ce ne sont que des suppositions… — Hautbois [canqueter] 30 août 2014 à 04:50 (CEST)
- … outre les noms récurrents de Hôtel ou Hostellerie de la Poste, du Postillon, de France, de la Paix, de la Calèche, du Fiacre, de la Diligence, du Cheval Gris, Rouge ou Noir, on retrouve aussi souvent L'Auberge Fleurie, Le Lion d'Or, La Boule d'Or, Le Griffon d'Or, La Clé d'Or, La Croix d'Or, Le Coq d'Or, Le Coq Hardi, Les Trois Faisans, Le (Grand) Cerf, La Gerbe de Blé, Le Vieux Relais, Le Chapeau Rouge, Le Vert Galant, La Croix Blanche… Hôtel (ou Hostellerie) de la Poste étant àmha le plus fréquent. Confirmation dans la Liste des hôtels et restaurants issus d'un relais de poste — Hautbois [canqueter] 30 août 2014 à 05:22 (CEST)
- Voila un article qu'il est bien. Ce serait alors par imitation ? J'en ai vus trois en Saône et Loire, mais il ne sont pas dans la liste. Turb (discuter) 30 août 2014 à 10:24 (CEST)
- … effectivement, tous les anciens relais ne sont pas (encore ?) dans la liste. Je ne pense même pas qu'un restaurateur, vu le peu d'originalité du nom, aurait l'idée aujourd'hui d'utiliser ces appellations sans connaître l'historique de son établissement. Au XVIII{e} et au XIX{e} siècles, comme la formation était souvent sous forme de compagnonnage, peut-être était-ce aussi un hommage à son formateur et au nom de son établissement. — Hautbois [canqueter] 30 août 2014 à 13:33 (CEST)
- Voila un article qu'il est bien. Ce serait alors par imitation ? J'en ai vus trois en Saône et Loire, mais il ne sont pas dans la liste. Turb (discuter) 30 août 2014 à 10:24 (CEST)
- … outre les noms récurrents de Hôtel ou Hostellerie de la Poste, du Postillon, de France, de la Paix, de la Calèche, du Fiacre, de la Diligence, du Cheval Gris, Rouge ou Noir, on retrouve aussi souvent L'Auberge Fleurie, Le Lion d'Or, La Boule d'Or, Le Griffon d'Or, La Clé d'Or, La Croix d'Or, Le Coq d'Or, Le Coq Hardi, Les Trois Faisans, Le (Grand) Cerf, La Gerbe de Blé, Le Vieux Relais, Le Chapeau Rouge, Le Vert Galant, La Croix Blanche… Hôtel (ou Hostellerie) de la Poste étant àmha le plus fréquent. Confirmation dans la Liste des hôtels et restaurants issus d'un relais de poste — Hautbois [canqueter] 30 août 2014 à 05:22 (CEST)
- … je pense (mais une fois de plus, je fais du TI n'ayant pas de sources fiables) que le nom vient des Relais de Poste ou Poste aux chevaux entre 1477 et 1873, « service de transports rapides des personnes et de leur bagages qui se maintient durant environ quatre cents ans, soit entre la création des premiers relais au début du XVIe siècle, et la fermeture progressive des relais concurrencés par le chemin de fer à partir des années 1845 » (lire là). Comme souvent pendant cette période, la corporation (lire Maître de poste, Maître général des postes, Postillon, Malle-poste…) gardait les mêmes noms (ici « Auberge du cheval blanc ») d'une ville à l'autre façon chaîne de restaurants (… curieux, plus de 200 entrées sur wp et c'est redirection vers Chaîne de magasins ! ). Les relais sont espacés de 16 à 20 km (au début du XIXe siècle, il existe /- 1 400 maîtres de poste et 16 000 chevaux) et se transforment en écuries avec des chevaux frais, en auberges pour la restauration du personnel et des voyageurs, et en gîtes pour leur hébergement. C'est pendant cette période que le nom a du se propager à la manière des tristement célèbres Restoroutes de Jacques Borel dans les années 1970… mais tout ça, ce ne sont que des suppositions… — Hautbois [canqueter] 30 août 2014 à 04:50 (CEST)
La nudité chez l'être humain
[modifier le code]Bonjour, Bonsoir à toi Ô grand Oracle
Une question me turlupine depuis ma naissance : Pourquoi les humains sont habillés et que les animaux sont nus ? (Un complexe apparu soudainement ?) À quand remonte le premier accoutrement vestimentaire chez l'être humain ?
Merci à vous les Sages.
Oxydium59 (discuter) 31 août 2014 à 15:27 (CEST)
- Et dans turlupine, y'a...--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 31 août 2014 à 15:49 (CEST)
- J'ignore si la réponse s'y trouve, mais on a un article 'Nudité' où l'on parle du livre de Desmond Morris, Le Singe nu qui propose une théorie. -- Xofc [me contacter] 31 août 2014 à 17:26 (CEST)
- … outre les nécessités de protection (froid, chaleur, environnement… ), la pudeur, très influencée par les différentes cultures ou/et les religions (awra musulmane, tsniout judaïque… ) est un phénomène philosophique et social à dimension individuelle ou collective, aux multiples facettes suivant les lieux, les époques et les civilisations. Vaste sujet, donc, dépassant peut-être un peu le cadre de l'oracle. Quelle que soit la civilisation concernée, je ne sais si on peut dater avec précision le passage de la nécessité à la « contrainte » tant cela me semble le fruit d'une lente évolution. — Hautbois [canqueter] 31 août 2014 à 20:40 (CEST)
- J'ignore si la réponse s'y trouve, mais on a un article 'Nudité' où l'on parle du livre de Desmond Morris, Le Singe nu qui propose une théorie. -- Xofc [me contacter] 31 août 2014 à 17:26 (CEST)
- Bonjour. Il n'y a pas nécessité d'un complexe particulier pour expliquer l'utilisation du vêtement. Les activités manuelles primitives (ébrancher un arbre, tailler un silex, par exemple) sont de toute évidence beaucoup moins éprouvantes avec un tablier, pour nous autres pauvres bêtes qui nous habillons parce que nous sommes nus quand les animaux, eux restent nus, vêtus qu'ils sont de leur cuir, de leur fourrure, de leurs écailles etc. Après, qu'ils y en aient des qui en fassent une religion ou une « philosophie », c'est une autre affaire ! Ils se trouvent peut-être moches, va savoir ? Cordialement. --le sourcier 1 septembre 2014 à 00:36 (CEST)
- Tu affirmes donc la disparition de notre fourrure a précédé l’utilisation du vêtement. Ça n’a vraiment rien d’évident... (les hypothèses évolutionnistes pour expliquer la perte de la fourrure font souvent intervenir les vêtements). rv1729 1 septembre 2014 à 09:34 (CEST)
- Il semble qu'il existe encore des tribus dans le monde qui vivent complètement nues (bon, je mets quand-même [réf. souhaitée]) Après, outre un problème de nudité, cela peut aussi simplement être un problème de pudeur : je pense ça en me remémorant cette tribu apparemment inconnue survolée il y a quelques années, on les voit nus mais ils portent tous (enfants compris) des espèces de pagnes. --Floflo (discuter) 1 septembre 2014 à 10:03 (CEST)
- Cette tribu que le photographe n'a pas reconnue, elle utilise un objet en acier comme on en trouve couramment en amérique du sud, il me parait difficile d'exclure une influence extérieure pour le maniement du sabre comme pour l'usage de textiles (le tissu à rayure du personnage qui s'appuie sur son arc ne semble pas différer de ceux qu'on trouve en zone urbaine) 88.165.212.52 (discuter) 1 septembre 2014 à 21:51 (CEST)
- « en déterminant la date de scission entre les poux de la tête et ceux du corps , les scientifiques sont parvenus, indirectement, à évaluer la date d’apparition des tout premiers vêtements. Ceux-ci seraient donc apparus entre 190 000 et 170 000 ans. Ainsi dotés d’une nouvelle parure, nos ancêtres vont pouvoir quitter le sol africain pour migrer vers des contrées au climat moins clément. »(voir ici). J'en conclu que le vêtement a été inventé pour aller aux sports d'hiver.--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 1 septembre 2014 à 10:08 (CEST)
- Bonjour, il y a l'article Histoire_du_costume#Origine qui traite en partie le sujet. --NexRezzo (discuter) 1 septembre 2014 à 13:04 (CEST)
- faudrait rajouter les recherches citée par ma source dans l'article, elles font avancer de ...100 000 ans (cent mille ans) l'invention du vêtement (incroyable...)--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 1 septembre 2014 à 13:16 (CEST)
- Je n'arrive pas à trouver l'article scientifique de cette source. Il cite ici l'article précédent (2003), mais rien sur la nouvelle étude. Si la source peut être vérifié c'est intéressant de modifier les articles en relation notamment Pediculus humanus qui cite également l'étude de 2003.--NexRezzo (discuter) 1 septembre 2014 à 15:25 (CEST)
- toujours sympa de voir qu'une question à priori assez triviale peut faire évoluer plein d'articles différents.--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 1 septembre 2014 à 15:36 (CEST) articles
- Je pense que c'est de cette référence dont vous parlez et citée par Nature : Kittler, R., Kayser, M. Stoneking, M. Molecular evolution of Pediculus humanus and the origin of clothing. Current Biology, 13, 1414 - 1417, (2003). Cordialement. -- Doc103 (discuter) 1 septembre 2014 à 22:31 (CEST)
- toujours sympa de voir qu'une question à priori assez triviale peut faire évoluer plein d'articles différents.--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 1 septembre 2014 à 15:36 (CEST) articles
- Je n'arrive pas à trouver l'article scientifique de cette source. Il cite ici l'article précédent (2003), mais rien sur la nouvelle étude. Si la source peut être vérifié c'est intéressant de modifier les articles en relation notamment Pediculus humanus qui cite également l'étude de 2003.--NexRezzo (discuter) 1 septembre 2014 à 15:25 (CEST)
- faudrait rajouter les recherches citée par ma source dans l'article, elles font avancer de ...100 000 ans (cent mille ans) l'invention du vêtement (incroyable...)--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 1 septembre 2014 à 13:16 (CEST)
- Bonjour, il y a l'article Histoire_du_costume#Origine qui traite en partie le sujet. --NexRezzo (discuter) 1 septembre 2014 à 13:04 (CEST)
- « en déterminant la date de scission entre les poux de la tête et ceux du corps , les scientifiques sont parvenus, indirectement, à évaluer la date d’apparition des tout premiers vêtements. Ceux-ci seraient donc apparus entre 190 000 et 170 000 ans. Ainsi dotés d’une nouvelle parure, nos ancêtres vont pouvoir quitter le sol africain pour migrer vers des contrées au climat moins clément. »(voir ici). J'en conclu que le vêtement a été inventé pour aller aux sports d'hiver.--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 1 septembre 2014 à 10:08 (CEST)
- Herve1729 :. Ben moi non plus j'y étais pas. Je n'affirme rien à propos de ce qui a précédé, de la nudité ou du vêtement, bien que j'ai mon opinion. Ce que je voulais dire, c'est que l'homme émergent a confronté sa face ventrale aux matériaux de ses industries. Il a exposé aux brutalités des transformations de la matière la partie la plus vulnérable des vertébrés. Pour façonner des objets. S'il n'avait pas inventé le vêtement, ç'aurait été un demeuré. Et qu'est-ce qu'il aurait fait des aiguilles et du fil ? --le sourcier 2 septembre 2014 à 17:23 (CEST)
- La fabrication et l’utilisation d’outils aurait été rendue possible par le vêtement ? C’est la charrue avant les bœufs ! rv1729 2 septembre 2014 à 21:58 (CEST)
- Euh non, l' outil est nécessaire et antérieur à la fabrication du vêtement. L'aiguille et le racloir sont parmi les plus anciens outils connus. Je ne discute pas l'antériorité qui résulte de relations dialectiques fort subtiles. La question, c'est : pourquoi l'homme est habillé ? Ce n'est pas parce qu'il a trouvé une chemise et un pantalon. C'est parce qu'il a ressenti le besoin de se couvrir. Par pudeur ? Bof ! Pour se protéger des conséquences fâcheuses de son caractère industrieux ou des intempéries ou des prédateurs ? Je ne saurais pas dire quel motif a précédé les autres mais chacun est suffisant pour se mettre à la couture, il me semble. --le sourcier 3 septembre 2014 à 10:11 (CEST)
- La fabrication et l’utilisation d’outils aurait été rendue possible par le vêtement ? C’est la charrue avant les bœufs ! rv1729 2 septembre 2014 à 21:58 (CEST)
- Tu affirmes donc la disparition de notre fourrure a précédé l’utilisation du vêtement. Ça n’a vraiment rien d’évident... (les hypothèses évolutionnistes pour expliquer la perte de la fourrure font souvent intervenir les vêtements). rv1729 1 septembre 2014 à 09:34 (CEST)
- Très bonne réflexion, le sourcier de la colline (d · c · b). C'est clair qu'un éclat de silex dans les parties, ça fait réfléchir, et donc ça te rend plus intelligent.--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 2 septembre 2014 à 22:06 (CEST)
- Tout ça pour aboutir au string, qui selon nos lointains successeurs préfigurera l’invention de la ficelle. --Morburre (discuter) 2 septembre 2014 à 22:25 (CEST)
- et elle est où, la ficelle? Tout se tient--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 2 septembre 2014 à 23:22 (CEST)
- Moi qui croyait que l'homme nu avait inventé le vêtement pour se protéger du froid lors de la dernière période glaciaire. --YB ✍ 5 septembre 2014 à 16:12 (CEST)
- et elle est où, la ficelle? Tout se tient--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 2 septembre 2014 à 23:22 (CEST)
- Tout ça pour aboutir au string, qui selon nos lointains successeurs préfigurera l’invention de la ficelle. --Morburre (discuter) 2 septembre 2014 à 22:25 (CEST)
- Très bonne réflexion, le sourcier de la colline (d · c · b). C'est clair qu'un éclat de silex dans les parties, ça fait réfléchir, et donc ça te rend plus intelligent.--₡lassiccardinal [réf. nécessaire] 2 septembre 2014 à 22:06 (CEST)