Aller au contenu

Saffré

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saffré
Saffré
Les bords de l'Isac.
Blason de Saffré
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes de Nozay
Maire
Mandat
Marie-Alexy-Lefeuvre
2022-2026
Code postal 44390
Code commune 44149
Démographie
Gentilé Saffréens
Population
municipale
4 036 hab. (2021 en évolution de  5,82 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 30′ 09″ nord, 1° 34′ 39″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 78 m
Superficie 57,46 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guémené-Penfao
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saffré
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saffré
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Voir sur la carte topographique de la Loire-Atlantique
Saffré
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Saffré
Liens
Site web http://www.saffre.fr/

Saffré est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Situation de la commune de Saffré dans le département de la Loire-Atlantique

Située au nord de l’agglomération nantaise dont elle est éloignée de 35 km, la commune de Saffré est traversée par la voie express Nantes-Rennes (RN 137, à 2x2 voies).

Les communes limitrophes sont Abbaretz, Héric, Joué-sur-Erdre, Nort-sur-Erdre, Puceul et La Chevallerais.

Géographie physique

[modifier | modifier le code]

La topographie est assez homogène (entre 25 m et 50 m). Elle culmine à 77 m au hameau « La Praie ». Ce promontoire mis à part, le territoire communal se caractérise par un paysage de plaine à l’Ouest avec la vallée de l’Isac et de plateau à l’Est avec la Forêt. À noter : vers 1500, il y eut deux ou trois tremblements de terre, cause probable des gouffres de la Chutenais.

Le sous-sol contient une réserve en eau exploitée après traitement dans une usine (située aux Perrières) au niveau des captages de la Chutenais.

La nappe phréatique située au Nord du bourg et des villages d’Augrain et des Ormes couvre 2 000 ha et dans sa partie la plus profonde elle peut atteindre 300 m. Elle est très vulnérable à la pollution.

Géographie humaine

[modifier | modifier le code]

La population est répartie dans les nombreux hameaux sur un territoire s’étendant sur 5 746 ha.Cette surface est répartie entre une cinquantaine d’exploitations agricoles qui produisent du lait pour 80 % d’entre elles ; 20 % sont orientées en production de viandes. La forêt de Saffré et différentes parties boisées complètent cette surface...

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 754 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Nort-sur-Erdre à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 760,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Saffré est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,7 %), prairies (16,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,8 %), forêts (9,6 %), zones urbanisées (3,7 %), eaux continentales[Note 2] (0,3 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La localité est attestée sous sa forme latine Saffriacum dès 1123[12].

Le nom de Saffré pourrait provenir de l'anthroponyme gallo-romain Safria, avec le suffixe locatif -acum (domaine).[réf. nécessaire]

Saffré possède aussi un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Sâfrë selon les écritures ABCD et MOGA. Le nom gallo est prononcé [sa.fʁə] ou [sɑfʁœ][13],[14].

La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Saverieg[15].

La mer à Saffré

[modifier | modifier le code]

Un bras de mer s'avançait jusqu'à Saffré il y a plus de quarante millions d'années. On y a en effet retrouvé des coquillages fossiles identiques à ceux que l'on peut retrouver aujourd'hui en Méditerranée.

Le site préhistorique

[modifier | modifier le code]

L’histoire de la Commune remonte à la plus haute antiquité. On a en effet retrouvé des silex éclatés et des haches en pierre polie en telle quantité qu’il n’y a aucun doute sur l’existence d’une concentration humaine à Saffré bien avant l’époque gauloise. Les plus anciens vestiges d’une présence humaine sur le site de Saffré, telles les haches polies découvertes près d’Augrain, remontent à la fin du troisième ou au début du deuxième millénaire avant Jésus-Christ. On peut rattacher à la même époque néolithique la lame de silex trouvée près du gouffre de la Chutenais, la hache-marteau de Marignac et l’anneau en phtanite recueilli au Jarrier. Mais la découverte la plus marquante fut celle d’un dépôt de 30 haches de bronze faite à la Jossaie en 1965. Saffré venait ainsi ajouter son nom à celui des 11 localités de la Loire-Atlantique, où furent mis au jour des dépôts identiques, que l’on date des alentours de l’an mille avant notre ère, le plus important étant celui de Blain (400 haches).

La période gallo-romaine

[modifier | modifier le code]

De la période gallo-romaine, les vestiges sont encore plus évidents. On sait que les gisements de calcaire de la commune étaient exploités par les Romains et on trouve encore parfois à 200 m à l’ouest du bourg des débris de tuiles à rebords, le long d’une ancienne voie romaine (Blain, Saumur...).

Les Seigneurs

[modifier | modifier le code]

Le premier seigneur connu de Saffré semble avoir été Alain de Pierrefeu, en 1097. Un premier château existait au Moyen Âge (XIe – XIIe siècle). L’un de ses successeurs offrit en 1223 un fief aux chevaliers du Temple de Nantes. La châtellenie de Saffré comprenait la paroisse entière de ce nom et s’étendait aux paroisses avoisinantes : Nort-sur-Erdre, Joué-sur-Erdre, Puceul. Plusieurs générations de Tournemine ont ensuite occupé les lieux, pendant plus d'un siècle. En 1542, les d’Avaugour, descendants des Ducs de Bretagne leur succédèrent. Cette famille restera aussi longtemps propriétaire du château de Saffré (jusqu'au début du XVIIIe siècle). Dans un aveu de 1679, le château est décrit ainsi : « le château de Saffré avec ses tours, cernoyé de ses douves et pont-levis, avec les bastiments en dehors, fuie, estang, bois, vignes, prés... ».

Les O'Riordan succédèrent aux d’Avaugour. Leur fille épousa un riche et ambitieux marin, Jacques-Edme Cottin, originaire de Saint-Domingue, qui acheta un titre de noblesse et devint à son tour l'un des propriétaires du château - et le dernier seigneur du lieu.

XIXe et XXe siècles

[modifier | modifier le code]

À partir de 1824, Hubert Le Loup de Beaulieu, nouveau propriétaire du domaine (et maire de Saffré 1825 à 1830), fait effectuer de nombreuses modifications, architecturales et paysagères. Il cède la forêt de Saffré, fait creuser un nouveau lit à l’Isac et détruire tout ce qui pouvait donner l’aspect d’une forteresse (douves, pont-levis, vers 1840). Le château de Saffré devient à cette époque une habitation « moderne ». Alexis Ricordeau (maire de 1902 à 1931), avocat au barreau de Nantes et premier président du conseil d’administration de l’hôtel-Dieu de la ville, acheta le château en 1895. Il fit abattre l’aile ouest (à la suite d'un incendie ?) et réaménagea le bâtiment selon les goûts de l’époque. Son fils Maurice en fut le dernier habitant, avant l’occupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale. En 1990, la commune de Saffré a acquis cette propriété, inoccupée depuis lors. C'est sur le site du château que s'est déroulé pendant 10 ans le festival « le Champ du rock ». Le lieu est toujours utilisé pour de nombreuses manifestations associatives (on peut également y visiter un joli potager, des mares), en attendant un usage plus régulier...

Le Maquis de Saffré

[modifier | modifier le code]
Monument commémoratif du maquis de Saffré.
Le général de Gaulle à Saffré.

La commune est particulièrement célèbre pour avoir été le siège du principal maquis du département au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il a été anéanti par l'occupant allemand dans la nuit du au

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason Blasonnement :
D'azur aux trois croix fleurdelysées d'or, au chef du même.
Commentaires : D'après un Brevet d'Hozier (1696).

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Mairie de Saffré.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1960 Pierre Mabit   Notaire
1960 1977 Pierre Ségalen DVD Pharmacien
Conseiller général de Nozay (1964 → 1970)
1977 1989 Roger Mary   Agriculteur
1989 2008 Jean Dupas[N 1] DVG Agriculteur
2008 2020 Jocelyne Poulin[N 2] DVG Enseignante
2020 2022 Jean-Claude Raux T44 Professeur de lettres et d'anglais
en lycée professionnel
Député (6e circ.) (depuis 2022)
2022 En cours Marie-Alexy Lefeuvre[N 3] T44 Directrice des opérations

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Selon le classement établi par l'Insee, Saffré fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Nozay. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[8]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 94 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 6 % dans des zones « très peu denses »[16].

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[18].

En 2021, la commune comptait 4 036 habitants[Note 3], en évolution de 5,82 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : 6,78 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2261 4661 6132 6392 8222 9403 0733 2653 385
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 3143 3863 4553 4553 5623 5813 5513 6643 670
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 5053 5043 5263 0022 8602 7602 6312 4382 410
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 3362 3202 2062 4922 6082 6783 2483 3293 680
2017 2021 - - - - - - -
3 9074 036-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,8 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 996 hommes pour 1 951 femmes, soit un taux de 50,57 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,58 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou
0,7 
4,3 
75-89 ans
6,4 
12,5 
60-74 ans
13,6 
19,5 
45-59 ans
17,7 
23,3 
30-44 ans
22,7 
15,1 
15-29 ans
14,4 
24,9 
0-14 ans
24,5 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2021 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou
1,8 
75-89 ans
8,6 
15,1 
60-74 ans
16,4 
19,4 
45-59 ans
18,8 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,4 
19,5 
0-14 ans
17,6 

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Saffré est jumelée avec:

Winterton est une petite ville de 5 000 habitants, dans le Lincolnshire. Afin de développer les relations entre les deux communes, le Comité de Jumelage Saffré / Winterton organise chaque année des échanges entre familles, agrémentés de visites et de rencontres variées.

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Réélu en 1995 et 2001.
  2. Réélue en 2014.
  3. Élue en 2022.
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saffré et Nort-sur-Erdre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Nort-sur-Erdre », sur la commune de Nort-sur-Erdre - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Nort-sur-Erdre », sur la commune de Nort-sur-Erdre - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune de Saffré ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nantes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
  13. « ChubEndret », Chubri.
  14. « Liste des communes de Haute-Bretagne », Institut du Galo
  15. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  16. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saffré (44149) », (consulté le ).
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).