Rue Daliphard
Apparence
Rue Daliphard | |
Situation | |
---|---|
Coordonnées | 49° 26′ 43″ nord, 1° 06′ 23″ est |
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Seine-Maritime |
Ville | Rouen |
Début | Avenue de la Porte-des-Champs |
Fin | Rue des Capucins |
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La rue Daliphard est une voie de la commune française de Rouen.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]La rue Daliphard est une rue de Rouen[1].
Origine du nom
[modifier | modifier le code]La rue Daliphard est nommée d’après le nom d’un ancien propriétaire qui concéda en 1822 les terrains sur lesquels elle fut bâtie[2],[3].
Historique
[modifier | modifier le code]Le , le conseil municipal de Rouen accepte la concession gratuite d’un terrain offerte par monsieur Daliphard. Cette concession permet l’ouverture d’une rue allant de la rue des Champs à la rue des Capucins[2].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]Dans la littérature
[modifier | modifier le code]Liste non-exhaustive des apparitions de la rue Daliphard dans la littérature :
- Sylvère Monod, Madame Homais, Paris, Belfond, , 23 cm (ISBN 2-7144-2103-2, BNF 34924948), chap. 2 (« Marie et son mari »).
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Almanach de Rouen : Liste générale des adresses pour l'année 1871, Rouen, (ISSN 2804-4290, BNF 32687531, lire en ligne), « Liste des rues de Rouen », p. 71.
- « Conseil municipal de la ville de Rouen », Journal de Rouen, no 354, , p. 1 (lire en ligne).
- Eustache de La Quérière (ill. Eustache-Hyacinthe Langlois), Description historique des maisons de Rouen : les plus remarquables par leur décoration extérieure et par leur ancienneté; dans laquelle on a fait entrer les édifices civils et religieux devenus propriétés, t. II, Rouen, Nicétas Périaux, (OCLC 16916206, BNF 30740461), p. 277.
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Nicétas Périaux, Dictionnaire indicateur et historique des rues et places de Rouen : revue de ses monuments et de ses établissements publics (reprod. en fac-sim. de l'éd. A. Le Brument, 1870), Brionne, Impr. le Portulan, (réimpr. 1876), XXXI-693 p., 21 cm (OCLC 800255, lire en ligne), p. 167