La Ligue des champions féminine de l'UEFA 2011-2012 est la 11e édition de la plus importante compétition inter-clubs européenne de football féminin. Elle se déroule sur la saison 2011 - 2012 et oppose les meilleurs clubs des différents championnats européens au cours de la saison précédente.
Aujourd'hui, jeudi 19 décembre, ce portail comporte 100 221 articles liés sur les 2 653 642 articles de la version française de Wikipédia. Le projet compte des dizaines de contributeurs actifs et des dizaines d'articles primés, ce qui est très bien.
Le projet compte un groupe de travail sur le football féminin. Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues pour aider à relire, créer des pages et/ou discuter. Avis aux amateurs !
Je m’appelle Andrée-Anne et j'ai 31 ans, et je suis originaire de Trois-Rivières en Mauricie. Je travaille comme physiothérapeute dans le domaine de la réadaptation. Dans mes loisirs, je pratique plusieurs activités sportives (comme le ski de fond l'hiver). Je suis une passionnée de soccer (football) féminin, ce qui m'a amené à jouer semi-professionnelle pendant 2 saisons dans la W-League. Je suis toujours passionnée par le foot et je veux redonner aux plus petits, ce que j'ai reçue pendant une dizaine d'années: Ainsi je suis coach bénévole pour une petite organisation locale.
15 mai1910 (Football) : Pour le premier match international de son histoire, l'Italie défie la France à Milan et s'impose facilement face à une équipe désorganisée (6-2).
La section féminine de l'Olympique lyonnais est un club de football féminin français basé à Lyon et créée en 1970 sous le nom de Football Club de Lyon.
L'équipe fanion participe au championnat de France de football féminin et joue le plus souvent sur le terrain no 10 de la Plaine des Jeux de Gerland, à 400 mètres du stade de l'équipe masculine.
L’équipe d’Allemagne féminine est l’une des équipes les plus titrées de l’histoire du football féminin. Remportant à deux reprises la Coupe du monde, en 2003 et 2007, elle fait ainsi de l’Allemagne la seule nation à avoir remporté le titre mondial à la fois chez les hommes et les femmes. Elle a également remporté six des neuf Championnats d’Europe, dont les quatre derniers. Enfin, lors des quatre éditions où le football féminin fut présent aux Jeux olympiques, l’Allemagne a remporté trois médailles de bronze (2000, 2004 et 2008). Birgit Prinz, élue à trois reprises meilleure footballeuse du monde (2003, 2004 et 2005), détient le record de sélections, de buts et le record de buts marqués dans l’histoire de la Coupe du monde…
Seules quatre nations sont au palmarès de la Coupe du monde. Les États-Unis et l'Allemagne détiennent le record d'éditions remportées avec deux succès. La Norvège et le Japon remportent une Coupe du monde.
Le Wanderers Football Club est un club de footballanglais actif entre 1859 et 1887. Ce club amateur, principalement composé d’élèves des écoles privées de Londres, a été l’une des équipes qui ont dominé les premières années du football anglais en remportant les deux premières Football Association Challenge Cup.
Avant la première édition de la Coupe d’Angleterre en 1871, le club ne joue que des rencontres amicales, les règles variant de match en match. Même après la formation de la Fédération anglaise de football en 1863, fédération dont les Wanderers sont un des membres fondateurs, le club continue à pratiquer le football avec des règles différentes de celles de la fédération. Il devient néanmoins une des équipes de pointe du football anglais. Outre les deux premières éditions de la Coupe d’Angleterre, les Wanderers remportent trois autres victoires successives en coupe avant la fin des années 1870, exploit qui n’a été répété qu’une seule fois depuis.
Parmi les joueurs qui ont joué pour le club, deux ressortent tout particulièrement : Charles Alcock, souvent considéré comme le « père du football moderne », et Arthur Kinnaird, 11e Lord Kinnaird, considéré comme le plus grand joueur des premières années du football. En accord avec leur nom qui signifie « les Vagabonds », les Wanderers n’ont jamais eu de stade attitré et ont joué sur différents terrains de Londres et de ses environs. Au milieu des années 1880, le club perd de sa superbe et commence à décliner. Les dernières années, il ne dispute plus qu’un seul match par an contre Harrow School, l’école d’origine d’un grand nombre des membres du club.
Elle débute en championnat au Grand Prix des États-Unis et succède à l'Eurobrun ER189. Cette monoplace, conçue par George Ryton, Roberto Ori et Kees van der Grint, est directement inspirée de sa devancière de la saison 1989. Pilotée par le pilote brésilien Roberto Moreno et l'Italien Claudio Langes, elle est engagée à quatorze reprises mais ne parvient à se qualifier que deux fois, en début de saison aux mains de Roberto Moreno.
Faute de moyens financiers et de résultats, Walter Brun, le propriétaire d'Eurobrun Racing, annonce à l'issue de la saison européenne, qu'il désire désormais uniquement se consacrer à son engagement en championnat du monde des voitures de sport et qu'il déclare forfait pour le restant de la saison. Sanctionné de 400 000 dollars d'amende pour ses deux forfaits, Eurobrun quitte définitivement la Formule 1. L'ER189B est donc la dernière monoplace de Formule 1 de l'écurie.
En 1949, il remporte le Trophée Lady Byng et il totalise 284 points en 774 matchs à la fin de sa carrière. Au cours de ses quatorze saisons dans la LNH, il compte moins de 100 minutes de pénalité, ce qui en fait l'un des joueurs les moins pénalisés de l'histoire de la ligue. Même s'il ne remporte jamais la Coupe Stanley, il est intronisé au Temple de la renommée du hockey en 1976 alors qu'il est entraîneur de hockey puis de golf pour les Tigers de Princeton. Il meurt d'une pneumonie le .
Lorsqu'il met fin à sa carrière d'entraîneur, Auerbach totalise 938 victoires en National Basketball Association (NBA) et neuf titres de champion NBA (second entraineur le plus titré après les onze titres de Phil Jackson). En dix-sept saisons d'entraineur, il a toujours qualifié son équipe pour les playoffs. Comme directeur général et président des Celtics de Boston, il ajoute sept autres titres NBA pour un total de 16 championnats remportés en 29 saisons, faisant de lui l'un des dirigeants les plus titrés de l'histoire du sport nord-américain.
Auerbach est considéré comme l'un des pionniers du basket-ball moderne, orienté vers une défense dure, un grand nombre de points marqués et introduisant la contre-attaque comme une des principales tactiques offensives. Durant sa carrière, il dirige de nombreux joueurs qui sont désormais au Basketball Hall of Fame. Auerbach élimine un certain nombre de barrières ethniques dans le basket-ball américain. Il est le premier dirigeant à avoir recruté un joueur noir en NBA, Chuck Cooper en 1950, et met sur le terrain la première équipe titulaire composée uniquement de joueurs noirs en 1964. Connu pour fumer un cigare quand il pense la victoire assurée, cette habitude est devenue un des symboles de la victoire des Celtics de Boston.
En 1967, la récompense NBA Coach of the Year, qu'Auerbach a remporté en 1965, est renommé le « Red Auerbach Trophy », et Auerbach est introduit au Basketball Hall of Fame en 1969. En 1980, il est désigné comme le meilleur entraîneur de l'histoire de la NBA par la Professional Basketball Writers Association of America et NBA Executive of the Year en 1981. De plus, Auerbach est l'un des 10 plus grands entraîneurs de l'histoire de la NBA. Le maillot 2 des Celtics de Boston a été retiré en son honneur.
À l'occasion de cette course inaugurale, le pilote allemand Sebastian Vettel, déjà titré double champion du monde avant même l'issue de la saison, réalise le premier « grand chelem » de sa carrière. En effet, en plus d'ajouter ce nouveau Grand Prix à son palmarès, il décroche la pole position, mène l'intégralité de la course et réalise le meilleur temps au tour. Sur le podium, il est accompagné de Jenson Button, deuxième du championnat du monde et de Fernando Alonso qui termine troisième. Avec 374 points contre 240 pour son plus proche poursuivant, Vettel accroît encore son avance en tête du classement. À l'issue du Grand Prix, dix-neuf des vingt-huit pilotes en lice au championnat du monde ont inscrit au moins un point.
Chez les constructeurs, l'écurie Red Bull Racing, déjà sacrée championne du monde, augmente encore son capital en tête du classement : avec un total de 595 points, l'équipe autrichienne devance McLaren Racing (442) et Ferrari (325). À l'issue de ce Grand Prix, neuf des douze écuries en lice au championnat ont marqué des points, Team Lotus, Virgin et HRT n'ayant toujours pas atteint le niveau de performance suffisant.
Il débute le football dans le club de la Jeanne d'Arc le Béarn de Pau. Après avoir remporté le concours du jeune footballeur en 1964, Jean-Michel Larqué est repéré par l'AS Saint-Étienne. Il rejoint l'équipe première en 1966 et en devient le capitaine quelques années plus tard. Remportant de nombreux trophées sur la scène nationale avec l'équipe stéphanoise, il participe à l'« épopée des Verts » et échoue en finale de la Coupe d'Europe des clubs champions contre le Bayern Munich en 1976. Un an plus tard, il signe au Paris Saint-Germain où il devient entraîneur-joueur. Après deux ans dans le club de la capitale, il termine sa carrière dans le club du Racing club de Paris où il est de nouveau entraîneur-joueur. Il met un terme à sa carrière professionnelle en 1983.
En équipe de France, Jean-Michel Larqué joue 14 matchs et inscrit 2 buts entre 1969 et 1976. Il participe aux Jeux olympiques de 1968 à Mexico, puis à la Coupe de l'Indépendance du Brésil en 1972 lors de laquelle la France est éliminée de la phase de poule. À trois reprises, il est capitaine de l'équipe nationale. Jean-Michel Larqué est élu meilleur joueur français de l'année par ses pairs en 1975 et reçoit la médaille de l'Académie des sports en 1975. Il est également major de sa promotion d'entraîneur.
Il devient en 1979 commentateur sportif sur Antenne 2 aux côtés de Thierry Roland. En parallèle, il est journaliste pour le mensuel Onze Mondial à partir de 1980 puis rédacteur en chef de ce magazine jusqu'en 2001. Après avoir quitté Antenne 2 pour TF1, il poursuit sa carrière de commentateur toujours aux côtés de Thierry Roland, avec lequel il forme l'un des duos les plus célèbres de la télévision française. Leur duo et la célèbre phrase de Larqué « Tout à fait Thierry » inspirent les Guignols qui créent leurs marionnettes en 1992. Président du district de football des Pyrénées-Atlantiques depuis 2006, il est le commentateur des matchs de football sur TF1 avec Thierry Roland entre 1985 et 2005 puis Thierry Gilardi entre 2005 et 2008 et enfin Christian Jeanpierre entre 2008 et 2010. Jean-Michel Larqué quitte TF1 à l'issue de la Coupe du monde 2010. En 2011, son duo avec Thierry Roland est reformé sur M6. Aujourd'hui, Il est animateur radio de l'émission Larqué Foot sur la radio RMC.
Larry Joe Bird, parfois surnommé « Larry Legend » ou « gold hand » ou « the Hick from French Lick », est un joueur, entraîneur et dirigeant de basket-ballaméricain né le à West Baden Springs, dans l'Indiana.
Larry Bird est distingué à trois reprises du titre de meilleur joueur de la ligue (NBA Most Valuable Player Award) et, à deux reprises, du titre de meilleur joueur des finales NBA (NBA Finals Most Valuable Player Award). En 1998, il est introduit au Basketball Hall of Fame, le Temple de la renommée du basket-ball, et en 2010, figure une seconde fois au palmarès de celui-ci en qualité de membre de la Dream Team.
À l'issue de sa carrière de joueur, Larry Bird effectue une courte carrière d'entraîneur, récompensée du titre d'entraîneur de l'année, NBA Coach of the Year, en 1998, et atteignant les Finales NBA en 2000.
La Fédération sportive et culturelle de France (FSCF) est un organisme fondé en 1898 par le docteur Paul Michaux sous le nom d’Union des sociétés de gymnastique et d’instruction militaire des patronages et œuvres de jeunesse de France, vite remplacé par celui de Fédération gymnastique et sportive des patronages de France, afin de regrouper les nombreux patronages paroissiaux qui se développent à la fin du XIXe siècle. Si elle puise ses lointaines origines dans le christianisme social du XIXe siècle, elle doit sa véritable reconnaissance nationale à sa participation active — à travers la gymnastique et la préparation militaire — à l’effort de redressement national qui marque les débuts du XXe siècle dans un contexte délicat pour elle et marqué par l’anticléricalisme. Elle contribue cependant déjà à l’éclosion des sports et plus particulièrement du football ainsi qu’à la fondation de la Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive.
Bénéficiant de la reconnaissance d’utilité publique par décret du 31 mars 1932, elle connaît entre les deux guerres un développement exceptionnel qui en fait alors un temps la première fédération française. Elle change de nom peu après la Libération mais ses associations, jusqu’ici intimement liées aux paroisses, se trouvent souvent confrontées à une mise à distance par ces dernières. La Fédération sportive de France, qui s’est jusqu’ici limitée à la seule organisation des spécialités sportives, prend alors en charge l’ensemble de leurs activités et change à nouveau son nom pour celui de Fédération sportive et culturelle de France en 1968.
Quelque peu contestée au sein du monde catholique lors de la mise en œuvre du concile Vatican II, elle ressent la nécessité de se définir clairement à travers un document d’orientation fondamental et, sans renoncer à ses références initiales, se fixe aujourd’hui pour but la formation de citoyens et citoyennes, acteurs responsables des modifications de la société. Elle reste clairement d’obédience chrétiennecatholique mais accueille tous les publics dans un esprit d’ouverture laïque : respect, partage et prise en compte de chacun dans l’acceptation et l’expression de sa personnalité fondamentale.
Il joue un total de douze saisons avec cette franchise et remporte alors cinq Coupes Stanley, le plus prestigieux des trophées du monde du hockey. Il fait ainsi partie de la dynastie des Canadiens qui gagne quatre coupes consécutives dans les années 1970. En 1976-1977, Shutt est une des figures dominantes de l’équipe des Canadiens qui ne perd que huit parties durant la saison. Jouant aux côtés de Jacques Lemaire et Guy Lafleur, le meilleur trio de la Ligue à l’époque, Shutt marque soixante buts, un record pour un ailier gauche.
Cette monoplace, conçue par Mario Tolentino et Bruno Zava, est directement inspirée de l'Alfa 184T de la saison 1984. Bien que réalisée en fibre de carbone, elle n'en demeure pas moins pataude et peu réussie aérodynamiquement, trahissant dès sa présentation son origine remontant à plusieurs années.
En trente-deux engagements, ses pilotes ne terminent que huit courses et n'inscrivent aucun point en championnat du monde. Ces piètres résultats poussent Giampaolo Pavanello, co-fondateur de l'écurie, à prendre ses distances avec l'écurie qui n'engage plus qu'une seule monoplace en 1989 faute de moyens financiers suffisants.
Issu d'une famille kanake de dix-huit enfants native de Lifou, il fait ses débuts avec le FC Gaitcha à Nouméa avant de partir au centre de formation du FC Nantes. Il obtient son premier contrat professionnel avec ce club en 1990 et se révèle en remportant le titre de champion de France en 1995. Il part ensuite jouer en Italie à la Sampdoria de Gênes où il reste deux saisons. En 1997, il est transféré au Real Madrid et remporte la Ligue des champions en 1998.
Après un court passage dans le club anglais de Middlesbrough, il s'exile en Grèce à l'Olympiakos où il remporte le championnat en 2002 et 2003. En 2004, il rejoint le Servette de Genève mais, suite à des problèmes financiers, il quitte le club helvète quelques mois après. Il annonce sa retraite de joueur le après six mois passés au SC Bastia.
Surnommé le Cheval fou, Christian Karembeu devient populaire en remportant deux titres majeurs avec l'équipe de France : la Coupe du monde en 1998 et le Championnat d'Europe en 2000. Mais sa notoriété est surtout due à sa relation avec le mannequin slovaque Adriana Sklenaříková entre 1998 et 2011...
L'épreuve de rugby à XV aux Jeux olympiques d'été de 1920 est la troisième édition depuis l'introduction du rugby à XV comme sport olympique aux Jeux de 1900. En raison du désistement de dernière minute de la Tchécoslovaquie et de la Roumanie, une seule rencontre est disputée entre l'équipe des États-Unis et l'équipe de France le 5 septembre. Les Américains deviennent champions olympiques en battant les Français sur le score de 8 à 0. Un match de revanche est organisé le 10 octobre suivant et les Français dominent 14 à 5 les Californiens, surnom donné à l'équipe américaine qui est composée essentiellement d'étudiants des universités californiennes.
La Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive (FICEP) est une organisation non gouvernementale internationale regroupant les fédérations sportives catholiques nationales européennes et africaines. Elle est fondée entre 1906 et 1911, sous le nom d’Union internationale des œuvres catholiques d’éducation physique (UIOCEP), à la demande du pape Pie X et à l’initiative conjointe des fédérations italienne, belge et française.
Elle est alors présidée par un garde noble du Vatican, Mario di Carpegna, qui laisse la place en 1919 pour se consacrer à la structuration du scoutismecatholique italien puis international. Entre les deux guerres, alors qu'on enregistre l'adhésion des pays d'Europe orientale, celle de l'Allemagne pose longtemps problème à la Belgique et aux Alsaciens de la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France. Il faut toute la diplomatie de Félix van de Kerkhove et Armand Thibaudeau, respectivement président et secrétaire général, ainsi que la signature du traité de Locarno pour y aboutir en 1927.
Après la guerre 1939-1945, l'Union internationale des œuvres catholiques d’éducation physique devient Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive. La décolonisation française entraîne l'adhésion d'une nouvelle nation, Madagascar, et la chute du mur de Berlin le retour des nations d'Europe orientale disparues avec l'Armistice et la conférence de Yalta. En dépit de l'adhésion récente du Gabon, la Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive reste une fédération essentiellement européenne.
L’apparition des fédérations sportives spécialisées après la Première Guerre mondiale ne semble pas lui poser de problèmes contrairement à l’Union des sociétés françaises de sports athlétiques qui disparaît de la scène nationale. La Fédération gymnastique et sportive des patronages de France connaît même alors un développement exceptionnel, dans le domaine du basket-ball en particulier.
Sa capacité, qui fut de près de 11 500 places au tournant des années 1990, a été réduite à 5 000 suite au départ de l'équipe première malherbiste, puis augmentée en 2011 à 7 000 places pour le tournoi des six nations des moins de 20 ans.
Le vélodrome est équipé d'une piste de ciment recouverte de résine, longue de 400 mètres et large de 5,90 mètres.
Le stade est toujours utilisé à par l'équipe réserve du Stade Malherbe Caen et les équipes de jeunes du club. Il sert également de terrain d'entraînement à l'école de cyclisme de l'Étoile sportive caennaise.
Chainons manquants
Sélection partielle et partiale d'articles manquants sur la wikipédia en français :
Vous pouvez recevoir le Projet:Sport Hebdo en version complète ou en version annonce sur votre page de discussion dès qu'un nouveau numéro est publié. Pour cela, il vous suffit de laisser votre pseudo ici.
Par contre nous demandons aux lecteurs d'archiver leurs pages de discussion (lien vers l'aide concernant l'archivage) parce que certaines PdD mettent pas mal de temps à charger et c'est un gros souci pour la distribution...
Anciens numéros
Anciens numéros
N°1 (14 juillet 2008) • N°2 (21 juillet 2008) • N°3 (28 juillet 2008) • N°4 (28 août 2008) • N°5 (1 septembre 2008) • N°6 (21 septembre 2008) • N°7 (6 avril 2009) • N°8 (13 avril 2009) • N°9 (20 avril 2009) • N°10 (27 avril 2009) • N°11 (4 mai 2009) • N°12 (11 mai 2009) • N°13 (18 mai 2009) • N°14 (25 mai 2009) • N°15 (1er juin 2009) • N°16 (8 juin 2009) • N°17 (15 juin 2009) • N°18 (18 juillet) • N°19 (25 juillet) • N°20 (1er août) • N°21 (8 août) • N°22 (15 août) • N°23 (22 août) • N°24 (29 août) • N°25 (5 septembre) • N°26 (14 septembre) • N°27 (19 septembre) • N°28 (5 octobre) • N°29 (26 octobre) • N°30 (3 novembre) • N°31 (13 novembre) • N°32 (19 novembre) • N°33 (27 novembre) • N°34 (2 décembre) • N°35 (7 décembre) • N°36 (9 décembre) • N°37 (14 décembre) • N°38 (16 décembre) • N°39 (21 décembre) • N°40 (23 décembre) • N°41 (26 décembre) • N°42 (28 décembre 2009) • N°43 (4 janvier 2010) • N°44 (8 janvier 2010) • N°45 (15 janvier 2010) • N°46 (16 janvier 2010) • N°47 (24 janvier 2010) • N°48 (31 janvier 2010) • N°49 (2 février 2010) • N°50 (5 février 2010) • N°51 (7 février 2010) • N°52 (8 février 2010) • N°53 (16 février 2010) • N°54 (18 février 2010) • N°55 (19 février 2010) • N°56 (24 février 2010) • N°57 (26 février 2010) • N°58 (27 février 2010) • N°59 (28 février 2010) • N°60 (7 mars 2010) • N°61 (10 mars 2010) • N°62 (15 mars 2010) • N°63 (17 mars 2010) • N°64 (19 mars 2010) • N°65 (26 mars 2010) • N°66 (2 avril 2010) • N°67 (9 avril 2010) • N°68 (19 avril 2010) • N°69 (26 avril 2010) • N°70 (3 mai 2010) • N°71 (10 mai 2010) • N°72 (12 mai 2010) • N°73 (13 mai 2010) • N°74 (15 mai 2010) • N°75 (17 mai 2010) • N°76 (24 mai 2010) • N°77 (31 mai 2010) • N°78 (7 juin 2010) • N°79 (14 juin 2010) • N°80 (21 juin 2010) • N°81 (24 juin 2010) • N°82 (30 juin 2010) • N°83 (4 juillet 2010) • N°84 (10 juillet 2010) • N°85 (7 août 2010) • N°86 (30 août 2010) • N°87 (2 septembre 2010) • N°88 (5 septembre 2010) • N°89 (12 septembre 2010) • N°90 (18 septembre 2010) • N°91 (27 septembre 2010) • N°92 (2 octobre 2010) • N°93 (4 octobre 2010) • N°94 (8 octobre 2010) • N°95 (15 octobre 2010) • N°96 (22 octobre 2010) • N°97 (29 octobre 2010) • N°98 (6 novembre 2010) • N°99 (12 novembre 2010) • N°100 (29 novembre 2010) • N°101 (22 décembre 2010) • N°102 (26 décembre 2010) • N°103 (30 décembre 2010) • N°104 (2 avril 2011) • N°105 (13 avril 2011) • N°106 (16 avril 2011) • N°107 (23 avril 2011) • N°108 (30 avril 2011) • N°109 (7 mai 2011) • N°110 (15 mai 2011) • N°111 (28 mai 2011) • N°112 (3 juin 2011) • N°113 (5 juin 2011) • N°114 (11 juin 2011) • N°115 (18 juin 2011) • N°116 (21 juin 2011) • N°117 (25 juin 2011) • N°118 (29 juin 2011) • N°119 (2 juillet 2011) • N°120 (9 juillet 2011) • N°121 (16 juillet 2011) • N°122 (23 juillet 2011) • N°123 (24 juillet 2011) • N°124 (30 juillet 2011) • N°125 (6 août 2011) • N°126 (13 août 2011) • N°127 (26 août 2011) • N°128 (27 août 2011) • N°129 (3 septembre 2011) • N°130 (9 septembre 2011) • N°131 (17 septembre 2011) • N°132 (24 septembre 2011) • N°133 (1er octobre 2011) • N°134 (8 octobre 2011) • N°135 (15 octobre 2011) • N°136 (27 octobre 2011) • N°137 (29 octobre 2011) • N°138 (11 novembre 2011) • N°139 (12 novembre 2011) • N°140 (26 novembre 2011) • N°141 (17 décembre 2011) • N°142 (24 décembre 2011) • N°143 (1er janvier 2012) • N°144 (25 février 2012) • N°145 (1er mars 2012) • N°146 (11 avril 2012) • N°147 (16 avril 2012) • N°148 (23 avril 2012) • N°149 (30 avril 2012) • N°150 (7 mai 2012)