Saint-Geoirs
Saint-Geoirs | |||||
Entrée de la commune de Saint-Geoirs depuis la RD 154 | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | Vienne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Bièvre Isère | ||||
Maire Mandat |
Nadine Grangier 2020-2026 |
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Code postal | 38590 | ||||
Code commune | 38387 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
496 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 72 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 19′ 23″ nord, 5° 21′ 19″ est | ||||
Altitude | 438 m Min. 414 m Max. 747 m |
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Superficie | 6,93 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs (banlieue) |
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Aire d'attraction | Grenoble (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Bièvre | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Isère
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Saint-Geoirs est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.
La commune, située sur les pentes septentrionales de la partie orientale du plateau de Chambaran, est adhérente à la communauté de communes Bièvre Isère dont le siège est situé à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs.
Ses habitants sont dénommés les Saint-Geoirdeaux[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation et description
[modifier | modifier le code]Située entre les agglomérations de Lyon, Grenoble, Valence et de Bourgoin-Jallieu, dans le secteur du Bas Dauphiné, en Isère, la commune s'est principalement développée sur les premières pentes d'un plateau boisé en lisère de la plaine de la Bièvre.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le territoire communal s'étend sur la partie orientale mais aussi la plus élevée du plateau de Chambaran, lequel est constitué d'une ossature en molasse miocène, recouverte en grande partie par un placage de terres argilo-limoneuses ou argilo-sableuses[2].
Saint-Geoirs se positionne dans un secteur de basse montagne à quelques kilomètres à l'est du point culminant de ce plateau qui atteint 789 m[3] au sommet de l'oppidum du Camp de César[4], sur la commune voisine de Plan. Le point culminant de la commune s'élève à 747 m en limite avec la commune de Quincieu, non loin du col de la Croix de Toutes Aures lequel s'élève à 626 mètres et dont la route traverse le territoire de la commune au niveau du hameau de Cours[5].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]S'écoulant depuis le plateau de Chambaran, le Rival est le seul cours d'eau notable de la commune. Il s'agit d'un ruisseau au débit irrégulier s'écoulant dans un axe Sud-Est - Nord-Ouest sur le territoire communal[6]. Le ruisseau de Saint-Michel, un modeste affluent, le rejoint aux limites septentrionales de la commune.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 050 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 1 km à vol d'oiseau[9], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,1 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Accès routier
[modifier | modifier le code]Le bourg central de Saint-Geoirs est relié à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, siège de la communauté de communes par la RD154. Cette même route relie la commune à ses voisines jusqu'à Vinay par raccordement avec la RD22. La ville de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs se situe, quant à elle, au centre d'une triangle formé par les autoroutes A7, A48 et A49
Les hameaux de Cours et du Gillet sont traversés par la RD518 qui relie Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à Saint-Marcellin.
Saint-Geoirs se situe, par la route, à 4,6 kilomètres de l'Aéroport de Grenoble-Alpes-Isère[13].
Transports
[modifier | modifier le code]Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Geoirs est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[16]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38 %), forêts (37 %), prairies (22,2 %), zones urbanisées (2,7 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]La commune est constitué d'un bourg, de dimension modeste entouré de quelques hameaux éparpillés dans les vallées. Cet ensemble est composé essentiellement de maison individuelles, de fermes souvent réaménagées en maisons de résidence.
Hameaux lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Saint-Geoirs, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[20].
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Logement
[modifier | modifier le code]Risques naturels et technologiques majeurs
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]La totalité du territoire de la commune de Saint-Geoirs est située en zone de sismicité no 3 (modérée), comme la plupart des communes de son secteur géographique[21].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de « Saint-Geoire » peut faire référence à saint Georges (Georges de Lydda) un martyr chrétien légendaire qui aurait vécu au IVe siècle, connu pour avoir livré un combat acharné contre un dragon afin de sauver la fille d'un roi de la région de Beyrouth. Il existe cependant une deuxième hypothèse concernant cette première partie à l'instar du toponyme de Saint-Geoire-en-Valdaine, située dans le même département de l'Isère ou il serait question de Saint Georges de Vienne, évêque de Vienne qui vécut au cours du VIIIe siècle. L'église de la paroisse est dédiée à Saint-Georges sans autre précision.
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et Antiquité
[modifier | modifier le code]Au début de l'Antiquité, le territoire des Allobroges s'étendait sur la plus grande partie des pays qui seront nommés plus tard la Sapaudia (ce « pays des sapins » deviendra la Savoie) et au nord de l'Isère. Les Allobroges, comme bien d'autres peuples gaulois, sont une « confédération ». En fait, les Romains donnèrent, par commodité le nom d'Allobroges à l'ensemble des peuples gaulois vivant dans la civitate (cité) de Vienne, à l'ouest et au sud de la Sapaudia.
Moyen Âge et Temps Modernes
[modifier | modifier le code]Durant la période médiévale, la paroisse dépendait de la baronnie de Bressieux, famille issue d'un ancien lignage noble du Dauphiné de Viennois. La terre de Bressieux était un fief du comté de Salmorenc[23], et aurait pris son indépendance à la chute du royaume de Bourgogne quand le comté fut partagé entre l'évêque de Vienne et celui de Grenoble en 1107.
La terre de Bressieux fut érigée en marquisat en faveur de la Famille de Grolée en 1612.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Révolution française
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Geoirs est née du démembrement de la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs en 1790.
Durant la période de la Terreur lié à la prise du pouvoir par les montagnards à Paris, la municipalité donna le nom de Mont-Geoirs à sa commune[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Ville jumelée
[modifier | modifier le code]- Casorate Sempione (Italie), depuis [25].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2021, la commune comptait 496 habitants[Note 4], en évolution de −5,16 % par rapport à 2015 (Isère : 2,71 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dépend de l'académie de Grenoble. Il n'existe qu'une école primaire située dans le bourg central (village) avec un effectif officiel de vingt-six élèves pour la rentrée 2018/2019[30].
Équipement culturel et sportif
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]- Presse régionale
Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Chartreuse et Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton, quelquefois sur la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers se déroulant dans le secteur.
Cultes
[modifier | modifier le code]Culte catholique
[modifier | modifier le code]La communauté catholique et l'église de Saint-Geoirs (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint Paul de Toutes Aures, avec onze autres communes de la région. Cette paroisse est rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[31].
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Patrimoine architectural
[modifier | modifier le code]- L'église Saint Georges, située dans le vieux bourg central, est de style roman et date du XIIe siècle[32]
- La chapelle du hameau de Cours.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- La grotte de Mandrin est une cavité creusée par l'homme, située entre le village de Saint-Geoirs et le territoire de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, à proximité d'une zone humide intéressante pour sa faune et sa flore[33]
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Louis Mandrin (1725-1755), contrebandier né dans la commune voisine (alors rattachée à la même paroisse) de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs a donné son nom à une grotte artificielle située en limite de territoire.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 17 mars 2019
- Site geoglaciaire.net les paysages galaciaires, "Origine du plateau de Chambaran", consulté le 22 février 2019
- Géoportail : latitude 45.309708°, longitude 5.408331°
- « Le Camp de César », sur le site internet isere-tourisme.com (consulté le ).
- Site Isère Tourisme page sur le col de Toutes Aures, consulté le 17 mars 2019
- Site de la SIERM, page L'eau dans la commune de Saint-Geoirs, consulté le 17 mars 2019
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Geoirs et Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Grenoble-Saint-Geoirs », sur la commune de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Site air affaires, page "Villes à proximité de Aéroport Grenoble Isère", consulté le 17 mars 2019
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Geoirs ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- carte Site géoportail, page des cartes IGN
- Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
- Recherches historiques sur le Voironnais, Hector Blanchet, 1864, p. 16.
- Livre "Histoire des communes de l'Isère", éditions Horvath, page 91 (ISBN 9-782717-10494-3).
- Saint-Etienne de Saint-Geoirs, « Jumelage avec Casorate Sempione » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site du journal des femmes, page sur l'école élémentaire de Saint-Geoirs, consulté le 23 février 2019
- Site du docièse de Grenoble-Vienne, page sur la paroisse Saint-Paul de Toutes Aures, consultée le 17 mars 2019
- Dictionnaire d'Amboise Dauphiné et Ardèche, éditions d'Amboise, page 297 (ISBN 2-903795-28-2).
- Site de Radio Brézins, page ballade "la grotte de Mandrin", consulté le 17 mars 2019
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Saint-Geoirs sur le site de l'Institut géographique national
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :