Aller au contenu

Servaville-Salmonville

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Salmonville-la-Sauvage)

Servaville-Salmonville
Servaville-Salmonville
Mairie de Servaville-Salmonville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes Inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Jean-Paul Dupressoir
2020-2026
Code postal 76116
Code commune 76673
Démographie
Gentilé Servavillais, Servavillaise
Population
municipale
1 125 hab. (2021 en évolution de  1,53 % par rapport à 2015)
Densité 143 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 37″ nord, 1° 16′ 20″ est
Altitude Min. 148 m
Max. 172 m
Superficie 7,85 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Mesnil-Esnard
Législatives 2e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Servaville-Salmonville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Servaville-Salmonville
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Seine-Maritime
Servaville-Salmonville
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Servaville-Salmonville
Liens
Site web https://servaville-salmonville.fr/

Servaville-Salmonville est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Description

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne 73 Rouen - Vascœuil - Gournay-en-Bray du réseau de transport en commun départemental par bus (VTNI).

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Blainville-Crevon, Bois-l'Évêque, Grainville-sur-Ry, Martainville-Épreville, Préaux et La Vieux-Rue.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 853 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boos à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Servaville-Salmonville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,1 %), zones urbanisées (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 429, alors qu'il était de 388 en 2013 et de 361 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 97,2 % étaient des résidences principales, 0,2 % des résidences secondaires et 2,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,2 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Servaville-Salmonville en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,2 %) inférieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (91,2 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Servaville-Salmonville en 2018.
Typologie Servaville-Salmonville[I 2] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 97,2 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,2 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 2,6 8,1 8,2

La commune formée au début du XIXe siècle par la fusion des deux anciennes communes de Servaville et de Salmonville-la-Sauvage (qui étaient d'anciennes paroisses) par ordonnance royale du 24 décembre 1823[12].

Servaville : est attesté sous les formes Servartvilla vers 1036[13], Sawarvilla en 1166, 1172 et 1173[12], Salvarvilla en 1207[12], Sarvaville en 1469 et 1471[14],

Salmonville : est attesté sous la forme Salomonis Villam en 1215[15].
À Salmonville-la-Sauvage, dont l'église a été détruite depuis la Révolution, les archives paroissiales expliquent le surnom du village par l'existence d'un seigneur qui portait dans ses armoiries une femme sauvage[15].

Servaville appartenait à l'abbaye Notre-Dame du Bec avant le milieu du XIIe siècle[réf. nécessaire].

Elle comptait 700 habitants au XIIIe siècle, 96 au XIVe siècle, 42 en 1707[16].

En 1823, la commune de Servaville, instituée par la Révolution française, absorbe celle de Salmonville-la-Sauvage et prend son nom actuel de Servaville-Salmonville[17].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Darnétal[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Mesnil-Esnard

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Servaville-Salmonville était membre de la communauté de communes du Plateau de Martainville, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Inter-Caux-Vexin, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1995 octobre 2013[18] Joannès Dugelay[Note 2] SE Enseignant
Mort en fonction
novembre 2013[19] 2014 Jacky Lesueur SE  
2014[18] mai 2020 Claude Joubert SE  
mai 2020[20],[21] En cours
(au 20 juin 2023)
Jean-Paul Dupressoir SE Agriculteur-propriétaire exploitant

Géographie

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 1 125 habitants[Note 3], en évolution de 1,53 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
560575545450500490490475461
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
469476484438431417372376365
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
398364338286301319345355346
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
3213084605236477781 0141 0471 069
2017 2021 - - - - - - -
1 1331 125-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]
  • Le forum de l'association socio-culturelle et sportive[25].
  • Fête du village : le 2e week-end de juin.
  • Fête nationale les 13 et .
  • Exposition biennale d'art contemporain
  • Jazz Manouche
  • Relais routier : restaurant, station essence.
  • Garage automobile.
  • Garage agricole.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Église de Servaville-Salmonville.
  • Église Saint-Clément de Servaville : vestiges du XIIIe siècle côté nord de la nef, reste du XVIIIe siècle (chœur et clocher 1875)
  • Une croix du XVIIe siècle se dresse dans le cimetière de l'église.
  • Manoir de la Hémaudière, plus justement appelé manoir de la Haie Mandière construit en 1734.
  • Ferme dans le bourg : portail monumental du XVIIIe siècle qui donnait accès autrefois au manoir des abbés du Bec.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Chanoine Jacques Ravette
    Frères Ravette : Jacques (1758-1794) et Joseph (1764-1794). Nés à Servaville, au manoir seigneurial du Bec dont leur père était fermier-receveur. Chanoines de la cathédrale de Rouen, respectivement depuis 1777 et 1789. Ils refusent de prêter serment à la Constitution civile du clergé en 1791. Frappés par la loi d'exil concernant les réfractaires, ils émigrent en Angleterre à l'été 1792. Revenus en France quelques mois plus tard, ils se cachent dans leur famille à Servaville, sont dénoncés et arrêtés en octobre 1793. Incarcérés à la prison Saint-Vivien de Rouen, ils sont ensuite conduits à Rochefort en mars 1794, pour être déportés outre-mer.
    Entassés avec des centaines d'autres ecclésiastiques sur les pontons de Rochefort, dans des conditions d'hygiène et de brimade effroyables, ils meurent dans les bras l'un de l'autre le même jour, , et sont inhumés sur l'Île Madame[26].
    Ils sont honorés par l'église catholique bien que ne faisant pas nommément partie des 64 prêtres et religieux martyrs béatifiés par le pape Jean-Paul II en 1995. Une place de la commune porte leur nom.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. L'Espace Joannès Dugelay porte le nom de ce maiore.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Servaville-Salmonville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 955.
  13. Jean Adigard des Gautries. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, n°3, 1958. Page 165.
  14. Archives de Seine-Maritime G 3269.
  15. a et b Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 943.
  16. Site officiel de la ville[réf. incomplète]
  17. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. a et b « L'héritage politique : Servaville-Salmonville. Quatorze colistiers se sont réunis autour de Claude Joubert, qui mène « Ensemble pour notre commune », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le 14 octobre 2013, le maire Joannès Dugelay disparaît après avoir combattu une longue maladie. Mentor, l'enseignant a été accompagné pendant quatre mandats par Jean-Paul Dupressoir, et pendant deux par Claude Joubert. Le choix des urnes avait ensuite désigné Jacki Lesueur comme nouveau maire ».
  19. « Résultats de l'élection du maire du 30 novcembre 2013 », Publication municipale, no 8,‎ , p. 1 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  20. « Municipales à Servaville-Salmonville : Jean-Paul Dupressoir, un successeur pour le maire : Jean-Paul Dupressoir, tête de liste d’« Ensemble pour notre commune », est candidat à la succession de Claude Joubert », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Municipales 2020. Jean-Paul Dupressoir élu maire de Servaville-Salmonville : Premier adjoint sous l’ancienne mandature, Jean-Paul Dupressoir a été élu maire de Servaville-Salmonville samedi 23 mai 2020 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avec 66,04 % pour la liste « Ensemble pour notre commune » et face à Stéphanie Enou de « Mieux vivre à Servaville-Salmonville », Jean-Paul Dupressoir, qui était premier adjoint dans l’ancienne mandature, est élu maire avec douze voix pour, deux contre et un vote blanc ».
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Site de l'association
  26. Michel Godefroid et Emmanuel Grossin, « Les Ravette : fermiers-receveurs de l'abbaye du Bec, à Servaville, au diocèse de Rouen, et leurs descendants, les martyrs de 1794 ou l'histoire d'une famille de riches laboureurs normands au XVIIIe siècle », Bulletin de la Société des Antiquaires de Normandie, tome LXI,‎ , p. 79-108