Rue Larbi-Ben-M'Hidi
Rue Larbi-Ben-M’Hidi | |||
La rue Larbi-Ben-M’Hidi en 2005 | |||
Situation | |||
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Coordonnées | 36° 46′ 15″ nord, 3° 03′ 31″ est | ||
Pays | Algérie | ||
Région | Alger | ||
Ville | Alger-Centre | ||
Début | Rue Patrice Lumumba Rue Ali Boumendjel |
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Fin | Avenue Pasteur Boulevard Mostefa-Ben-Boulaïd |
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Morphologie | |||
Type | Rue | ||
Forme | Rectiligne | ||
Longueur | 380 m | ||
Largeur | 18 m | ||
Histoire | |||
Anciens noms | Rue d'Isly | ||
Géolocalisation sur la carte : Alger-Centre
Géolocalisation sur la carte : wilaya d'Alger
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La rue Larbi-Ben-M'Hidi (en arabe : ﺷﺍﺭﻉ ﺍﻟﻌﺮﺑﻲ ﺑﻦ ﻣﻬﻴﺩﻱ), ex-rue d'Isly[1], est une voie d'Alger.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Cette rue est l'une des principales artères commerciales du centre-ville d'Alger. Elle mène de la place de la Grande Poste à Bab El Oued et est coupée au milieu par la place de l'Émir-Abdelkader.
Elle est accessible par la ligne de bus n°36 de l'ETUSA, ainsi que par les deux stations de métro Ali Boumendjel et Tafourah-Grande Poste.
Origine du nom
[modifier | modifier le code]Elle honore Larbi Ben M'hidi (1923-1957), l'un des fondateurs du Front de libération nationale (FLN).
Historique
[modifier | modifier le code]Anciennement connue comme la « rue d'Isly », elle a pris le nom de « rue Larbi-Ben-M'Hidi » après le départ des Français.
Le , une fusillade y a eu lieu pendant la guerre d'Algérie, faisant 80 morts et plus de 200 blessés[2].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]- no 18 : Bâtiment appelé L'Historial de l'architecte Larbi Marhoum.
- no 25 : Musée d'Art Moderne d'Alger, ex-Galeries Algériennes.
- no 42 : Siège de l'Institut national algérien de la propriété industrielle
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Articles LES ENSEIGNES COMMERCIALES AU CENTRE-VILLE D'ALGER : CHOIX DES LANGUES ET REPRÉSENTATIONS. CAS DE LA RUE LARBI BEN M'HIDI (EX RUE D'ISLY) D'ALGER-CENTRE, Zohra Benmansour », sur www.editions-harmattan.fr (consulté le )
- « Guerre d’Algérie: «L’occultation du massacre de la rue d’Isly tue les victimes une seconde fois» », sur Le Figaro,