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Saint-Pée-sur-Nivelle

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Saint-Pée-sur-Nivelle
Saint-Pée-sur-Nivelle
L'église de Saint-Pée du XVe siècle.
Blason de Saint-Pée-sur-Nivelle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Bernard Elhorga
2023-2026
Code postal 64310
Code commune 64495
Démographie
Gentilé Senpertar
Population
municipale
7 170 hab. (2021 en évolution de  10,53 % par rapport à 2015)
Densité 110 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 27″ nord, 1° 32′ 58″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 227 m
Superficie 65,08 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Saint-Pée-sur-Nivelle
(ville isolée)
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ustaritz-Vallées de Nive et Nivelle
Législatives 6e circonscription des Pyrénées-Atlantiques
Localisation
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Saint-Pée-sur-Nivelle
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Saint-Pée-sur-Nivelle
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Saint-Pée-sur-Nivelle
Liens
Site web https://saintpeesurnivelle.fr/

Saint-Pée-sur-Nivelle est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Pée-sur-Nivelle, frontalier avec l'Espagne, fait partie de la province basque du Labourd et est connue pour son lac, le lac de Saint-Pée-sur-Nivelle, qui comporte une base de loisirs à deux kilomètres du vieux centre.

Géographie

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Localisation

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La commune de Saint-Pée-sur-Nivelle se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[I 1].

Sur le plan historique et culturel, Saint-Pée-sur-Nivelle fait partie de la province du Labourd, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 1],[1]. Le Labourd est traversé par la vallée alluviale de la Nive et rassemble les plus beaux villages du Pays basque[2]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[3],[4]. La commune est dans la zone Lapurdi Erdialdea (Labourd-Centre)[5], au centre de ce territoire.

Elle se situe à 130 km par la route[Note 2] de Pau[6], à 22 km de Bayonne[7], et à 19 km d'Ustaritz[8]. Elle est proche des principales villes de la côte basque (Saint-Jean-de-Luz à 14 km, Bayonne à 20 km, Biarritz a 18 km)

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Bayonne ainsi que dans sa zone d'emploi, et est la ville centre de son unité urbaine comme de son bassin de vie[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Sare, Ahetze, Ainhoa, Arcangues, Ascain, Saint-Jean-de-Luz, Souraïde, Ustaritz, Baztan et Urdazubi.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 65,08 km2 ; son altitude varie de 10 à 227 mètres[11].

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Saint-Pée-sur-Nivelle.
Le lac.

Les terres de la commune sont arrosées[12] par trois fleuves, la Nivelle, le ruisseau Basarun et l'Uhabia.

La Nivelle, cours d'eau de 39 kilomètres, est rejointe sur les terres de Saint-Pée-sur-Nivelle par les ruisseaux de Lizunia, d' Opalazio, Uzkain, Arraio, de Xuhail, d' Etxeberri, de Tontolo et d' Amezpetu.

L'Uhabia est alimenté, sur le territoire de la commune, par le Zirikolatzeko erreka et par les tributaires de celui-ci, les ruisseaux de Besain et d' Urone, accompagné lui-même par le ruisseau de Zalpaia.

Urloko erreka, affluent indirect de la Nive, coule également sur le territoire de Saint-Pée-sur-Nivelle.

Le ruisseau d’Ostolape, contributaire du petit fleuve côtier le ruisseau Basarun, serpente lui aussi sur la commune.

Paul Raymond indique également, dans son dictionnaire topographique Béarn-Pays basque datant de 1863[13], un affluent de l’Alborga, le Haïstéchéhé, qui arrose Ahetze après avoir pris sa source à Saint-Pée-sur-Nivelle.

La commune abrite le lac de Saint-Pée-sur-Nivelle, qui est un lieu touristique. Ce lac dispose d'une petite base nautique.

La Nivelle permet la pratique du canoë. La pêche sportive tout au long de son cours donne l'occasion d'attraper du saumon, de la truite de mer, de la truite fario.

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 435 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Espelette à 9 km à vol d'oiseau[17], est de 14,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 723,4 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22]. Un espace protégé est présent sur la commune : « Site de Lur Berria », objet d'un arrêté préfectoral de protection de biotope, d'une superficie de 141,6 ha[23].

Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[25],[Carte 1] :

  • « la Nivelle (estuaire, barthes et cours d'eau) », d'une superficie de 1 450 ha, un réseau hydrographique complet des sources de montagne à son estuaire[26] ;
  • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[27].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte des ZNIEFF de type 2 sur le territoire communal.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 4] sont recensées sur la commune[28],[Carte 2] :

  • les « bois et landes d'Ustaritz et de Saint-Pée » (2 153,79 ha), couvrant 7 communes du département[29] ;
  • le « réseau hydrographique et basse vallée de la Nivelle » (763,72 ha), couvrant 9 communes du département[30].

Les montagnes accueillent encore des poneys pottoks en estive.

Au , Saint-Pée-sur-Nivelle est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[31].

Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Pée-sur-Nivelle[Note 5], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[32],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[33],[34].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,4 %), prairies (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), zones urbanisées (6,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), terres arables (4,2 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %)[35].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Quartier Ibarron, vieille ferme labourdine.

La mairie de Saint-Pée-sur-Nivelle découpe[Quand ?] la commune en neuf quartiers :

  • Amotz ;
  • Cherchebruit ;
  • Helbarron ;
  • Serres ;
  • Hergaray ;
  • Ibarron ;
  • Le Lac ;
  • Olha ;
  • Urguri.

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 3 863, alors qu'il était de 3 360 en 2016 et de 2 884 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 81,2 % étaient des résidences principales, 12,2 % des résidences secondaires et 6,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 60,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 38,8 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Pée-sur-Nivelle en 2021 en comparaison avec celle des Pyrénées-Atlantiques et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (12,2 %) inférieure à celle du département (13,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Saint-Pée-sur-Nivelle en 2021.
Typologie Saint-Pée-sur-Nivelle[I 3] Pyrénées-Atlantiques[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 81,2 79 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 12,2 13,4 9,7
Logements vacants (en %) 6,6 7,6 8,1

La commune ne respecte pas les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de la loi SRU de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales constituées de logements sociaux, avec ses 230 logements sociaux recensés en 2019.

Elle est donc astreinte au paiement d'une pénalité financière qui s'est élevée à 82 501,25 € en 2020[36].

Voies de communication et transports

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Signalisation bilingue.

La commune située à vingt kilomètres de Bayonne est desservie parl'ancienne route nationale 618 (actuelle RD 918, dite route des Pyrénées) ainsi que par les routes départementales RD 3, RD 4, RD 255, RD 305, RD 307, RD 855, RD 856.

La commune est desservie par la ligne 47 et 49 du réseau de bus Txik Txak qui permet de rejoindre Saint-Jean-de-Luz ou Cambo-les-Bains.

Risques naturels et technologiques

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Le territoire de la commune de Saint-Pée-sur-Nivelle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Halzabaltzako erreka, le fleuve Uhabia, l'Alhorgako erreka, la Nivelle et le Lizuniagako erreka. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2007, 2009, 2013, 2017 et 2021[39],[37].

Saint-Pée-sur-Nivelle est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[40]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[41],[42].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[43]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[44].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pée-sur-Nivelle.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[45]. 81,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[46].

Risque technologique

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La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 8]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[48].

Le toponyme Saint-Pée-sur-Nivelle apparaît sous les formes Sanctus Petrus d'Ivarren (1233[13], cartulaire de Bayonne[49]), Sanctis Petris divarren (1249), S-Pé (1650, carte du Gouvernement Général de Guienne et Guascogne et Pays circonvoisins), Sainct-Pee de Labour (1690[13], cartulaire de Cantelli), Saint-Pee-d'Ibarren (1736[13], registre des baux du chapitre de Bayonne[50]) et Beaugard (1793[13]).

Saint-Pée-sur-Nivelle s'appelait autrefois Saint-Pée-d'Ibarren, « à l'intérieur de la vallée »[51], qualificatif conservé uniquement par le quartien Ibarron de nos jours.

Avec le décret du 25 vendémiaire an II (), Saint-Pée prend le nom de Beaugard. La commune reprend sa dénomination usuelle sous le Consulat en 1801[11]

Autres toponymes

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Le toponyme Amotz est mentionné en 1506[13] (aveux de Languedoc[52]).

Le toponyme Ibarron apparaît sous les formes Ibarre en Labort et Ybarre (1450[13] pour les deux formes, titres de Navarre[53]).

Le toponyme Ihintz apparaît sous la forme Ihins (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[13]).

Le toponyme Ola apparaît sous la forme Olha (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[13]).

Le toponyme Urguri apparaît sous la forme Urgoury (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[13]).

Graphie basque

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Son nom basque est Senpere[54].

Saint-Pée n'a longtemps été qu'un centre religieux et marchand, lieu de réunion réduit à sa plus simple expression et placé sous le patronage de saint Pierre, au milieu d'une multitude de petits hameaux montagnards le dominant en altitude.

Temps modernes

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Dans l'année 1609, le château est investi par Pierre de Rosteguy de Lancre missionné par le Parlement de Bordeaux afin de « purger le pays de tous les sorciers et sorcières sous l'emprise des démons ».[réf. nécessaire]

Révolution française et Empire

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En 1790, Saint-Pée-sur-Nivelle devint le chef-lieu d'un canton[13] comprenant les communes d'Ahetze et de Saint-Pée-sur-Nivelle et dépendant du district d'Ustaritz. C'est l'une des communes basque les plus actives sous la Révolution française. Salvat Marithurry est l'un des premiers curés de France à prêter serment à la Constitution civile du clergé[55].

Lors des combats de 1793 autour de la Rhune entre la jeune République française et le royaume d'Espagne, le château est ravagé et brûlé par un détachement de l'armée espagnole passé par le col d'Ibardin.

Époque contemporaine

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Politique et administration

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La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Bayonne du département des Pyrénées-Atlantiques[I 1].

Après avoir été de 1783 à 1801 le chef-lieu d'un éphémère canton de Saint-Péee, elle faisait partie depuis lors du canton d'Ustaritz[11]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Ustaritz-Vallées de Nive et Nivelle[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription des Pyrénées-Atlantiques.

Intercommunalité

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Saint-Pée-sur-Nivelle était membre de lacommunauté de communes sud pays basque (CCSPB,, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité se transforme en communauté d'agglomération fin 2012 et prend alors le nom d'Agglomération Sud Pays Basque.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ss voisines pour former, le , la communauté d'agglomération du Pays Basque, dont est désormais membre la commune[I 1].

La commune adhère également à l'Eurocité basque Bayonne - San Sebastian, un territoire franco-espagnol qui s'étend le long de cinquante kilomètres de côtes du golfe de Gascogne, de part et d'autre de la Bidassoa et qui fait partie d'Euskal Herria, le Pays basque.

Tendances politiques et résultats

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Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans les Pyrénées-Atlantiques, la liste DVD menée par Pierre-Marie Nousbaum obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 1 542 voix (45,27 %, 22 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant de 87 voix celle DVG menée par Dominique Idiart, qui a recueilli 1 455 voix (42,71 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
La troisième liste, Abertzale, a obtenu 409 voix (12,00 %, 1 conseiller municipal élu), lors d'un scrutin où 23,13 % des électeurs se sont abstenus[56].

Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans les Pyrénées-Atlantiques, la liste SE menée par Dominique Idiart qui bénéficiait de la fusion de la liste REG-DVD menée par Jean-François Béderède du 1er tour obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 674 voix (51,30 %, 22 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant de 85 voix celle DVD menée par le maire sortant Pierre-Marie Nousbaum, qui a obtenu 1 589 voix (48,69 %, 7 conseillers municipaux dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin marqué par loa pandémie de Covid-19 en France, 34,48 % des électeurs se sont abstenus[57].

Lors du second tour des élections municipales partielles de février 2023[58] qui se sont tenues à la suite de la démission d'une partie du conseil municipal, la liste DVD menée par Bernard Elhorga obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 1 333 voix (38,61 %, 21 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant de 100 voix celle REG - DVG menée par Christophe Jaureguy, qui a recueilli 1 233 voix (35,72 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
La troisième liste, celle SE menée par le maire sortant Dominique Idiart[59], a obtenu 886 voix (25,67 %, 3 conseillers municipaux élus)[60]

Administration municipale

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Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt-neuf[61], y compris le maire et ses adjoints.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
vers 1830   Jean Goyeneche    
vers 1837   Michel Haroçarené    
vers 1851   Fabien Désiré Duronéa    
         
1919 1935 Dominique Dufau[62]   Notaire, conseiller d'arrondissement
Croix de guerre 1914-1918
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1953 mars 1977 Charles Cami[63] DVD puis UDR Conseiller général d'Ustaritz (1964 → 1970)
Suppléant du député Bernard Marie (1967 → 1978)
mars 1977 juin 1995 Germain Esponda DVD Maire honoraire
juin 1995 2001 Pierre Hirigoyen    
mars 2001[64] 2014[65] Christine Bessonart[66] SE
DVG
UDF puis MoDem
 
mars 2014 juillet 2020 Pierre-Marie Nousbaum UMP-LR Cadre du secteur privé
juillet 2020 mars 2023[67] Dominique Idiart[68] SE-DVG Employé de commerce
Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
mars 2023[69] En cours Bernard Elhorga DVD Retraité de La Poste

Drapeau de l'Espagne Altsasu (Espagne) depuis 1993[70].

Équipements et services publics

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Enseignement

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En 2024, la commune dispose de trois écoles primaires, deux publiques (école du Bourg et école d'Amotz) et l'autre privée (école Saint-Joseph), de deux collèges, le collège Arretxea et le collège Kattalin-Elizalde[71] (de Seaska : immersif en basque[72]) et d'un lycée agricole privé (lycée Saint-Christophe). De plus, l'ikastola Zaldubi offre aux enfants un enseignement en langue basque depuis 1971[73].

Équipements culturels

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La ville dispose d’un espace culturel, appelé Larreko, qui permet d'accueillir 326 personnes assises et 896 debout[74].

Population et société

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Le gentilé est Senpertar[75],[54].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[76]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[77].

En 2021, la commune comptait 7 170 habitants[Note 9], en évolution de 10,53 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : 3,43 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0961 9802 0152 2092 5182 5762 7512 8042 721
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 7012 7082 6122 5762 5322 4922 5082 4322 375
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 3962 3952 3972 4222 4332 3782 3582 1952 054
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 2392 4222 5673 0563 4634 3315 1065 8656 721
2021 - - - - - - - -
7 170--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[78].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Chaque fin de juin, la ville de Saint-Pée s’anime pour ses fêtes communales, Senpereko Bestak en basque. Cinq jours de fêtes animent le village. la tenue des fêtes est le vert et noir (ou blanc). On y trouve de la force basque, de la pelote basque, des danses basques (mutxikos), la fanfare Emak-Hor, le jeu du canard (ahate jokoa), des concerts, le comice agricole, la fête foraine et de nombreuses animations. Le tout sur fond de gastronomie[79].

Chaque deuxième dimanche de mai, le lac de Saint-Pée s'anime pour Herri Urrats.

Vie associative

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  • Association Culture Patrimoine Sempere[80].

Sports et loisirs

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Le Saint-Pée Union Club est une association regroupant plusieurs sport dont le rugby à XV, le handball, la pelote basque, la canoé, lasterka, et le foot.

Rugby à XV

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Le club de rugby à XV amateur qui après avoir évolué en série régionale puis en Honneur, évolue en 2017-2018 en Fédérale 3.

Le SPUC a été sacré plusieurs fois champion de France :

Le marché de Saint-Pée-sur-Nivelle prit de l'importance au XIXe siècle, au point de détrôner celui de Sare[51].

La commune fait partie de la zone AOC de production du piment d'Espelette et de celle de l'ossau-iraty. Elle dispose aussi d'une Zone Artisanale nommée Lizardia.

C'est sur le territoire de Saint-Pée-sur-Nivelle qu'a été prise, en 1983, la photo de moutons traçant le logo Woolmark[81].

Culture locale et patrimoine

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Ferme typique labourdine dans le quartier d'Ibarron datant du XVIIe siècle.

Lieux et monuments

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L'église Saint-Pierre recèle une importante dalle funéraire et surtout un retable de maître-autel du XVIIIe siècle inventorié par le ministère de la Culture[82].

La chapelle Sainte-Marie-Madeleine du quartier Amotz à Saint-Pée-sur-Nivelle date du XVIIIe siècle[83].

Un gaztelu zahar se dresse au lieu-dit Larreondoa à une altitude de 85 mètres.

Il existe des traces d'un ancien château où réside au XVe siècle le seigneur bailli de la province. Son architecture s'est ouverte ensuite au style renaissance. Le Conseiller Pierre de Lancre y habite en 1609 pendant la chasse aux sorcières qu'il orchestre avec minutie. Le château est aujourd'hui en ruine et un mémorial en hommage a ces sorcières tués fut érige face au château.

Saint-Pée-sur-Nivelle compte plusieurs moulins à eau. Le moulin ouvert au public Plazako Errota, est construit près de l'église. Celui d'Ibarron, construit par les communautés locales, contestant aux maisons nobles leur droit de banalité[84]. On lit d'ailleurs, au-dessus de la porte, l'inscription suivante :Hau da errota senpereco herriac eraguinaracia. 1652 (ceci est le moulin que le Pays de Saint-Pée a fait faire)[51].

D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Saint-Pée est le labourdin. Phillippe Veyrin[51] rapporte le sobriquet suivant s'appliquant anciennement aux Senpertars : Sempertarrak, belhaun buru handiak ('Gens de Saint-Pée, gros genoux').

La Pelote basque

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Le fronton place libre.

Saint-Pée possède trois frontons de pelote basque à Amotz, Ibarron et au centre. C'est le pays de naissance de la chistera moderne. Gaintchiki Harotchea, adolescent de Saint-Pée-sur-Nivelle, invente en 1857, une fixation au poignet de petits paniers ovales en lattes de châtaignier, qui donne naissance au panier chistera[51]. Un trinquet, situé place Xan Iturria, utilisable en toute saison, est utilisé pour pratiquer pratique la main nue, le xare et la paleta[85].

Un écomusée de la pelote et du xistera Pilotari, situé à l'Office de tourisme, présente l'invention du Xistera.

La ville possède aussi un stade, face au Netto.

Patrimoine culinaire

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La gastronomie associée à un artisanat d'alimentation traditionnelle est riche :

Saint-Pée-sur-Nivelle dans les arts et la culture

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Gabriel Deluc : Saint-Pée-sur-Nivelle (1903, collection particuloière).

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Saint-Pée-sur-Nivelle Blason
Écartelé aux 1 et 4 d'or à trois pals de gueules ; aux 2 et 3 d'azur à trois chaudrons d'or posées 2 et 1[87].
Devise
« bortitz eta on »[88].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Henry Dop, Les Seigneurs de Saint-Pée, Société des Amis du Musée basque

Articles connexes

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Liens externes

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  • Site de la mairie
  • [hhttps://www.en-pays-basque.fr/territoires-et-destinations/vallee-de-la-nivelle/saint-pee-sur-nivelle/ Page de l'office de tourisme du Pays Basque]

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[47].
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Saint-Pée-sur-Nivelle », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. « ZNIEFF de type II sur la commune de Saint-Pée-sur-Nivelle », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  2. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  3. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  4. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
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  13. a b c d e f g h i j et k Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
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  87. Guy Ascarat
  88. officiel