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Volga Volga

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Volga Volga
Description de l'image Volga-volga.jpg.
Titre original Волга-Волга
Réalisation Grigori Aleksandrov
Scénario Nikolaï Erdman
Mikhaïl Volpine
Grigori Aleksandrov
Vladimir Nilsen
Acteurs principaux
Sociétés de production Mosfilm
Pays de production Drapeau de l'URSS Union soviétique
Genre Comédie musicale
Durée 104 minutes
Sortie 1938

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Volga Volga (en russe : Волга-Волга) est un film soviétique de Grigori Aleksandrov, du genre comédie musicale, sorti sur les écrans le . La musique est d'Isaac Dounaïevski.

Initialement réalisé en noir et blanc le film est colorisé en 2010 par la société Formula Tsveta à la demande de la chaîne de télévision russe Pierviy Kanal[1],[2].

Byvalov, chef carriériste et bureaucrate d'une petite ville de province rêve de s'établir à Moscou. Il reçoit un télégramme de la capitale pour présenter des équipes de musiciens amateurs aux Olympiades musicales de Moscou, mais estimant qu'il n'y a pas de talent dans sa petite ville, Byvalov ne veut envoyer personne. Il existe deux orchestres d'amateurs en ville, l'un de musique classique, l'autre de musique populaire. Ils essayent en vain de convaincre le chef du soviet municipal. Finalement Byvalov, accepte de partir en bateau sur la Volga pour rejoindre Moscou, avec l'orchestre de musique classique.

L'autre équipe, dirigée par Dounia (Lioubov Orlova), s'y rend par ses propres moyens et arrive avant les autres.

Fiche technique

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Distribution

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En 1942, en pleine Seconde Guerre mondiale, Staline invite W. Averell Harriman, ambassadeur des États-Unis à venir voir le film. Celui-ci lui plut et en signe d'amitié, Staline en envoya une copie à Roosevelt.

Roosevelt se fit visionner Volga Volga, mais ne comprit pas pourquoi Staline tenait à ce qu'il le vît. Il demanda alors qu'on lui traduisit les paroles de la chanson Serviouga (le nom du bateau): « L'Amérique a donné un bateau à la Russie, vapeur en proue et roues à l'arrière, mais quelle terrible lenteur, quelle terrible lenteur ! » Roosevelt s'écria : « Je comprends désormais. Staline critique notre lenteur à ouvrir un deuxième front ! ».

Notes et références

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Liens externes

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