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Portail:Romantisme

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Reproduction d'un dessin de Benjamin Roubaud, 1842. "La Grande Chevauchée de la Postérité" : monté sur le Pégase romantique, Victor Hugo, «roi des Hugolâtres, armé de sa bonne lame de Tolède et portant la bannière de Notre-Dame de Paris», emmène en croupe Théophile Gautier (sic), Cassagnac, Francis Wey et Paul Fouché. Eugène Sue fait effort pour se hisser à leur niveau et Alexandre Dumas presse le pas, tandis qu'Alphonse de Lamartine, dans les nuages, se «livre à ses méditations politiques, poétiques et religieuses». Suivent Honoré de Balzac et Alfred de Vigny.

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Penseurs et écrivains néoromantiques

Martin Buber, Stefan George, Friedrich Gundolf, Ludwig Klages, Annette Kolb, Rudolf Pannwitz, Fanny zu Reventlow, Alfred Schuler, Karl Wolfskehl, Albert Verwey





Invitation à la lecture

Alexandre Pouchkine - Le Démon

Dans les jours où étaient nouvelles pour moi
Toutes les impressions de l'Être —
Et les regards des jeunes filles,
Et le bruissement des forêts,
Et le chant du rossignol la nuit, —
Où les hauts sentiments,
La liberté, la gloire et l'amour,
Et l'inspiration des arts
Troublaient mon sang si fort,
Un mauvais esprit vint me trouver en secret,
Ombrageant d'une mélancolie soudaine
Les heures d'espoirs et de plaisirs.
Ces rencontres étaient tristes :
Son sourire mystérieux,
Ses paroles cyniques,
Versaient un poison glacé dans mon âme.
Par ses mensonges perpétuels
Il bravait le destin ;
Il appelait illusion le Beau ;
Il méprisait l'inspiration ;
Il ne croyait ni en l'amour ni en la liberté —
Il regardait la vie en se moquant
Et rien dans la Nature ne trouvait grâce à ses yeux.

Alexandre Pouchkine (1799 - 1837) - Le Démon (1823)

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Lumière sur…

Antonín Dvořák

Antonín Dvořák (* 8 septembre 1841 - † 1er mai 1904) est un compositeur tchèque, originaire de Bohême.

Dvorák assoit sa renommée de compositeur en 1873, avec sa cantate Hymnus, pour chœur et orchestre. Il effectue de nombreux voyages en Europe et dirige le Conservatoire national de New York de 1892 à 1895. Considéré dans son pays comme une gloire nationale, il est nommé directeur du Conservatoire de Prague en 1901.

C'est un des plus grands compositeurs du romantisme tardif : on lui doit neuf symphonies (dont la célèbre Symphonie n° 9 dite « Du nouveau monde », 1893) , des poèmes symphoniques, des concertos (dont un Concerto pour violoncelle, 1896), des opéras (le plus connu est Rusalka, 1901), de la musique chorale et sacrée (dont un Stabat mater, 1880, et un Requiem, 1891) et de la musique de chambre (dont 14 quatuors à cordes).

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