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Saint-Vidal

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Saint-Vidal
Saint-Vidal
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay
Maire
Mandat
Gérard Gros
2020-2026
Code postal 43320
Code commune 43229
Démographie
Gentilé Saintvidaloises et Saintvidalois
Population
municipale
609 hab. (2021 en évolution de  4,28 % par rapport à 2015)
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 32″ nord, 3° 48′ 03″ est
Altitude Min. 682 m
Max. 924 m
Superficie 7,71 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Le Puy-en-Velay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Paulien
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Vidal
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Saint-Vidal

Saint-Vidal est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont les Saintvidaloises et les Saintvidalois.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Saint-Vidal se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à quelques km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à quelques autres de Saint-Paulien[2], bureau centralisateur du canton de Saint-Paulien dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Borne (2,8 km), Sanssac-l'Église (3,1 km), Chaspuzac (4,1 km), Loudes (4,3 km), Polignac (4,7 km), Ceyssac (5,0 km), Blanzac (5,0 km), Espaly-Saint-Marcel (5,7 km).

Communes limitrophes de Saint-Vidal
Loudes Borne Saint-Paulien
Chaspuzac Saint-Vidal Polignac
Sanssac-l'Église

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 8,2 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 682,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Villages, hameaux, lieux-dits, écarts

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Les villages, écarts, lieux-dits : Bleu, Chazelle, Grazac, Locussol.

Au , Saint-Vidal est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,9 %), prairies (27,6 %), forêts (18,7 %), zones urbanisées (9,5 %), terres arables (7,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 289, alors qu'il était de 264 en 2013 et de 210 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 82,9 % étaient des résidences principales, 6,8 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Vidal en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,8 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,6 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Saint-Vidal en 2018.
Typologie Saint-Vidal[I 2] Haute-Loire[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 82,9 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,8 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 10,3 12,4 8,2

Rien n'indique que le site est occupé dans la préhistoire ou l'antiquité. Cependant, la capitale des Vellaunes, Ruessio, qui est encore la principale ville de la région du Ier au IIIe siècle sous le nom de Ruessium, se trouve à 6,8 km au Nord, et la ville qui prend ensuite de l'importance, Anicium, se trouve à 7,5 km au Sud-Est (à vol d'oiseau, de centre à centre).

Les épées retrouvées au Cheylounet[14], lieu-dit de Saint-Vidal, sont datées de 1800-1450 avant J.-C. (Archéologie protohistorique en Haute-Loire)[15] .

Origine du nom : le nom de la commune vient de saint Vidal (ou Vital) auquel l'église, qui était la chapelle du château, est dédiée.

Le château, qui était à l'origine une maison-forte, fut bâti au XIIe siècle (et transformé en véritable forteresse lors des Guerres de Religion), et la seigneurie de Saint-Vidal est attestée dès cette époque, le nom d'origine des premiers seigneurs étant Goudet[16]. Elle passe à la fin du XIIIe siècle dans la famille de La Tour, seigneurs de Barges, par le mariage d'Adhémare (sans doute sœur de Guigon de Goudet, seigneur de Saint-Vidal) avec Hugues de La Tour, seigneur de Barges[17]. La famille de La Tour prit alors le nom de La Tour Saint Vidal, et en 1288 le seigneur de Polignac laisse à Hugues de La Tour la justice seigneuriale du lieu, la famille de la Tour prend alors le titre de baron et conserve la seigneurie jusqu'à la fin du XVIe siècle.

Après la mort (dans le cadre des combats à Espaly) en janvier 1591 d'Antoine II de La Tour Saint-Vidal, gouverneur du Gévaudan et du Velay, dernier membre de la famille de la Tour Saint-Vidal, la baronnie passe à la Famille de Rochefort d'Ailly qui en prend le nom, par le mariage en 1582 de sa fille Claire avec Claude de Rochefort d’Ailly[18].

Pierre-Joseph de Rochefort-d'Ailly vend vers 1765 la terre de Saint-Vidal à Louis-Augustin Porral, conseiller en la sénéchaussée et siège présidial du Puy[19].

Au cours de la période révolutionnaire, la commune porte le nom de La Pénide.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Saint-Vidal est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Paulien pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[21].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Pierre Coste    
mars 2001 En cours Gérard Gros[22]    

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 609 habitants[Note 4], en évolution de 4,28 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : 0,11 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
377320365427425399414425443
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
440452447574423425466504494
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
436436412366354353331248292
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
255236242278319355434540597
2021 - - - - - - - -
609--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,0 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 322 hommes pour 288 femmes, soit un taux de 52,79 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou
0,4 
3,9 
75-89 ans
6,5 
13,5 
60-74 ans
11,2 
19,5 
45-59 ans
22,5 
22,4 
30-44 ans
23,9 
13,9 
15-29 ans
13,8 
26,0 
0-14 ans
21,7 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 8]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou
2,5 
8,4 
75-89 ans
11,7 
20,4 
60-74 ans
20,5 
21,3 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17 
0-14 ans
15,6 

En 2018, la commune compte 242 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 633 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 970 [I 9] (20 800  dans le département[I 10]).

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 11] 3,6 % 4,9 % 4,5 %
Département[I 12] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 13] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 385 personnes, parmi lesquelles on compte 83,2 % d'actifs (78,6 % ayant un emploi et 4,5 % de chômeurs) et 16,8 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 67 emplois en 2018, contre 66 en 2013 et 97 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 306, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 69,9 %[I 15].

Sur ces 306 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 41 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 91 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Vue du château de Saint-Vidal

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d e f et g Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Vidal ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Vidal » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Vidal - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Vidal - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Vidal (43229) », (consulté le ).
  8. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Vidal » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  11. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Vidal » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Vidal » (consulté le ).
  16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Vidal et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Vidal et Saint-Paulien », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Saint-Vidal », sur villorama.com (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Saint-Vidal et Chaspuzac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Puy-en-Velay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Auguste Aymard, « Antiquités préhistoriques gauloises et gallo-romaines du Cheylounet, commune de Saint-Vidal (Haute-Loire) », Annales de la Société d'agriculture, sciences, arts et commerce du Puy,‎ (lire en ligne)
  15. Laurent Wauquiez et Yannick Faure, La Haute-Loire, de ses origines à nos jours, Le Puy-en-Velay (Haute-Loire), éditions Jeanne-d'Arc, , 262 p. (ISBN 978-2-362-62008-9), p. 27
  16. Jean Theillière, Notes historiques sur les monastères de la Séauve, Bellecombe, Clavas et Montfaucon, 1872, pages 101-103.
  17. Mémoires de Jean Burel bourgeois du Puy, Volume 3, 1875, page 34.
  18. Florentin Benoît d'Entrevaux, Armorial du Vivarais, 1908, page 302.
  19. Jean Theillière, Armorial des barons diocésains du Velay, J.-M. Freydier, 1880, page 83.
  20. « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  21. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  22. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 1er octobre 2014).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. zoomdici.fr du 20 février 2018.
  28. L'église se nomme bien Saint-Vital, et non Saint-Vidal.
  29. Collectif, dir. Régis Thomas, Églises de Haute-Loire, coédition Phil'Print et le Département de la Haute-Loire, 2015.
  30. « Maison Raynaud », notice no PA00092885, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. Notice no PA00092882, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. Notice no PA00092883, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Articles connexes

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Liens externes

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