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Bursa

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Bursa
Brousse
Bursa
Administration
Pays Drapeau de la Turquie Turquie
Région Région de Marmara
Province Bursa
District Région de Marmara
Maire
Mandat
Mustafa Bozbey (CHP)
2024-2029
Préfet Yakup Canbolat[1]
2018
Indicatif téléphonique international (90)
Plaque minéralogique 16
Démographie
Population 3 233 767 hab. (2023)
Densité 1 561 hab./km2
Géographie
Coordonnées 40° 10′ 59″ nord, 29° 03′ 58″ est
Altitude 184 m
Superficie 207 176 ha = 2 071,76 km2
Localisation
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Bursa
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Bursa
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Bursa
Liens
Site de la mairie http://www.bursa.bel.tr
Site de la province http://www.bursa.gov.tr

Bursa et Cumalıkızık : la naissance de l’Empire ottoman *
Image illustrative de l’article Bursa
Petite mosquée du bazar.
Pays Drapeau de la Turquie Turquie
Subdivision Bursa
Type Culturel
Critères (i), (ii), (iv), (vi)
Superficie 27 ha
Zone tampon 249 ha
Numéro
d’identification
1452
Région Europe et Amérique du Nord **
Année d’inscription 2014 (38e session)
* Descriptif officiel UNESCO
** Classification UNESCO

Bursa (prononcé en turc ['bursa]), parfois Brousse (ou Pruse) en français, du grec ancien Προῦσα / proūsa, est une ville du nord-ouest de l'Anatolie en Turquie, capitale de la province du même nom. Bursa fut la seconde capitale de l'Empire ottoman, de 1326 à 1366.

Avec une population de 3 233 767 habitants en 2023, il s'agit de nos jours de la quatrième ville du pays ainsi qu'un important centre industriel (usines FIAT-Tofaş et OYAK-Renault) et culturel.

La ville est située sur le versant nord-ouest des montagnes dominées par l'Uludağ, montagne connue par les géographes comme l'Olympe de Bithynie, au sud de la région de Marmara. Elle est bordée par la province de Yalova et la mer de Marmara au nord, les provinces de Kocaeli et Sakarya au nord-est, la province de Bilecik à l'est et les provinces de Kütahya et Balıkesir au sud.

La ville est surnommée Yeşil Bursa, « Brousse la verte », en référence aux nombreux parcs et espaces verts qui jalonnent l'agglomération ainsi qu'aux forêts qui couvrent les environs[réf. nécessaire]. La ville est au pied du massif du Mont Uludağ[2], réputé pour ses stations de sports d'hiver. Son patrimoine historique comporte les mausolées des premiers membres de la dynastie ottomane et les nombreux édifices construits pendant cette période marquent encore la ville de leur empreinte[3]. La ville, située au centre d'une région fertile connue pour son thermalisme, possède de nombreux musées, notamment un riche musée archéologique.

Karagöz et Hacivat, les deux personnages du théâtre d'ombres, sont nés et enterrés à Bursa. La ville est célèbre pour ses spécialités gastronomiques, notamment les châtaignes et les pêches ainsi que l'İskender Kebap. À proximité de la ville se trouvent le district d'İznik, l'antique Nicée, connue pour son histoire et ses édifices majeurs. Bursa est le siège de l'Université Uludağ et sa population possède l'un des plus hauts niveaux d'études du pays. La ville est un pôle d'attraction traditionnel des réfugiés des Balkans, arrivés par vagues successives jusqu'à une période récente[réf. nécessaire]. En 1991, la ville était récompensée du Prix de l'Europe.

Géographie

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Topographie

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Démographie

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Lors de la conquête par le sultan Orhan, le , la ville ne comptait que 2 000 foyers[4].

Bursa comptait 45 000 habitants en 1487[5] et, selon une estimation, environ 65 000 en 1573-1574[6].

En 1848, le voyageur historien Baptistin Poujoulat écrit dans Récits et souvenirs d'un voyage en Orient que la ville compte 90 000 Turcs, 5 000 Arméniens et 5 000 Grecs[7].

Évolution démographique
1960 1970 1980 1985 1990 1997
153 866275 953445 113612 510834 5761 054 796
2004 2007 2008 2009 2010 2015
1 107 6161 431 1721 898 0002 150 0002 547 0002 842 000
2016 2019 - - - -
2 901 3962 994 521----

Fondation et étymologie

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Le site est tout d'abord connu sous le nom de Kios (en grec, ou Cius en latin) quand il est cédé par Philippe V de Macédoine au roi de Bithynie, Prusias Ier, en -202 pour son aide contre Pergame et Héraclée du Pont (la moderne Karadeniz Ereğli). Le roi lui donne alors son nom : Pruse, en latin Prusa ad Olympum (Pruse de l'Olympe).

Capitale de l'Empire ottoman

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La ville voit son importance grandir car elle est située à l'extrémité occidentale de la route de la soie. Elle appartient à un Empire byzantin en plein déclin quand elle est conquise en 1326 par le sultan Orhan. Elle devient alors la capitale du nouvel empire et des premiers sultans ottomans de jusqu’en , lorsque son fils Mourad Ier la remplace par Andrinople[8]. Son statut de capitale lui vaut de voir érigés de nombreux bâtiments, dont une école de théologie qui attire de nombreux étudiants en provenance de tout le Moyen-Orient, école qui se maintiendra sur place après la perte du rang de capitale.

La ville perd progressivement de son influence quand les villes de Didymotique et d'Andrinople sont conquises par les Ottomans en . Mais Brousse demeure une ville appréciée des sultans qui y développent l'art ottoman[8], la ville restant un important centre administratif et commercial.

En , à la suite de la bataille d'Ankara, Brousse, alors sous contrôle du sultan ottoman Bajazet Ier, est mise à sac par Tamerlan, puis à nouveau, après un siège de 34 jours, par le bey karamanide Nâsıreddin Mehmed II[8].

Le commerce de la soie

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Brousse vers 1890
Costumes de Juifs de Brousse (vilayet de Hudavendighiar), 1873

Sous la domination ottomane, la ville est le centre de production de soieries royales, facilitée par la culture du mûrier aux alentours du Nilufer[8]. En plus d'une sériciculture locale de grande ampleur, on y importe de la soie naturelle principalement en provenance d'Iran (via Tabriz et Trébizonde)[9] et parfois de Chine. Elle est alors le centre de confection de caftans, la longue tunique traditionnelle, ainsi que celui des coussins, de la broderie et d'autre soieries ornant les palais impériaux jusqu'au XVIIe siècle. La ville est aussi le centre de production de couteaux et de carrosses.

Aujourd'hui encore, la ville reste un éminent centre de production de soie naturelle, avec un million de mètres de tissu par an[9]. En dehors de l'industrie textile, la ville a au fil du temps développé des industries variées, comme la coutellerie et l'industrie automobile (Renault, FIAT et Peugeot y sont présents).

Les grands tremblements de terre

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Louis-Marie Baader : Tzigane à la porte de Brousse [Bursa désormais] (1885, huile sur toile, musée des beaux-arts de Morlaix)
Château ottoman de Brousse.
Mosquée d'Orhan.
Bazar de la soie (Koza Han)

Comme la majeure partie du pays, Bursa est située sur une faille sismique. Partiellement détruite par des tremblements de terre mêlés à des incendies importants, elle fut reconstruite à chaque fois, notamment après les deux séismes de 1855 et 1905. Après celui de 1855, qui détruisit presque toute la ville[10], c'est à l'architecte français Léon Parvillée que le gouvernement ottoman fit appel pour restaurer les monuments endommagés[11]. Quant aux habitations, peu d'entre elles antérieures à ces catastrophes sont encore debout[12].

Fin de l'époque ottomane

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À l'époque des tanzimats, l'Empire ottoman entreprend de grandes réformes afin de se moderniser : la province ottomane de Hüdavendigâr, dont Bursa est la capitale[13],[14], est l'une des premières après Istanbul où des plans urbanistiques modernes sont mis en œuvre. En 1864, la province devient le vilayet de Hüdavendigâr.

Ahmed Vefik Pacha, envoyé à Brousse en tant qu'inspecteur régional des provinces de l'ouest de l'Anatolie (Anadolu sağ kol ciheti müfettişi) entre et , s'attelle à la mise en œuvre des réformes. Homme de lettres et diplomate, ancien ambassadeur à Téhéran de 1851 à 1854) et à Paris de 1860 à 1861[15], il avait déjà œuvré à Constantinople, en tant que ministre des evkâf (Evkaf Nezareti), à la restauration de la mosquée Süleymaniye en 1861. Passionné de théâtre (il traduit Molière en turc), il fait construire à Brousse un des premiers théâtres de l'empire hors de la capitale[16],[17].

Le premier plan d'urbanisme moderne, confié à Karl Lörcher en 1924, n'a jamais été mis en application[18],[19].

Dans ses carnets de voyage, Edmond Dutemple affirme que les aristocraties grecque et arménienne y résident en villégiature[10].

À la fin de la guerre d'indépendance turque, Mustafa Kemal Atatürk séjourne à Bursa avec son gouvernement et son état-major pour superviser les dernières opérations de la guerre contre la Grèce et les négociations avec les puissances occidentales. C'est à Bursa qu'il décide l'abolition du califat[20].

Bursa à l'époque contemporaine

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En , la ville reçoit le Prix de l'Europe[21].

Organisation de la ville

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Administration

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Bursa est la préfecture (valilik) de la province (il) du même nom et regroupe dix-sept districts (ilçeler, en turc) dont trois qui forment la métropole de Bursa et quatorze districts ruraux. Le district principal est Osmangazi où se trouve la plupart des monuments historiques.

Transports et communications

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Infrastructures routières

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La ville se situe à la jonction de plusieurs routes importantes. Elle est notamment reliée à Istanbul (240 km) par les autoroutes E 881 et E 80 via Kocaeli, à Izmir par la E 881 et à Ankara (385 km) par la E 90.

Transports urbains

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Le Bursaray, système de métro léger.

Bursa possède deux lignes de métro léger, le Bursaray, inaugurées en 2000. Une extension de 6,7 km est en cours de réalisation, en partie financée par la Banque européenne d'investissement[22]. À terme, le réseau devrait cumuler 50 km de lignes.

En 2012, la ville de Bursa achète 44 rames type T d'occasion au métro de Rotterdam[23].

Desserte ferroviaire

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Le réseau ferroviaire turc en service et en projet

La ville est reliée à Ankara, Istanbul et Izmir par le train.

Un projet de construction d'une ligne à grande vitesse devrait relier la ville à Osmaneli, sur la ligne Istanbul-Ankara, partiellement en service, après une première ligne Ankara-Konya dont la construction a démarré en 2006.

Communications extérieures

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La ville est desservie par un aéroport (code AITA : BTZ).

Cadre de vie

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Enseignement

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Université Uludağ

L'Université Uludağ (Uludağ Üniversitesi, en turc) est située à Bursa et demeure l'une des universités les plus en vue dans le pays, notamment dans la région proche de la mer de Marmara. Fondée en 1975, elle est d'abord connue sous le nom d'« université de Bursa » puis rebaptisée « université Uludağ » en 1982[24]. Durant l'année 2005-2006, l'université accueille 47 000 étudiants.

TV : Olay TV, ASTV, Line TV, Bursa TV, Köy TV, Bursaspor TV, Kanal 16 (İnegöl), Süper Kanal TV (İnegöl).

Sports et loisirs

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En , la ville a organisé les 30es championnats d'Europe de boxe amateur.

Un drapeau du Bursaspor.

La ville possède son équipe professionnelle de football, le Bursaspor, évoluant dans le championnat élite. Ses joueurs, surnommés les « Alligators Verts » (Yeşil Timsahlar, en turc) en raison de leur maillot vert[réf. nécessaire], jouent au Stade Bursa Atatürk. Pour la première fois de son histoire, le club de football a été champion de Turquie en 2009-2010, rejoignant le club très fermé (au nombre de quatre jusqu'alors) des vainqueurs du championnat turc.

La ville fut candidate pour l'organisation des Jeux olympiques d'hiver de 2018, jeux qui auraient eu lieu dans le massif de l'Uludağ[réf. nécessaire].

Elle a organisé, en , le Championnat du monde d'échecs par équipes

La région de Bursa est, avec Istanbul, İzmir et Adana, une des premières du pays à concentrer des implantations industrielles[25]. En 1932 Bursa concentrait 8 % des industries turques[26].

En 1848, un gisement de chrome découvert à Bursa en lance l'exploitation. La Turquie en devient vite un grand exploitant, et en 1935 le pays représentait 40 % de la production mondiale[26].

En 1990, l'industrie à Bursa employait 163 290 personnes, soit 6 % de la main-d’œuvre nationale[27].

Bursa est à la pointe de la production automobile turque[28]. Depuis plusieurs dizaines d'années, Fiat y possède l'usine Tofaş et Renault d'importantes chaines de montage, au sein d'Oyak-Renault. Elle est également connue pour sa production textile et son industrie alimentaire dont la production de conserves. Elle accueille également la production d'importants groupes mondiaux comme Coca-Cola et Pepsi-Cola.

Traditionnellement, la ville est connue pour ses environs fertiles et ses activités agricoles bien qu'en déclin et progressivement repoussées par l'industrialisation galopante[réf. nécessaire].

Bursa est également une importante destination touristique : domaine skiable du massif du mont Uludağ et thermalisme remontent à l'époque romaine.

Culture et patrimoine

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Architecture

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La ville compte plus de 300 monuments[8]. Un grand nombre de mosquées couvrent la ville, notamment la « mosquée Verte » (Yeşil Cami, en turc), la mosquée d'Orhan, la mosquée de Mourad II (en), la mosquée Emir Sultan et la grande mosquée. La ville possède également d'importants musées : musée archéologique, musée de la ville, musée d'Atatürk, musée d'art islamique, musée d'Iznik. Parmi les autres sites notables figurent le village de Cumalıkızık, le bazar Yıldırım, l'enceinte fortifiée de la ville, ses sources chaudes (Çekirge, Armutlu, Oylat et Gemlik) et ses plages (Armutlu, Kumla, Kurşunlu et Mudanya) ainsi que le parc national du mont Uludağ.

Vue panoramique du centre-ville.

Culture populaire

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La ville est souvent évoquée dans les chansons « rebétika » comme l'endroit où l'on trouve le meilleur haschich[33][réf. à confirmer].

Gastronomie

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L'Iskender Kebap est une spécialité culinaire de Bursa à base de viande grillée, mise au point au XIXe siècle[34]. Au rang des spécialités, on peut également citer :

Personnalités nées à Bursa

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Galerie de photos

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Notes et références

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  1. (tr) « Bursa Valisi », sur gov.tr (consulté le ).
  2. Frédéric Hitzel, « Production et techniques de tissage de la soie à Bursa aux XVe et XVIe siècles », Rives méditerranéennes 1/2008 (n° 29), p. 11-24.
  3. « Bursa and Cumalıkızık: the Birth of the Ottoman Empire », sur UNESCO World heritage list (consulté le )
  4. « Bursa in numbers. » sur Bursan Metropolitan Municipality.
  5. Salma Khadra Jayyusi, Renata Holod, Attilio Petruccioli et André Raymond, « The city in the Islamic world, Volume 1 », p. 362.
  6. Gilles Veinstein, compte-rendu de « Suraiya Faroqhi, Towns and Townsmen of Ottoman Anatolia. Trade, Crafts and Food Production in an Urban Setting (1520-1650) », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, 1988, vol. 43, n° 2, p. 521.
  7. Baptistin Poujoulat, Récits et souvenirs d'un voyage en Orient, Tours : A. Mame, 1848, p. 51 (lire en ligne).
  8. a b c d et e Marthe Bernus-Taylor, « Le décor du « Complexe Vert » à Bursa, reflet de l’art timouride », Cahiers d'Asie centrale, 1997, p. 251-266.
  9. a et b Xavier de Planhol, « Études récentes en Turquie », Annales de Géographie, 1963, t. 72, n°392. p. 496.
  10. a et b Edmond Dutemple, « En Turquie d'Asie: notes de voyage en Anatolie », Charpentier, 1883, p. 58.
  11. Albert Gabriel, « Une capitale turque, Brousse », Paris, 1958, p. 81.
  12. « L'Habitat traditionnel dans les pays musulmans autour de la Méditerranée. », volume 1 d'Études urbaines, Institut français d'archéologie orientale, 1991.
  13. Daniel Panzac, analyse bibliographique de « Justin McCarthy : Muslims and Minorities, The population of Ottoman Anatolia and the End of the Empire », Revue de l'Occident musulman et de la Méditerranée, 1985, vol. 39, n° 1, p. 236.
  14. « 1ère Capitale Bursa : Bursa, première capitale de L’empire ottoman - la province Hudavendigar des Ottomans. », sur le site du ministère de la Culture et du Tourisme de la république de Turquie.
  15. Jean-Louis Bacqué-Grammont et Hâmit Batu, « L'Empire Ottoman, la République de Turquie et la France », Institut français d'études anatoliennes, 1986, p. 99.
  16. Robert Mantran (dir.), Histoire de l'Empire ottoman, Fayard, 1989, p. 491.
  17. Anamur Hasan, « La structure socio-culturelle de l'Empire ottoman au XIXe siècle et les traductions de cette époque », Romantisme, 2006/1 (n° 131), p. 7-7
  18. « Cultures et milieux urbanistiques dans le Sud de la Méditerranée. », volume 2 - analyse par pays, Ministère des Affaires Étrangères - ISTED - PRUD, p. 16
  19. « Steps taken on the way to planned urbanization. » sur Bursan Metropolitan Municipality.
  20. Andrew Mango, Ataturk, ed. John Muray, 1999[1]
  21. « Villes lauréates du Prix de l’Europe (1955-2011). » sur le site de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe.
  22. « Deuxième phase du réseau de métro léger de Bursa » sur le site de la Banque européenne d'investissement.
  23. railjournal - bursa acquires rotterdam metro
  24. « About Uludağ University. », sur le site officiel de l'université Uludağ.
  25. Marcel Bazin et Stéphane de Tapia, « L'industrialisation de la Turquie : processus de développement et dynamiques spatiales. », Méditerranée, Tome 87, 3-4-1997. Industries en Méditerranée de la marginalisation à la mondialisation. p. 121.
  26. a et b Jean Soulas, « L'essor économique de la Turquie contemporaine. », Annales de Géographie. 1939, t. 48, n°274. p. 408.
  27. Marcel Bazin et Stéphane de Tapia, « L'industrialisation de la Turquie : processus de développement et dynamiques spatiales. », Méditerranée, Tome 87, 3-4-1997. Industries en Méditerranée de la marginalisation à la mondialisation. p. 130.
  28. « Turkey’s automotive industry going nonstop. » sur Todayszaman.com, le 5 mai 2007.
  29. (tr) Liste des villes jumelées, site de la municipalité de Bursa, consulté le 28 août 2012
  30. « Town Twinnings and international relations. » sur le site officiel de la ville de Darmstadt.
  31. « International Oulu - Twin towns. » sur le site officiel de la ville d'Oulu.
  32. « Turkey's Bursa, Kosovo's Pristina become sister cities. » sur Worldbulletin.net.
  33. par exemple Héroïne et haschich (S. Gavalás, 1935): « Louange à toi Bursa, renommée dans le monde entier »
  34. Kenneth F. Kiple et Kriemhild Coneè Ornelas, « Cambridge World History of Food », Cambridge, 2000.

Articles connexes

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Liens externes

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