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Saint-Laurent-sur-Gorre

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Saint-Laurent-sur-Gorre
Saint-Laurent-sur-Gorre
La mairie.
Blason de Saint-Laurent-sur-Gorre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
Maire
Mandat
Pierre Varachaud
2020-2026
Code postal 87310
Code commune 87158
Démographie
Gentilé Laurentais
Population
municipale
1 402 hab. (2021 en évolution de −5,46 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 15″ nord, 0° 57′ 32″ est
Altitude Min. 236 m
Max. 410 m
Superficie 39,92 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rochechouart
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Laurent-sur-Gorre
Liens
Site web saint-laurent-gorre.fr

Saint-Laurent-sur-Gorre (Sent Laurenç de Gòra en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord Limousin.

Géographie

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Situation de la commune de Saint-Laurent-sur-Gorre en Haute-Vienne.

Commune chef-lieu de canton de l'arrondissement de Rochechouart. Altitude moyenne : 275 m.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Poitou-Charentes » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central »0[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 007 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Champagnac-la-Rivière à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 189,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Laurent-sur-Gorre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,5 %), zones agricoles hétérogènes (34,6 %), forêts (21,6 %), zones urbanisées (2,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Laurent-sur-Gorre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Laurent-sur-Gorre.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[16]. 20,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Laurent-sur-Gorre est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

Plusieurs monuments mégalithiques attestent de l'occupation du territoire de la commune dès le néolithique.

Saint-Laurent a été dès le milieu du XIVe siècle le siège d'une prévôté relevant de Limoges, comme la cure de l'abbaye de Saint-Martial. La paroisse était desservie par une communauté de prêtres.

Saint-Laurent possédait également une maladrerie de lépreux appelée la Malatie, placée sous le patronage de saint Mathurin.

La seigneurie de Saint-Laurent a appartenu primitivement à la maison de Rochechouart. Au XVIe siècle, elle passa à la famille de Bermondet, puis au XVIIe siècle aux familles de Singareau, Marbaut, puis Gaschon et Sacriste. À la fin du XVIIe siècle, la seigneurie de Saint-Laurent comprenait entre autres le château, trois moulins, plusieurs étangs, le droit de pêche dans la Gorre, et la forêt de Marcillac.

Au milieu du XVIIIe siècle, la seigneurie de Saint-Laurent fut acquise par Antoine de Léonard de Fressanges, écuyer, seigneur de Saint-Cyr et Puydeau. A la fin du siècle, elle passa par mariage au comte des Roys.

Avant la Révolution, Saint-Laurent-sur-Gorre était une paroisse de l'ancien diocèse de Limoges, dans l'archiprêtré de Nontron. Elle relevait du gouvernement du Poitou (généralité de Poitiers, élection de Confolens, sénéchaussée de Montmorillon).

Passé ferroviaire du village

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De 1880 à 1996, la commune de Châlus a été traversée par la ligne de chemin de fer de Saillat-sur-Vienne à Bussière-Galant, qui, venant de Champsac se dirigeait ensuite vers la gare de Bussière-Galant.
A l' époque où le chemin de fer était le moyen de déplacement le plus pratique, cette ligne connaissait un important trafic de passagers et de marchandises.
Avec l'amélioration des routes et le développement du transport automobile, le trafic ferroviaire a périclité et la ligne a été fermée aux voyageurs en 1940. Le trafic de marchandises a continué jusqu'en 1996, date à laquelle la ligne a été déclassée. Quelques tronçons de l'ancienne ligne subsistent encore de nos jours : ils sont utilisés comme sentier de randonnée et surtout par le Vélorail de Bussière-Galant à Châlus.
De 1908 à 1948, la commune a également été située sur la ligne 1 des chemins de fer départementaux de la Haute-Vienne allant de Limoges à Saint-Mathieu pour se terminer à Rochechouart.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Octobre 1944 Avril 1967 Léon Litaud SFIO Boulanger, conseiller général
Avril 1967 Mars 1977 Jean Delauménie    
Mars 1977 Juin 1995 André Roulaud    
Juin 1995 Mars 2020 Alain Bond[19] DVD Médecin généraliste, conseiller général
Mars 2020 En cours Pierre Varachaud[20] DVD  

Drapeau de l'Allemagne Weihenzell (Allemagne), dans l'arrondissement d'Ansbach, et le district de Moyenne-Franconie, en Bavière.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 1 402 habitants[Note 3], en évolution de −5,46 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1892 3652 1912 4002 6192 5802 6652 7802 552
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5692 3602 5082 5032 4222 5592 5852 6512 680
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5362 6012 5422 2262 0982 0102 0041 7641 614
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 5291 3561 3441 4401 5471 4221 4481 4801 393
2015 2020 2021 - - - - - -
1 4831 4091 402------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Laurent de Saint-Laurent-sur-Gorre : c'est un édifice composite doté d'un chœur en abside et d'un transept de l'époque romane (XIe-XIIe siècles), dont la croisée supporte un clocher carré. Les deux travées de la nef voûtées d'ogive sont de style gothique (XVe siècle). Deux chapelles latérales d'époque indéterminée complètent le sanctuaire, de part et d'autre du chœur. L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1980[25].
  • Château de Bermondet : le château actuel est une construction de l'époque moderne (XVIe-XVIIe siècles) de plan rectangulaire, marquant la limite méridionale du bourg, dominant la vallée de la Gorre. Sa façade sud conserve à ses extrémités la base de deux échauguettes de plan carré. La façade opposée, côté cour, présente en son centre un pavillon carré faisant face à un pigeonnier-porche.
  • Château de Feuillade : composé de deux ailes d'habitation en L et d'une tour-escalier ronde, il appartenait aux XVIe et XVIIe siècles à la famille de Saint-Laurent, passa ensuite à la famille du Soulier puis à celle de Ribeyreix et enfin à la famille des comtes de Brie.
  • Dolmen dit Pierre Levée ou Dolmen de la Côte.
  • Le menhir de Leycuras a aujourd'hui disparu.

Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune. Il est commun avec le GR 654, chemin de Saint-Jacques (voie de Vézelay).

Personnalités liées à la commune

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  • Jacky Durand, cycliste professionnel, vécut à Saint-Laurent-sur-Gorre.
  • Louis Descubes, né le à Saint-Laurent-sur-Gorre et décédé le à Saint-Laurent-sur-Gorre, homme politique français, fut maire de Saint-Laurent-sur-Gorre de 1919 à 1935.
  • Eugène Nicolas, né le à Champsac et mort le à Champsac, homme politique français, avait habité ici.
  • Pascal Margat, peintre parisien, descendant du général Kléber, né le à Saint-Laurent-sur-Gorre.

Héraldique

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Blason de Saint-Laurent-sur-Gorre Blason
D'azur au lion cousu de gueules, armé, lampassé et couronné d'or, accompagné de huit fleurs de lis du même, quatre de chaque côté ordonnée en orle.
Détails

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sur Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Laurent-sur-Gorre et Champagnac-la-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Champagnac la R » (commune de Champagnac-la-Rivière) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Champagnac la R » (commune de Champagnac-la-Rivière) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Laurent-sur-Gorre ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Laurent-sur-Gorre », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  19. [1]
  20. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Eglise Saint-Laurent », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).