Aller au contenu

Villar de Cañas

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Villar de Cañas
Blason de Villar de Cañas
Héraldique
Villar de Cañas
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de l'Espagne Espagne
Communauté autonome Drapeau de la Castille-La Manche Castille-La Manche
Province Cuenca
Comarque Mancha Alta
Maire
Mandat
José María Saiz Lozano (PP)
2015-2019
Code postal 16433
Démographie
Population 391 hab. ()
Densité 5,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 39° 46′ 44″ nord, 2° 33′ 58″ ouest
Altitude 820 m
Superficie 7 060 ha = 70,60 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Espagne
Voir sur la carte topographique d'Espagne
Villar de Cañas
Géolocalisation sur la carte : Espagne
Voir sur la carte administrative d'Espagne
Villar de Cañas
Géolocalisation sur la carte : Castille-La Manche
Voir sur la carte administrative de Castille-La Manche
Villar de Cañas
Liens
Site web villardecanas.es

Villar de Cañas est une commune espagnole de la province de Cuenca, dans la communauté autonome de Castille-La Manche.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Le village est situé dans le centre de la province de Cuenca, à environ 120 km au sud-est de Madrid.

Centre de stockage de résidus nucléaires

[modifier | modifier le code]

Le , le territoire de cette commune est choisi par le gouvernement espagnol pour abriter un site de stockage provisoire de déchets radioactifs en lieu et place du site prévu à Zarra dans la Communauté valencienne[1]. Les travaux commencent et certaines infrastructures sont construites, mais en , le nouveau président de communauté autonome de Castille-La Manche, Emiliano García-Page, décide d'inclure le village dans le périmètre de protection spéciale pour les oiseaux de la réserve naturelle de Laguna del Hito, afin de remettre en cause le projet[2].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. (es) « El Gobierno descarta Zarra y elige Villar de Cañas (Cuenca) para albergar el futuro cementerio nuclear. », sur lasprovincias.es,
  2. Isabelle Piquer, « en Espagne, des déchets nucléaires pour survivre », Le Monde, 5 septembre 2015