Vestiges des expositions internationales de Paris
Cet article recense les vestiges des expositions internationales s'étant tenues à Paris, en France.
Contexte
[modifier | modifier le code]Au cours des XIXe et XXe siècles, Paris accueille une dizaine d'expositions internationales. Ces événements conduisent à la création de nombreux édifices. Ces constructions sont essentiellement temporaires, la quasi-totalité étant démantelée à la fin des expositions. Toutefois, quelques-unes existent encore au XXIe siècle : certaines à leur emplacement d'origine, beaucoup déplacées, voire démantelées et intégrées à d'autres constructions.
Cet article recense les édifices, parties d'édifices ou œuvres spécialement réalisées pour les expositions internationales de Paris et existant toujours en 2020. Toutefois, elle ne prend pas en compte les œuvres exposées lors de ces expositions, mais qui n'ont pas été créées spécialement pour elles, ni les éventuels travaux d'infrastructure ou de transport (bateaux-mouches en 1867, gare d'Orsay et métro en 1900, etc.).
Liste
[modifier | modifier le code]Exposition universelle de 1855
[modifier | modifier le code]Édifices
[modifier | modifier le code]Vestige | Localisation | Notes | Coordonnées | Photo |
---|---|---|---|---|
Église Notre-Dame-du-Travail | Paris | La structure intérieure de l'église, construite en 1900, réutiliserait une partie de celle du palais de l'Industrie, démoli à la même époque[1] ; Classé MH (2016)[2] | 48° 49′ 58″ nord, 2° 19′ 00″ est |
Œuvres
[modifier | modifier le code]Vestige | Localisation | Notes | Coordonnées | Photo |
---|---|---|---|---|
La France couronnant l'Art et l'Industrie | Saint-Cloud | Groupe sculpté d'Élias Robert ornant le palais de l'Industrie, principal édifice de l'exposition. À sa démolition en 1900, la sculpture est déplacée dans le parc de Saint-Cloud[3]. | 48° 50′ 06″ nord, 2° 13′ 12″ est | |
Stèle monumentale en pierre bleue de Soignies | Soignies, Belgique | Monolithe orné, haut de 8 m, large de 2,53 m et épais de 18 cm, réalisé par la compagnie des carrières Wincqz et ramené devant le siège de la société après l'exposition[4]. | 50° 34′ 02″ nord, 4° 04′ 38″ est |
Exposition universelle de 1867
[modifier | modifier le code]Édifices
[modifier | modifier le code]Vestige | Localisation | Notes | Coordonnées | Photo |
---|---|---|---|---|
Kiosque maure (de) | Ettal, Allemagne | Érigé dans le pavillon de la Prusse, acquis par l'entrepreneur Bethel Henry Strousberg à la fin de l'exposition et déplacé dans sa demeure de Zbiroh ; à sa mort, le kiosque est acheté par le roi de Bavière Louis II qui le fait déplacer en 1876 au château de Linderhof. | 47° 34′ 13″ nord, 10° 57′ 30″ est | |
Isbas de la villa de Beauséjour | Paris | Ensemble de trois édifices du « village russe typique », bâtiments préfabriqués érigés dans le pavillon de la Russie et remonté à leur emplacement actuel en 1872 ; Inscrit MH (1992)[5] | 48° 51′ 15″ nord, 2° 16′ 19″ est | |
Théâtre de la Gaîté-Montparnasse | Paris | La structure intérieure du théâtre provient de matériaux du théâtre international de l'exposition | 48° 50′ 10″ nord, 2° 19′ 23″ est | |
Isba de la rue des Écoles | Saint-Cloud | L'isba serait un vestige du « village russe typique », érigé dans le pavillon de la Russie, puis déplacé ensuite à Saint-Cloud[6] | 48° 50′ 32″ nord, 2° 13′ 05″ est | |
Chalet Haret | Villers-sur-Mer | Chalet abritant la commission impériale de l'exposition ; remonté ensuite à Villers-sur-Mer[7]. | 49° 19′ 16″ nord, 0° 00′ 39″ ouest |
Œuvres
[modifier | modifier le code]Exposition universelle de 1878
[modifier | modifier le code]Des pavillons ont parfois été remontés, en intégralité ou partiellement :
- Le pavillon des Indes et le pavillon de la Suède et de la Norvège ont été reconstruits dans le parc de Bécon à Courbevoie[16]. Le pavillon de la Suède et de la Norvège héberge aujourd'hui le musée Roybet Fould ;
- Une tour du pavillon de la Russie se trouve aujourd'hui à Nogent-sur-Marne et fait partie d'une propriété privée[17] ;
- La façade de la Maison Doulton a été déplacée dans le parc de Maisons-Laffitte.
- La Cité fleurie provient du pavillon de l’Alimentation.
- Le chalet norvégien est réinstallé, avenue Belleforière, à Maisons-Laffite[18],[19],[20].
- Le pavillon Schneider a été démonté et stocké dans un hangar proche du Creusot[21].
Plusieurs éléments de la halle des machines ont été démontés et remontés en différents endroits pour remplir différentes fonctions :
- Un hangar à dirigeable à Meudon, sous le nom de Hangar Y ;
- Une usine des filatures DMC à Belfort[22]. Le bâtiment est aujourd'hui intégré au Techn'hom, parc urbain d'activités de Belfort[23],[24] ;
- Un cinéma sur le quai de la Loire, à l'extrémité sud du bassin de la Villette ;
- Le gymnase Jean-Jaurès, à Paris, remonté en 1888 ;
- Une brasserie sur le site industriel Le petit Fagnières, à Châlons-en-Champagne.
La gare du Champ-de-Mars, construite pour l'occasion par la compagnie des chemins de fer de l'Ouest, a été maintenue sur place jusqu'à son transfert à Asnières-sur-Seine en 1897, où elle existe encore sous le nom de gare des Carbonnets.
La statue Charlemagne et ses Leudes, parvis Notre-Dame - place Jean-Paul-II, était exposée dans le grand vestibule du palais du Champ-de-Mars[18].
Exposition universelle de 1889
[modifier | modifier le code]Hormis la tour Eiffel, il reste peu de vestiges de l'exposition, la plupart des matériaux utilisés ayant été réemployés ensuite à d'autres fins. Toutefois, des ornements du palais des Beaux-Arts ont été installés square Paul-Langevin (5e arrondissement de Paris), une partie du pavillon d'Hawaï sur une parcelle privée à La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine), tandis que le pavillon du Chili a été reconstruit dans la capitale, Santiago, pour devenir le museo Artequin[25].
Autres vestiges :
- église protestante norvégienne, à Ville-d'Avray[26]•;
- « L’Auberge espagnole », aujourd’hui « Salons de l’Ermitage, au Plessis-Robinson[26] ;
- pavillon suédois, à Maisons-Laffitte[26];
- plusieurs ateliers d’artistes des Fusains ont été bâtis avec des éléments de structure de différents pavillons[26] ;
- ancien guichet de billetterie, à Dampierre-en-Yvelines[26] ;
- chalet scandinave, à Champigny-sur-Marne[26] ;
- salon mauresque, dans la Villa Chaptal, à Levallois-Perret[26] ;
- structure métallique du Pavillon de France, utilisée pour la construction du théâtre Élysée-Montmartre[26] .
Exposition universelle de 1900
[modifier | modifier le code]Catégorie | Type | État | Photo |
---|---|---|---|
Transports | La « rue de l'Avenir », un trottoir roulant. | Disparu. Technologie subsiste. | |
Les débuts du métropolitain parisien, avec sa première ligne entre la Porte de Vincennes et la Porte Maillot, inaugurée le . Les bouches d'entrée des stations sont conçues par Hector Guimard. | Subsiste. | ||
Deux nouvelles gares (gare d'Orsay et gare des Invalides), la reconstruction de la gare de Lyon et agrandissement de la gare du Nord (construction de la gare annexe aujourd'hui désaffectée). | Subsiste. | ||
Œuvres publiques | La fontaine lumineuse et l'usage nocturne de l'électricité (palais de l'Électricité, sur le Champ-de-Mars)[27]. | Disparu. Technologie subsiste. | |
Une réduction de la statue de la Liberté d'Auguste Bartholdi de 2,87 m installée au jardin du Luxembourg. | Subsiste. | ||
La grande roue de Paris, d'un diamètre annoncé de 100 mètres, installée avenue de Suffren, à côté d'un village suisse, et démolie entre 1920 et 1922. | Disparu. | ||
Attractions cinématographiques | Projection des films des frères Lumière sur écran géant | Technologie subsiste. | |
Projection de films sonores (par exemple, ceux de Clément Maurice) | Technologie subsiste. | ||
Œuvres | La frise au bas de la porte Binet. Ce monument représentait les ouvriers de l'exposition et ornait en 1900 le socle du pilier gauche de la porte monumentale de la Concorde, haute de 50 m. Œuvre du sculpteur Anatole Guillot et édifié par le céramiste Émile Muller, le relief fut récupéré à la fin de l'exposition et placé dans la cour de l'usine Muller à Ivry-sur-Seine avant d'être remisé en 1957. En 1963, le bas-relief est réinstallé dans le parc du Moulin du village de Breuillet dans l'Essonne. | Subsiste. | |
Bâtiments | Le Petit et le Grand Palais, construits sur l'emplacement de l'ancien palais de l'Industrie et des Beaux-arts, lui-même bâti pour l'Exposition de 1855. | Subsiste. | |
Le Palais de l'Optique et la Grande lunette, la plus grande lunette astronomique jamais construite. | Disparu. Technologie subsiste. | ||
La Ruche au 2, passage de Dantzig, constituée de divers éléments provenant de bâtiments de l'exposition universelle. | Subsiste. | ||
La maison à la façade turquoise sculptée, ornée de fresques figurant des éléphants[28], et située cité Figuier (104 rue Oberkampf, 11e arrondissement de Paris) est un ancien pavillon de l'exposition[29]. | Subsiste. | ||
La bibliothèque Bernheim, en Nouvelle-Calédonie, est installée dans le pavillon qui représentait l'île lors de l'exposition. | Subsiste. |
Exposition coloniale de 1907
[modifier | modifier le code]Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes de 1925
[modifier | modifier le code]Exposition coloniale internationale de 1931
[modifier | modifier le code]Édifices
[modifier | modifier le code]Vestige | Localisation | Notes | Coordonnées | Photo |
---|---|---|---|---|
Pavillon du Cameroun-Togo | Bois de Vincennes | Conservé sur place afin d'en faire un musée des industries du bois. En 1977, le pavillon devient une grande pagode destiné aux exilés de l'ancienne Indochine[30]. | 2° 14′ 44″ nord, 48° 29′ 39″ est | |
Pavillon de la chasse du Cameroun-Togo | Bois de Vincennes | Comme le précédent, conservé sur place afin d'en faire un musée des industries du bois puis affecté à l'Union Bouddhiste de France[30]. | 2° 14′ 44″ nord, 48° 29′ 39″ est | |
Pavillon du Congo Belge | Parc du Château de la Rocq (Seneffe) | Une des sections du pavillon a été démontée, déplacée et reconstruite. Aujourd'hui, le bâtiment est un restaurant en Belgique[31]. | 4° 15′ 19″ nord, 50° 34′ 48″ est | |
Pavillon des États-Unis | Vaucresson | Racheté à la fin de l'exposition et reconstruit à Vaucresson[31]. | 48° 50′ 54″ nord, 2° 10′ 27″ est | |
Pavillon des missions catholiques | Épinay-sur-Seine | Pavillon des missions catholiques, réédifié en béton armé.
Aujourd'hui Église Notre-Dame-des-Missions-du-cygne-d'Enghien, Classé MH (1994)[31]. |
48° 57′ 39″ nord, 2° 17′ 52″ est | |
Palais de la Porte-Dorée | Porte Dorée | Initialement « Musée des Colonies ». Devient le « Musée de la France d’outre-mer » puis le « Musée des arts africains et océaniens », le « Musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie » et enfin la « Cité nationale de l'histoire de l'immigration ». Classé MH (1987). | 2° 14′ 36″ nord, 48° 30′ 03″ est | |
Porte de Picpus (porte Dorée) | Porte Dorée | Entrée de l'exposition. Aujourd'hui décorée d'une statue d'Athéna qui, lors de l'exposition, était placée devant le palais de la Porte-Dorée[31]. | 2° 24′ 25″ nord, 48° 50′ 07″ est |
Œuvres (liste non exhaustive)
[modifier | modifier le code]Vestige | Localisation | Notes | Coordonnées | Photo |
---|---|---|---|---|
« Boule coloniale » | Musée des émaux de Longwy | Vase en faïence au décor orientalisant créé à l'occasion de l'exposition par Maurice Chevalier[32]. | 49° 18′ 44″ nord, 5° 27′ 17″ est | |
Dioramas | Palais de la Porte-Dorée | Initialement intégrés dans le parcours de visite du musée des colonies, déplacés en 2004[33]. | 2° 14′ 36″ nord, 48° 30′ 03″ est | |
Éléphant | Musée des arts forains | Un des deux éléphants décorant l'entrée du pavillon a été conservé. Il est actuellement exposé au musée des arts forains[34]. | 48° 29′ 45″ nord, 2° 13′ 55″ est | |
Statue du Sacré-Cœur | Église du Sacré-Cœur de Dijon | La statue de Raymond Delamarre, en acajou de Cuba, se trouvait dans le pavillon des missions catholiques. | 47° 12′ 03″ nord, 5° 01′ 52″ est |
Exposition universelle de 1937
[modifier | modifier le code]De nombreux vestiges de l'exposition subsistent, en France et à l'étranger[35].
Éléments architecturaux et urbains
[modifier | modifier le code]- La porte du « Pavillon du métal » réalisée par Raymond Subes, achetée par Marcel Dassault pour équiper son usine de Saint-Cloud. Lors de la destruction de l'usine, pour laisser la place au siège de Dassault Aviation en 2000, la porte est démontée, remaniée puis, en partie remontée sur la façade principale de ce nouveau bâtiment, côté Seine.
- L'avenue des Nations-Unies, qui traverse les jardins du Trocadéro, est traversée par deux passages souterrains pour piétons, qui permettaient, lors de l'Exposition, de circuler dans l'Exposition sans avoir à sortir de l'enceinte.
- Le palais des musées d'Art moderne est devenu d'une part, le palais de Tokyo avec, sur la façade ouest, quatre métopes de Marcel Gaumont (qui obtint avec elles le Grand Prix du Jury), et d'autre part, le musée d'Art moderne de Paris.
- Le palais de Chaillot a subsisté, contrairement à l'ancien palais du Trocadéro construit pour l'Exposition de 1878, avec sur ses frontons les vers de Paul Valéry.
- Le Palais de la découverte, qui occupe l'aile occidentale du Grand Palais : l'Exposition de 1937 avait une finalité pédagogique et scientifique, dont le Palais de la découverte est l'illustration. Le planétarium date de cette époque.
- L'Architecture[36], modèle original de la statue commandée pour le « Pavillon de l'enseignement » de l'Exposition au sculpteur François Méheut, est conservée au musée de Mont-de-Marsan.
- L'armature métallique du pavillon de la Pologne a été réemployée pour la construction de la salle des fêtes de Romainville.
- L'aquarium du Trocadéro, restauré en 2011, a retrouvé sa conformation de 1937[37].
- Les fontaines de la place de la Porte-de-Saint-Cloud, où se trouvait une annexe de l'exposition consacrée aux sports et à la chasse[38],[39],[40].
- Le pavillon de la Bretagne remonté à Seraincourt en 1938 pour servir de mairie[41].
Œuvres artistiques
[modifier | modifier le code]- La Fée Électricité, peinture à l'huile monumentale de Raoul Dufy 1 000 × 6 240 cm, réalisée pour le pavillon de l'Électricité de l'Exposition 1937, se trouve actuellement au musée d'Art moderne de Paris.
- Les 128 panneaux en laque réalisés par Gaston Suisse pour décorer les rampes d'accès aux salons de réceptions du commissariat général de l'Exposition situés dans le musée d'art moderne de Paris, sont en partie conservés au musée des Années Trente à Boulogne-Billancourt[42],[43].
- Les croquis de l'aménagement intérieur du hall tronconique, conçu par Félix Aublet et Robert Delaunay réalisé par l'association Art et lumière sont conservés au centre Pompidou[44], ainsi que l'œuvre de Robert Delaunay Rythmes sans fin[45].
- Une table de porphyre rouge, don de la Finlande, a été installée dans le parc parisien de Choisy.
- La Fontaine de Mercure, d'Alexander Calder, créée pour le pavillon espagnol, est conservée à la fondation Joan-Miró de Barcelone[46].
- Guernica de Pablo Picasso est conservé au musée national centre d'art Reina Sofía à Madrid[46].
- Feu d'artifice de clôture de l'exposition universelle, gouache 62 x 48 cm, M. Meunier, 1937.
- Notre-Dame de France, reine de la Paix, statue monumentale de Roger de Villiers et Raymond Subes qui dominait le pavillon pontifical, réinstallée en 1988 à Baillet-en-France, après avoir été placée dans la cour de la chapelle Notre-Dame-de-la-Salette de Suresnes jusqu'en 1959[47] puis stockée dans les sous-sols de la mairie communiste d'Amiens[48].
- La fontaine Les Jeux de la Mer, céramique vernissée, est exposée au square des Anciens combattants de Mont-de-Marsan.
Exposition spécialisée de 1947
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- Cécile Dupré, « Notre-Dame-du-Travail (Paris), une église au tournant du XIXe siècle et du XXe siècle », In Situ,
- « Eglise Notre-Dame-du-Travail », notice no PA00086614, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « groupe sculpté (figures colossales) : la France couronnant l'art et l'industrie », notice no IM92001527, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- Gérard Bavay, « La grande Carrière P.-J. Wincqz à Soignies », Les Carnets du patrimoine, Institut du Patrimoine wallon, no 3,
- « Immeubles », notice no PA00086717, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite Isba », notice no IA92000295, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Erwan Savin, « De Paris au bord de mer ; le chalet Haret, 150 ans d’histoire de la villégiature », In Situ,
- « autel, retable (maître-autel) », notice no IM92000620, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « groupe sculpté (figure colossale) : l'amour des anges », notice no IM92001224, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « autel (maître-autel), tabernacle et ciborium », notice no PM31001696, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « groupe sculpté : Hécate et Cerbère », notice no IM34001838, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « orgue de chœur », notice no PM54001723, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue », notice no PM22001774, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « orgue de tribune », notice no PM59001944, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Monument à Ambiorix – Tongres », e-monument.net
- Notice du pavillon de la Suède et de la Norvège et des Indes britanniques dans la base Mérimée
- Notice dans la base Mérimée
- Sylvain Ageorges, Sur les traces des expositions universelles: Paris, 1855-1937: à la recherche des pavillons et des monuments oubliés, Parigramme, (ISBN 978-2-84096-444-5).
- « Le chalet norvégien de Maisons », actu.fr, 21 juin 2015.
- « Le pavillon de la Norvège au Trocadero », expositions-universelles.fr, consulté le 10 novembre 2024.
- https://afbourdon.com/wp-content/uploads/2014/11/Bulletin_11_2010.pdf
- « Exposition universelle de 1878 : L'Exposition des nouvelles technologies », sur Expositions universelles (consulté le )
- « Vestiges de l'Exposition Paris 1878 », sur Vestiges des Expositions universelles (consulté le )
- « Usine textile Dollfus-Mieg et Cie, puis usine de matériel informatique Bull, actuellement Technopôle », notice no IA95000117, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « L’Exposition universelle de 1889 à Paris », pariszigzag.fr, consulté le 15 novembre 2021.
- Sylvain Ageorges, Sur les traces des expositions universelles: Paris, 1855-1937: à la recherche des pavillons et des monuments oubliés, Parigramme, (ISBN 978-2-84096-444-5).
- « Palais de l'Electricité et le Château d'Eau », sur worldfairs.info (consulté le )
- « TOP 10 des maisons insolites à Paris », pariszigzag.fr, consulté le 12 juillet 2021.
- « Le lieu bien gardé : la Cité du Figuier », vivreparis.fr, 5 juillet 2019
- Hodeir Pierre, p. 24-25.
- Hodeir Pierre, p. 23.
- « Colorie ta boule Longwy », sur Manufacture des Emaux de Longwy 1798 (consulté le )
- « Les dioramas, vestiges de l’exposition coloniale | Musée de l'histoire de l'immigration », sur www.histoire-immigration.fr (consulté le )
- Musée des arts forains, « #heritageMW Elephant provenant du Pavillon des Indes Françaises de l'Exposition Coloniale de 1961@museeArtForain », sur X, (consulté le )
- Vestiges de l'exposition de 1937, site vestiges-expositions.fr.
- Notice no 000SC020437, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
- Exposition internationale (1937 ; Paris) 1937.
- « Les fontaines Landowski de la place de la porte de Saint-Cloud, à Paris », sur architecture-art-deco.fr, (consulté le ).
- « La renaissance des fontaines de la porte de Saint-Cloud », sur paris.fr, (consulté le ).
- Éric Le Mitouard, « Paris : la résurrection des splendides fontaines de la porte de Saint-Cloud », sur Le Parisien, (consulté le ).
- « À Seraincourt, le pavillon de la Bretagne fait office de mairie », sur LE PARISIEN journal, (consulté le ).
- « Gaston Suisse »
- Julie Alves, Gaston Suisse La commande du décor Art et Technique pour la grande galerie du Commissariat Général de l'exposition Internationale de 1937 au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, Université Panthéon Sorbonne Paris 1 Master 2 histoire du patrimoine et des musées,
- Aménagement du hall tronconique sur mediation.centrepompidou.fr.
- Rythmes sans fin au Centre Pompidou.
- Gilles Néret 1987, p. 240.
- ND-de-la-Salette, eglise-suresnes.org, consulté le 29 octobre 2018.
- « La statue monumentale de Notre-Dame de France », sur notre-dame-de-france.com, consulté le 29 octobre 2018.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Catherine Hodeir et Michel Pierre, L'exposition coloniale de 1931, Archipoche,
- « Phare des Roches-Douvres (Etablissement de signalisation maritime n° 558/000) », notice no IA22001253, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Sylvain Ageorges, Sur les traces des expositions universelles: Paris, 1855-1937 à la recherche des pavillons et des monuments oubliés, Parigramme, (ISBN 978-2-84096-444-5).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Pour l'ensemble des points mentionnés sur cette page : voir sur OpenStreetMap (aide), Bing Cartes (aide) ou télécharger au format KML (aide).
- « Vestiges des expositions universelles, coloniales, et internationales de Paris »
- « Vestige des expositions universelles »