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Valras-Plage

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Valras-Plage
Valras-Plage
Valras-Plage.
Blason de Valras-Plage
Blason
Valras-Plage
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée
Maire
Mandat
Daniel Ballester
2020-2026
Code postal 34350
Code commune 34324
Démographie
Population
municipale
4 167 hab. (2021 en évolution de −0,45 % par rapport à 2015)
Densité 1 773 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 14′ 52″ nord, 3° 17′ 30″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 10 m
Superficie 2,35 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Sérignan
(ville-centre)
Aire d'attraction Béziers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Béziers-1
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Valras-Plage
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Valras-Plage
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Valras-Plage
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Valras-Plage

Valras-Plage [val.ʁas plaʒ] est une commune française située dans le sud du département de l'Hérault en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Orb et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (« les Orpellières » et « est et sud de Béziers »), un espace protégé (« Les Orpellières ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Valras-Plage est une commune urbaine et littorale qui compte 4 167 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'agglomération de Sérignan et fait partie de l'aire d'attraction de Béziers. Ses habitants sont appelés les Valrassiens ou Valrassiennes.

Géographie

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Localisation

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Valras-Plage est une station balnéaire française située sur la mer Méditerranée dans le golfe du Lion. Elle fait partie de la Côte d'Améthyste.

Traditionnellement, Valras-Plage est la plage de Béziers. La commune est située à l’embouchure de l’Orb et se trouve à 11 km de Béziers, à 30 km de Narbonne.

Détail de la carte des côtes de France.
Détail de la carte des côtes de France.
Situation de Valras-Plage

Communes limitrophes et proches

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Communes limitrophes de Valras-Plage
(Distances : à vol d'oiseau / par la route)[1]
Villeneuve-lès-Béziers (7.48 / 8,56 km)
Sérignan (3.85 / 4,30 km)
Vendres (5.92 / 7,91 km)
Lespignan (10.26 / 12,66 km)
Abeilhan (22.43 / 28,11 km)
Servian (19.74 / 25,20 km)
Cers (8.27 / 10,19 km)
Portiragnes (6.93 / 12,36 km)
Portiragnes-Plage (6.57 / 16,54 km)
Sallèles-d'Aude (27.83 / 48,06 km)
Cuxac-d'Aude (23.72 / 43,21 km)
Valras-Plage Plage Sérignan (1.04 / 11,85 km)
Mer Méditerranée
Salles-d'Aude (14.34 / 19,20 km)
Fleury (12.69 / 16,54 km)
Saint-Pierre-la-Mer (11.44 / 24,53 km)
Mer Méditerranée
(0.78 / 1,07 km)
Mer Méditerranée
(Plage côté port)
(0.61 / 0,67 km)

Géologie et relief

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L'altitude de la commune varie entre 0, au niveau de la mer, et 10 mètres[2].

Hydrographie

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L'embouchure de l'Orb se situe à Valras-Plage, séparant le territoire de la commune en deux, entre la partie urbanisée au sud et la partie rurale ou naturelle au nord.

Voies de communication et transports

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Voies routières
  • La D 19 traverse la partie septentrionale de la commune. Elle rejoint plus loin la D 64 en direction de Vendres à l'ouest ou de Sérignan au nord ;
  • La D 37E10 traverse la commune dans presque toute sa longueur et rejoint au sud-ouest la partie littorale de Vendres.
Transports

Le tramway de Béziers, reliant Béziers à Valras-Plage, a fonctionné de 1879 à 1948.

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[3],[4].

Un espace protégé est présent sur la commune : « Les Orpellières », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 171,8 ha[5],[6].

Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[8] :

  • « les Orpellières », d'une superficie de 143 ha, un ensemble représentatif des côtes languedociennes avec un long cordon dunaire ininterrompu constitué de dunes blanches et de dunes grises, protégeant des prés salés (jonchaies, pannes dunaires, sansouires et localement des formations de steppes salées à Limonium ferulaceum[9]

et un au titre de la directive oiseaux[8] :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[11] : le « domaine des Orpellières » (200 ha), couvrant 2 communes du département[12] et « l'Orb entre Béziers et Valras » (82 ha), couvrant 4 communes du département[13].

Au , Valras-Plage est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sérignan[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 4],[I 5].

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[14]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (57,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (57,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (14,3 %), zones humides côtières (13,7 %), eaux continentales[Note 6] (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), eaux maritimes (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Valras-Plage est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Béziers-Agde, regroupant 15 communes autour des bassins de vie de Béziers et d'Agde, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[19], retenu au regard des submersions marines et des débordements de cours d’eau, notamment d'ouest en est, de l'Orb, du Libron et de l'Hérault. Les crues historiques antérieures à 2019 les plus significatives sont celles du , un épisode généralisé sur la quasi-totalité du bassin, et du , un épisode cévenol en partie supérieure du bassin. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1987, 1992, 1993, 1995, 1996, 1997, 2003, 2014 et 2019[21],[17].

Valras-Plage est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 7],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Valras-Plage.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 3,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 820 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 149 sont en aléa moyen ou fort, soit 4 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du Barrage des monts d'Orb, un ouvrage de classe A[Note 8] sur l'Orb, mis en service en 1961 et disposant d'une retenue de 30,6 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

En occitan, Valrans [βal.'ras]

Promeneurs dans une barque : carte postale (fin XIXe siècle - début XXe siècle).
Protohistoire

Vers la fin de l'âge du bronze dans le sud de la France, c'est-à-dire vers 850 avant J.-C., des habitants vivent sur le plateau dominant l'Orb, où des outils préhistoriques ont été retrouvés[27],[réf. nécessaire]. Ce peuplement ne se fixe pas sur le littoral, alors insalubre, mais sur le coteau qui domine la plaine littorale[28],[réf. nécessaire].

Antiquité

A l'époque romaine, s'établissent plusieurs domaines et leurs villas[27],[réf. nécessaire]. Cet habitat reste toujours à l'écart du littoral insalubre[28],[réf. nécessaire].

La villa romaine nommée Villa Juxta Mare (littéralement : « villa près de la mer ») était une propriété de Valerius, un vétéran de la VIIe légion romaine ; le nom du propriétaire de cette villa pourrait être à l'origine de celui de la ville[27],[réf. nécessaire].

En 878, un écrit relate l'existence de Valras. C'est un document de l'évêché de Saint-Nazaire de Béziers, mentionnant un « petit village niché autour de son église dédiée à Saint Martin, ou sont venus s'installer quelques religieux ». Valras est à cette époque sous la protection de l'évêque de Béziers[réf. nécessaire].

De 878 à 1068 la ville dépend de cet évêché de Saint-Nazaire de Béziers. Aux XIe et XIIe siècles la ville passe sous l'influence du prieuré Notre-Dame-de-Grâce de Sérignan. La commune est partagée entre ces deux autorités ecclésiastiques en 1266[28],[réf. nécessaire].

En 1286, à l'issue de la « Croisade d'Aragon », la flotte d'Alphonse III commandée par l'amiral Roger de Lauria remonte l'Orb jusqu'à Sérignan. Les maisons de Valras, l'église Saint-Martin, l'abbaye de Saint-Geniés[Note 9] et Sérignan sont pillés et détruits. Les habitants de Valras se replient plus loin dans l'intérieur des terres. Un poste de garde est établi en 1331 pour surveiller la côte[28],[réf. nécessaire].

Époque moderne

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En raison de diverses invasions maritimes et de la piraterie, le littoral reste peu peuplé jusqu'en 1630 lorsque cette côte est sécurisée par une redoute construite a Sérignan[27],[réf. nécessaire].

XIXe siècle

Au XIXe siècle, les terres fertiles des coteaux permettent la culture de la vigne au profit de petits propriétaires. Il existe également des pâturages pour l'élevage des bovins et des chevaux, ainsi que quelques terres de labour[27],[réf. nécessaire].

La création d'une ligne de chemin de fer en 1846 popularise l'attirance des baigneurs pour Valras. Les Biterrois et Sérignanais sont les premiers adeptes des bains de mer dès 1855.

XXe siècle

C’est en 1901 qu’arrive le tramway électrique, ainsi que la multiplication des équipements d’accueil (hôtels, chalets et cafés). Valras devient alors une station balnéaire.

Après avoir appartenu à la commune de Sérignan jusqu’au [29], Valras devient une commune indépendante avec la création du premier conseil municipal. La commune de Valras s'étend sur 235 hectares ; Sérignan a conservé 2 751 hectares. Le , le premier maire Alfred Panis, instituteur retraité, est élu lors de la première réunion du conseil municipal[30]. Le , Valras-la-Plage devient Valras-Plage.

Dans la décennie qui suit la création de la commune, plan d’urbanisme et d’adduction d’eau sont les deux priorités de l’action municipale. La station se développe selon une structure en « T », la voie principale étant donnée par l’axe de communication qui relie le village à l’arrière-pays.

Durant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), les Allemands aménagent Valras en point de défense côtière en y installant notamment des canons et un observatoire. Valras est bombardée le  ; 90 % de la ville est détruit[27],[réf. nécessaire].

Autrefois village de pêcheurs, la ville en a gardé les caractéristiques traditionnelles tout en se modernisant à partir notamment des années 1960-70, se voulant ainsi une ville attractive tout au long de l’année.

La construction du port de plaisance date des années 1971-72. Cela correspond au début du déclin de la pêche et des métiers associés. Le port de plaisance de Valras-Plage comptait en 2012 220 anneaux, complétés par 130 anneaux sur les berges de l’Orb.

XXIe siècle

Le , un grave accident aérien est évité de peu, lorsqu'un avion publicitaire s'abîme en mer[31].

Héraldique

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Armes de Valras-Plage

Les armes de Valras-Plage se blasonnent ainsi : « de gueules à un demi soleil d'or au naturel mouvant d'une champagne d'azur, à deux hippocampes affrontés d'argent brochant sur le tout »[32].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[33]
Période Identité Étiquette Qualité
[30] Alfred Panis Rad. Instituteur retraité
1943 Jean Dauga
(1888-1946)
PRS Patron-pêcheur
1943 1944 Jean Rieux   Nommé par Vichy
1944 1945 Jules Faure   Président du Comité local de libération
1945 1947 Jean Rigaud   Représentant
1947 Émile Sablayrolles   Papetier
Lucien Lignon Rad.soc. Cadre EDF

(décès)
Émile Turco[34]
(1908-1983)
PCF Représentant en farines, ancien résistant
Conseiller général de Béziers-IV (1973 → 1983)
André Thiroine DVD Cadre commercial
Élu à la suite d'une élection municipale partielle
Claude Villeneuve DVD
(app. RPR)
Médecin
Conseiller général de Béziers-IV (1996 → 2004)
[35]
(démission)
Guy Combes[36] DVD Retraité
1er vice-président de Béziers Méditerranée (? → 2018)
[37] En cours Daniel Ballester DVD Cadre, ancien premier adjoint
Réélu pour le mandat 2020-2026[38]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1931. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

En 2021, la commune comptait 4 167 habitants[Note 10], en évolution de −0,45 % par rapport à 2015 (Hérault : 7,29 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
9741 1611 1181 4851 6982 1902 5392 5883 043
1999 2006 2008 2013 2018 2021 - - -
3 6254 2984 4854 2314 2234 167---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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En 2018, la commune compte 2 882 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 5 009 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 200 [I 6] (20 330  dans le département[I 7]). 42 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 12] (45,8 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 13,6 % 15,2 % 16,1 %
Département[I 9] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 893 personnes, parmi lesquelles on compte 64,1 % d'actifs (48,1 % ayant un emploi et 16,1 % de chômeurs) et 35,9 % d'inactifs[Note 13],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 823 emplois en 2018, contre 920 en 2013 et 917 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 937, soit un indicateur de concentration d'emploi de 87,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 32,3 %[I 12].

Sur ces 937 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 349 travaillent dans la commune, soit 37 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 74,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,2 % les transports en commun, 16,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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597 établissements[Note 14] sont implantés à Valras-Plage au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 597 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
21 3,5 % (6,7 %)
Construction 49 8,2 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
287 48,1 % (28 %)
Information et communication 11 1,8 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 10 1,7 % (3,2 %)
Activités immobilières 57 9,5 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
52 8,7 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
50 8,4 % (14,2 %)
Autres activités de services 60 10,1 % (8,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 48,1 % du nombre total d'établissements de la commune (287 sur les 597 entreprises implantées à Valras-Plage), contre 28 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :

  • Valras Plage Loisirs, organisation de jeux de hasard et d'argent (5 775 k€) ;
  • Le Phare, restauration traditionnelle (886 k€) ;
  • Dix Immobilier, agences immobilières (616 k€) ;
  • Le Petit Four A Bois, boulangerie et boulangerie-pâtisserie (494 k€) ;
  • La Galere, débits de boissons (428 k€).

Agriculture

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1988 2000 2010 2020
Exploitations 25 20 6 3
SAU[Note 16] (ha) 30 39 17 61

La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 18] (25 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 61 ha[45],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Notre-Dame du Perpétuel Secours construite en 1913 et agrandie dans les années 1950.

Au début du XXe siècle, Valras-Plage s'ornait, au bord de l'Orb, d'un groupement de grandes cabanes en roseaux servant d'habitations à des pêcheurs. En forme de nefs bi-absidiales (terminées par une abside et une croupe aux deux extrémités), avec pour charpente deux poteaux montant de fond et portant une panne faîtière, ces cabanes de pêcheurs figurent sur une carte postale des années 1900.

Personnalités liées à la commune

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  • Jean Bousgarbiès (1889-1947) : homme politique mort à Valras-Plage ;
  • Joan Casanovas (1890-1942) : homme politique catalan mort à Valras-Plage ;
  • Jean Gau (1902-1979) : navigateur lié au port de Valras auquel il a donné son nom ;
  • Michel Fabre (1956-) : joueur de rugby devenu propriétaire d'un bar à Valras-Plage.

Valras-Plage dans la littérature

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  • Jacques Loar : Sur les routes de France, éditions Maréchal, Liège, Belgique, 1943. Pages 105 à 187. Récit autobiographique d'un réfugié belge à Valras-Plage au début de la seconde guerre mondiale.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Sérignan, il y a trois villes-centres (Sauvian, Sérignan et Valras-Plage).
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
  9. Il s'agit peut être de la petite abbaye de Saint-Geniés-de-la-Mer (cf. Vicomtes et vicomtés dans l'occident médiéval, pages 26 & 27).
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  12. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  14. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  15. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  16. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  18. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Valras-Plage ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béziers », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Valras-Plage » (consulté le ).
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  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
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  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
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  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Valras-Plage » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources

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  10. « site Natura 2000 FR9112022 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Liste des ZNIEFF de la commune de Valras-Plage », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  13. « ZNIEFF « l'Orb entre Béziers et Valras » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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  31. blog.avionslegendaires.net [Crash] Un avion publicitaire s’abîme au large de Valras-Plage.
  32. Armorial des communes de l'Hérault, Didier Catarina, Jean-Paul Fernon, avec le concours de Jacky David, éd. Artistes en Languedoc, 2004, (ISSN 1264-5354), p. 72.
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  34. Notice TURCO Alphonse, Thomas, Émile par Jean Sagnes, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 21 janvier 2022
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  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  44. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  45. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Valras-Plage - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Gilbert Abbal, Valras à travers les siècles, Béziers, Imprimerie du Sud, , 48 p.
  • Philippe Marassé, « A l’origine du développement de Valras-Plage : le tramway de Béziers à la mer (1864-1948) », Bulletin de la Société Archéologique, Scientifique et Littéraire de Béziers,‎ 2009-2010, p. 66-80
  • Yvette Maurin, Valras-Plage : d'hier à aujourd'hui, Montpellier, Yvette Maurin, , 270 p.
  • Mission Archives 34, Archives communales de Valras-Plage : répertoire numérique détaillé, Montpellier, Mission Archives 34, , 136 p.
  • Brigitte Simon, « Le littoral biterrois : à l'embouchure de l'Orb, Valras-Plage, station du tourisme traditionnel », Bulletin de la Société languedocienne de géographie, t. 20, no 4,‎ , p. 559-571

Articles connexes

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Liens externes

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