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La Baie est un des trois arrondissements urbains de la ville de Saguenay, au Québec (Canada). Avant les réorganisations municipales québécoises de 2002, il était reconnu comme Ville de la Baie, une municipalité regroupant les secteurs Grande-Baie, Bagotville et Port-Alfred depuis 1976.
Située sur les rives de la baie des Ha! Ha!, plus particulièrement aux embouchures de la rivière Ha! Ha! et de la Rivière-à-Mars, La Baie fut le premier pôle colonisé de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean lorsque la Société des Vingt et un s’y est installée en 1838. La grande profondeur navigable de la baie des Ha! Ha!, même près de ses rives, a permis de développer rapidement les installations portuaires les plus importantes de la région à la suite de l’arrivée du chemin de fer en 1910.
Lumière
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Le Musée du fromage cheddar est une institution muséale située à Saint-Prime. Sa mission est de diffuser l'histoire de l'ancienne fromagerie Perron et de la production du fromage artisanal au Québec à la fin du XIXe siècle et au début XXe siècle. Le musée loge dans le bâtiment de l'ancienne fromagerie Perron de Saint-Prime, un édifice construit en 1895 et dernier témoin des fromageries artisanales qui existaient au Québec à la fin du XIXe siècle. Le musée rapelle l'histoire des trois générations de la famille Perron, une famille de fromagers artisans qui fut active de 1895 à 1968. L'édifice de l'ancienne fromagerie Perron a été reconnu bien culturel du Québec le 24 octobre 1989. La collection du musée est constituée de plus de 650 objets, en particulier des instruments destinés à la fabrication du cheddar de façon artisanale et à l'exportation de celui-ci. La collection comprend aussi des pièces de mobilier, de la vaisselle et des ustensiles de cuisine ayant appartenus à la famille Perron lorsqu'elle résidait dans l'édifice vers la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. |
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La rivière Ashuapmushuan, autrefois appelée Chamouchouane, est une rivière qui alimente le lac Saint-Jean. Elle prend sa source dans le lac Ashuapmushuan et coule vers le sud-est pour se déverser dans le lac Saint-Jean. Son nom, d'origine innu, signifie « Là l'où on guette l'orignal ». Du XVIIe siècle au XIXe siècle, la rivière était utilisée dans la route des fourrures. Les coureurs des bois et les innus s'en servaient pour le transport de marchandises dans la traite des fourrures. Aujourd'hui, la route 169 enjambe l'Ashuapmushuan à la hauteur de la ville de Saint-Félicien, fondée sur ses berges à la fin du XIXe siècle. C'est le seul affluent du lac Saint-Jean qui n'a toujours pas subi de construction de barrage et une des dernières rivières vierges au Québec. Hydro-Québec a considéré un projet d'harnachement pour finalement l'abandonner après plusieurs années d'études. |
3 | Le climat du Saguenay-Lac-Saint-Jean diffère assez sensiblement du climat type du bouclier canadien qui l'entoure par deux facteurs typiques de vallée basse ou de fjord : la faible altitude, ici d'une zone déprimée entre plateaux du Labrador au nord et des Laurentides au sud, et la présence importante de masses d'eau sous forme de lacs, fleuve et rivières, plans d'eau exerçant en bonne saison un volant d'inertie thermique. Ces facteurs climatiques plus favorables peuvent être rapprochés, à moindre amplitude toutefois, des conditions caractéristiques de la vallée de l'Okanagan en Colombie-britannique et des basses-terres du Saint-Laurent par rapports aux terres surélévées qui les cernent.
Cette région québécoise dont les habitats denses sont situés entre le 48° et 49° de latitude nord est habituellement divisée en deux zones climatiques de part et d'autre du lac Saint-Jean. |
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La rivière Saguenay prend sa source dans le lac Saint-Jean et se jette dans le fleuve Saint-Laurent le long d'un parcours ouest-nord-ouest à est-sud-est de 155 km. Son bassin hydrographique draine une bonne partie du centre de la province et s'étend sur 698 km de long, depuis la source de la rivière Péribonka jusqu'au fleuve. Le Saguenay prend son origine immédiatement après le barrage Isle-Maligne à Alma. Il est alors divisé en deux : la Petite et la Grande Décharge. C'est lorsque ces deux cours d'eau se rencontrent que le Saguenay débute véritablement. |
5 | Les Saguenéens de Chicoutimi est un club de hockey sur glace de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ) depuis 1973 et sont la propriété de la Ville de Saguenay. C'est l'une des plus vieilles équipes de la ligue. Le nom du club fut choisi en l'honneur de l'équipe du même nom qui évolua au début du XXe siècle et dont le gardien fut Georges Vézina en 1909. Basée à Saguenay au Saguenay-Lac-Saint-Jean, l'équipe évolue au Centre Georges-Vézina.
C’est en 1972 qu’un groupe souhaite doter Chicoutimi d’une équipe dans la LHJMQ. Ses actionnaires (Gilles Tremblay, Gaston Sénéchal, Jean-Marc Caron, Jean-Marc Lavoie, Gervais Lepage, Roland Hébert, Denis Cantin, Jacques Gagnon, Georges Quenneville, Jules Bouchard et Dan Walker) savaient que le défi était énorme, mais que le jeu en valait la chandelle. Après de nombreuses discussions, on accorda une franchise à la ville de Georges Vézina; les Saguenéens étaient nés. |
6 | Le parc national de la Pointe-Taillon, d'une superficie de 92,20 km2, est situé à une trentaine de kilomètres au nord-ouest d'Alma, près du village de Saint-Henri-de-Taillon, sur les rives du lac Saint-Jean. Le parc a pour mission de protéger un échantillon représentatif des basses-terres du Saguenay–Lac-Saint-Jean. En plus de posséder l'une des plages les plus renommées du lac, le parc protège les marais situés entre la rivière Péribonka et le lac. Aucune route n'étant présente dans le parc, la meilleure façon de l'explorer est le vélo ou la randonnée pédestre. Le parc possède plusieurs tourbières typiques de la forêt boréale ainsi qu'une population abondante d'orignaux et de castors.
Le parc est géré par le gouvernement québécois à travers la Société des établissements de plein air du Québec (SÉPAQ). |
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La route 169 est une route nationale québécoise d'orientation nord/sud. Elle dessert les régions de la Capitale-Nationale et du Saguenay-Lac-Saint-Jean. La route 169 débute en plein cœur de la réserve faunique des Laurentides où elle se sépare de la route 175 au km 166. À partir d'Hébertville, elle fait une boucle sur elle-même autour du Lac Saint-Jean. Les trajets (l'un vers Alma et l'autre vers Roberval), sont en direction nord jusqu'au 10e Rang de Girardville. Elle est aussi classée comme route collectrice du Canada entre les kilomètres 86,0 et 94,9 (Jonction 170 est vers Saguenay au boulevard Auger à Alma et les kilomètres 272,4 et 292,6 (jonction de la 155 vers La Tuque à la jonction 170 à Métabetchouan–Lac-à-la-Croix). |
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Le Grand feu du Saguenay–Lac-Saint-Jean est un incendie qui s'est propagé au cours du printemps 1870 sur environ 3 800 km2 de la région. Probablement provoqué par des abattis, le feu débuta près de la rivière à l'Ours à Saint-Félicien vers onze heures le pour s'étendre jusqu'à Baie des Ha! Ha!, à 120 kilomètres, en 2 heures. Les habitants se réfugient dans des caveaux ou dans des cours d'eau. Le soir, vers six heures, tout se calme. Bilan : 555 familles sans logis et ayant tout perdu (ferme, animaux, récolte…) et 146 avec des pertes importantes. Ces 700 familles représentaient 30% de la population. 5 personnes perdirent la vie. |
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Gérard Bouchard ( -) est un historien, un sociologue et un écrivain québécois. Natif de Jonquière, il étudie à la faculté des sciences sociales de l'Université Laval de Georges-Henri Lévesque avec Fernand Dumont et Léon Dion. Après avoir obtenu une maîtrise en sociologie en 1968, il entre à l'Université de Paris et obtient son doctorat en histoire en 1972 (thèse publiée en 1972 par la Librairie Plon, à Paris, sous le titre Le Village immobile : Sennely-en-Sologne au XVIIIe siècle). Devenu professeur à l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), il publie sur la génétique des populations et la démographie du Québec. Bouchard est le créateur de l'Institut interuniversitaire de recherches sur les populations (IREP). Il est aussi le frère de l'ex-premier ministre Lucien Bouchard. Avec son essai Genèse des nations et cultures du nouveau monde, il a pris la tête de l'école historique néo-nationaliste. Le chercheur Ronald Rudin lui a reproché d'être un révisionniste, insistant sur le désir de celui-ci de démontrer que le Québec est une société à l'heure normale de l'occident. Le , il est nommé co-président de la Commission de consultation sur les pratiques d'accommodement reliées aux différences culturelles. Intellectuel engagé dans les débats de la cité, il est très présent dans les médias. |
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Dominique Racine (1828-1888) fut le premier évêque de Chicoutimi. Né à Saint-Ambroise-de-la-Jeune-Lorette, diocèse de Québec, il est le fils de Michel Racine et de Louise Pépin. Ordonné à Québec le , il est vicaire à Québec en 1858, curé de Saint-Basile en 1859, de Saint-Patrice-de-la-Rivière-du-Loup en 1862. Il fonda en 1873 le Séminaire de Chicoutimi. Il sert à titre vicaire-forain et curé de Chicoutimi. Léon XIII le nomme évêque de Chicoutimi le . Il est sacré sous ce titre dans la basilique de Québec le 4 août suivant par l'archevêque de Québec, Elzéar-Alexandre Taschereau. |
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Julien-Édouard-Alfred Dubuc ( - ) est un homme d'affaires et homme politique canadien surtout reconnu pour son rôle considérable dans le développement économique et industriel de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean. De 1896 à 1922, il est à la tête de la Compagnie de Pulpe de Chicoutimi, la première entreprise canadienne-française multinationale œuvrant dans le domaine des pâtes et papiers. Ardent défenseur de l’émancipation économique des canadiens-français, il encouragera la formation des premiers syndicats catholiques dans son entreprise et sera le député fédéral de la circonscription Chicoutimi—Saguenay (1925-1945) et le maire de Chicoutimi (1934-1936). |
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Alexis Lapointe, dit Alexis le Trotteur (La Malbaie, 4 juin 1860 - Alma, 12 janvier 1924) est un athlète québécois amateur du début du XXe siècle. Il est devenu un personnage du folklore québécois. Bien que l'identité exacte de l'homme connu sous le surnom d'Alexis le Trotteur soit sujette à débat, la plupart des historiens s'entendent pour dire qu'il s'agit en fait d'Alexis Lapointe, né en 1860 à Saint-Étienne-de-La Malbaie ou Clermont, dans la région de Charlevoix, dans une famille de 14 enfants. Très tôt, il se distingue comme un original persuadé qu'il était en fait un étalon né sous une forme humaine. Enfant, il fabrique des chevaux de bois et s'amuse à les faire courir. Dès l'adolescence, il se fouette afin de stimuler ses muscles et entreprend de longs voyages dans sa région natale à l'instar de son animal fétiche. Sa famille accepte mal son excentricité : Alexis quitte le toit paternel à l'âge de 18 ans. Il passera le restant de sa vie sur la route. |
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Jean Tremblay est un homme politique de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Notaire de profession et homme d'affaires, il est élu maire de Chicoutimi en 1997. Après les réorganisations municipales québécoises, il devient le premier magistrat de la ville de Saguenay le . Son mandat est renouvelé lors des élections de avec 72 % des voix et de nouveau en novembre 2009 avec 78 % d'appui. À la fin des années 1990, il est un ardent défenseur de la fusion des sept municipalités (Chicoutimi, Jonquière, La Baie, Laterrière, une portion du territoire de Canton-Tremblay, Lac-Kénogami et Shipshaw) en la nouvelle ville de Saguenay. Il publie Le courage de changer les choses, un document visant à expliquer et convaincre les citoyens de l’utilité et les avantages de créer la nouvelle ville de Saguenay. |
14 | À Saint-Jean-Vianney, le , un glissement de terrain majeur entraîne une partie de la municipalité. Situé à l'Est de la rivière Shipshaw, le hameau compte 1308 habitants lors de l'évacuation de mai 1971. Le glissement de terrain fait 31 morts.
Le soir du 4 mai 1971, il était 22 h 50, en pleines séries éliminatoires au hockey. Les Canadiens de Montréal jouaient contre les Blackhawks de Chicago. Télédiffusée tard le soir, cette série a gardé plusieurs personnes éveillées, ce qui a sauvé quelques vies. Tout à coup, un bruit bizarre se fit entendre et les gens sortirent à l'extérieur par curiosité. Ils constatèrent que la terre bougeait sous leurs pieds. Une partie du village de Saint-Jean-Vianney était en train de s'effondrer. La population, dans la noirceur et ne sachant même pas ce qui se passait, fut prise de panique. Durant la nuit, une quarantaine de maisons et une trentaine d'autos furent engouffrés dans un énorme trou de boue. Le cratère couvrait une superficie d'environ quatre-vingts acres et sa profondeur variait entre cinquante et cent pieds. Quinze millions de tonnes d'argile et de sable furent emportés jusqu'à la rivière Saguenay. Une seule victime du glissement fut retrouvée durant la nuit, sur le toit d'une automobile. Le torrent de boue alla même jusqu'à emporter le pont de la ville allant vers Chicoutimi Nord. |
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Le Zoo sauvage de Saint-Félicien est un jardin zoologique situé à Saint-Félicien. Il est géré par le Centre de conservation de la biodiversité boréale inc. (CCBB) et se consacre à la conservation de la faune boréale. Toutes les espèces représentées appartiennent à la boréalie. Le zoo a été fondé en 1960 à l'initiative de M. Ghislain Gagnon comme un zoo traditionnel, comprenant des animaux nord-américains et exotiques. En 1972, on y ajoute les sentiers de la nature et six villages historiques : le camp du bûcheron, la ferme du colon, le poste de traite, le camp du traiteur, le village amérindien et le ranch de l’Ouest. En 1995, la collection d'animaux exotiques est abandonnée et le zoo se concentre sur la faune nord-américaine. En 2001, le Centre de conservation de la biodiversité boréale est fondé et l'accent est mis sur les animaux de la zone boréale ainsi que sur la recherche visant à préserver la biodiversité boréale. |
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Victor Delamarre (né le 24 septembre 1888 à Hébertville - mort le 13 mars 1955) était un haltérophile. Il est surtout connu pour avoir réussi à effectuer un dévissé d'un seul bras une masse de 140 kg, soulevant de ce fait le double de sa masse. Il mesurait 166,5 cm. Dès l'âge de 13 ans, il pratique des sports tels que la boxe et la lutte et il commence à travailler sur la ferme. Un jour, le contremaître des travaux de construction d'une voie ferrée au Lac-Bouchette le mit au défi de soulever jusqu'à ses genoux un morceau de rail qui mesurait 9 m et qui avait une masse dans l'ordre des 250 kg. À la surprise de tous, Delamarre leva le rail. Il se fixa un objectif : devenir le premier homme fort en surpassant son idole, Louis Cyr. Quand il eut dans la vingtaine, Victor Delamarre quitta son village pour aller vers la métropole, Montréal. Il y rencontra plusieurs hommes forts comme Décarrie, Cabana, Barré, et Louis Cyr peu avant sa mort. Malgré sa taille inadéquate, Delamarre entra dans les forces constabulaires de Montréal en 1912. Ils durent biaiser les registres pour le laisser entrer, voyant bien que c'était ce que l'on appelait, une « armoire à glace ». |
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Les églises blanches ou églises blanches du Saguenay est un courant mineur de l'architecture religieuse nord-américaine des années 1950 et 1960. Ce style particulier créé par les architectes Paul-Marie Côté et Jacques Coutu, basés à Chicoutimi, est à l'origine de l'implantation du modernisme, notamment le brutalisme et l'expressionnisme formel, dans l'architecture religieuse en Amérique du Nord. Ces églises sont principalement concentrée dans la région du Saguenay, au Québec (Canada). On en retrouve également quelques unes au Lac Saint-Jean, à Chibougamau ainsi que dans la région de Québec. |
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Le Valinouët est une station de sports d'hiver située dans les monts Valin, à environ 50 km au nord de la ville de Saguenay. On y pratique le ski alpin, le snowboard, la glissade en tube, le ski de fond et la raquette à neige. Le Valinouët est situé dans un secteur où la neige est très abondante, c'est pourquoi l'enneigement artificiel n'est pas nécessaire, d'où le slogan : 100% neige naturelle. La station est actuellement opérée par une coopérative de travailleurs, suite à une impasse financière survenue dans la première moitié des années 1990. |
19 | Le parc national de la Pointe-Taillon, d'une superficie de 92,20 km2, est situé à une trentaine de kilomètres au nord-ouest d'Alma, près du village de Saint-Henri-de-Taillon, sur les rives du lac Saint-Jean. Le parc a pour mission de protéger un échantillon représentatif des basses-terres du Saguenay–Lac-Saint-Jean. En plus de posséder l'une des plages les plus renommées du lac, le parc protège les marais situés entre la rivière Péribonka et le lac. Aucune route n'étant présente dans le parc, la meilleure façon de l'explorer est le vélo ou la randonnée pédestre. Le parc possède plusieurs tourbières typiques de la forêt boréale ainsi qu'une population abondante d'orignaux et de castors. Le parc est géré par le gouvernement québécois à travers la Société des établissements de plein air du Québec.
Le parc est en lui-même une pointe sablonneuse au relief presque plat. La pointe a été formée par un Delta post-glaciaire formé il y a 7 000 à 5 000 ans par partir des dépôts de la rivière Péribonka. Le centre de la pointe est une immense tourbière et les pourtours comprennent de nombreux marécages et milieux humides. |
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Le Centre québécois de formation aéronautique (CQFA) est l'unique école publique au Québec où l'on peut avoir accès à une formation en pilotage d'aéronefs. Les étudiants reçoivent un Diplôme d'études collégiales (D.E.C.) en pilotage d'aéronefs. Situé à proximité de l'aéroport de Saint-Honoré, dont il utilise les installations, le centre compte un total d'environ 120 étudiants et utilise une flotte d'une vingtaine d'aéronefs pour la formation. Sa création remonte à 1968. Le CQFA est la seule école publique canadienne à offrir des cours de pilotage en français et le seul centre de formation aéronautique des trois Amériques à offrir une formation complète sans frais pour les candidats inscrits. Il s'agit de l'une des cinq écoles nationales du Québec. Plus d'un millier de gradués du CQFA sillonnent le ciel de la planète. |
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L’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) est une université francophone située au cœur de Chicoutimi, un arrondissement de la ville de Saguenay. Elle est affiliée à l'Université du Québec (UQ). Fondée en 1969, elle figure parmi les plus modernes au Québec. Outre son campus principal, l'université possède des centres d'études à La Malbaie, Saint-Félicien, Alma et Sept-Îles. En 2004, 6 648 étudiants y étaient inscrits, ce qui en fait la troisième des dix institutions membres de l'UQ, après l'UQAM et l'UQTR. Ses chercheurs en technologies de l'aluminium, en foresterie, en études sur le givrage, en géologie et en histoire des populations sont particulièrement bien reconnus. |
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Alma est une municipalité du Québec située au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Elle fait partie de la MRC de Lac-Saint-Jean-Est, dont elle est le chef-lieu. Le recensement de 2006 y dénombre 30 000 habitants. Alma est la principale ville de la région du Lac-Saint-Jean. Elle constitue la deuxième ville en importance de la région administrative du Saguenay–Lac-Saint-Jean, après Saguenay et la dix-huitième agglomération en importance dans la province de Québec. Alma porte le surnom de « Cité de l'hospitalité » et sa devise latine est « Crescit Undo » qui peut se traduire par « Sa croissance accompagne son mouvement ». |
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Les monts Valin ou monts Sainte-Marguerite sont un massif montagneux de la chaîne des Laurentides situé sur la rive nord du fleuve Saint-Laurent et de la rivière Saguenay, à 35 km au nord-est de Ville de Saguenay au Québec (Canada). Composé d'une dizaine de sommets qui surplombent le Saguenay–Lac-Saint-Jean, son point culminant est le pic Dubuc du mont Valin qui culmine à 980 mètres. Le massif couvre une superficie de 6 900 km2 qui est protégé sur 153,60 km2 par le parc national des Monts-Valin. Le reste de la superficie est principalement englobé par le territoire non organisé de Mont-Valin et la Zone d'exploitation contrôlée Martin-Valin. Ces montagnes marquent la limite septentrionale du graben du Saguenay. |
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Roberval est une ville canadienne de la province de Québec située dans la municipalité régionale de comté du Domaine-du-Roy et dans la région administrative de Saguenay–Lac-Saint-Jean. Roberval a été fondée en 1855 par Thomas Jamme. Portant le nom du premier lieutenant général des pays de Canada, Jean-François de La Rocque, sieur de Roberval (Carcassone 1500 - Paris 1561), la ville de Roberval fut fondée en 1859. Les fêtes du 150e anniversaire célébrées en 2005 ne commémoraient en fait que l'achat par Thomas Jamme du domaine de Jacob Duchesne qui comprenait une maison de même qu’un moulin à farine et une scierie sur la rivière Ouiatchouanish. Avec Prime Thibeault et Célestin Boivin, Thomas Jamme est considéré comme le fondateur de Roberval. Le canton de Roberval, détaché en 1857 de celui de Ouiatchouan, ne devint une municipalité que deux ans plus tard en 1859. Celle-ci comptait alors 250 habitants. |
25 | Les Classiques des sciences sociales est une bibliothèque numérique basée à Saguenay, dans la province de Québec, au Canada. Elle est l'une des plus grandes bibliothèques virtuelles spécialisées en sciences humaines. Ses fichiers sont au format traitement de textes et téléchargeables gratuitement. Le principal objectif de cette bibliothèque est de favoriser l'accès à l'héritage intellectuel et à la culture scientifique au Québec.
Le fondateur et directeur bénévole de cette bibliothèque est Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au département des sciences humaines du Cégep de Chicoutimi. |
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Le Séminaire de Chicoutimi est une école secondaire privée canadienne de Chicoutimi au Québec. Elle offre les cinq niveaux du secondaire. Par association avec Ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) du Québec, au bout des cinq années d'études, le séminaire est habilité à décerner le diplôme d'études secondaires (DES) à ses étudiants. Le séminaire a été fondé en 1873 par Dominique Racine, premier évêque du diocèse de Chicoutimi. |
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Le parc national des Monts-Valin est l'un des 23 parc nationaux du Québec gérés par la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq). Situé au Saguenay, on y retrouve le point culminant de la région (le pic Dubuc), plusieurs pic à plus de 900 mètres d'altitude, ainsi que le canyon de la rivière Sainte-Marguerite. Il a été créé en 1996 pour conserver et mettre en valeur un échantillon représentatif des monts Valin. Depuis de nombreuses années, le parc constitue une destination de choix pour tous les amateurs de plein air, cela été comme hiver. |
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Le Pont de Sainte-Anne (nommé en l'honneur du village de Sainte-Anne-de-Chicoutimi) est un pont en treillis de la province de Québec, au Canada, qui traverse la rivière Saguenay à la hauteur de l'arrondissement Chicoutimi (Saguenay). Précédé par un service de traversiers, il représenta, de 1933 à 1972, la seule liaison directe entre la ville de Chicoutimi et la couronne nord du Saguenay (à l'époque, Sainte-Anne-de-Chicoutimi et le Canton Tremblay). La construction du Pont Dubuc viendra rendre obsolète cette traverse qui n'est présentement ouverte qu'aux cyclistes et piétons. |
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La Baie est un des trois arrondissements urbains de la ville de Saguenay, au Québec (Canada). Avant les réorganisations municipales québécoises de 2002, il était reconnu comme Ville de la Baie, une municipalité regroupant les secteurs Grande-Baie, Bagotville et Port-Alfred depuis 1976. Située sur les rives de la baie des Ha! Ha!, plus particulièrement aux embouchures de la rivière Ha! Ha! et de la Rivière-à-Mars, La Baie fut le premier pôle colonisé de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean lorsque la Société des Vingt et un s’y est installée en 1838. La grande profondeur navigable de la baie des Ha! Ha!, même près de ses rives, a permis de développer rapidement les installations portuaires les plus importantes de la région à la suite de l’arrivée du chemin de fer en 1910. |
30 | La tragédie du lac Saint-Jean est le nom donné par les cultivateurs du lac Saint-Jean au Québec pour une inondation permanente de leur terre provoquée par l'érection d'un barrage à la Grande-Décharge en amont de la rivière Saguenay en 1926. Le lac est alors monté à un niveau considérable, inondant des centaines d'hectares de terres cultivables le long de la rive. La lutte de ces cultivateurs pour revenir au statu quo ante a été un échec. Par contre, il est reconnu aujourd'hui qu'il y a eu erreur, d'un point de vue environnemental. |
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