Pont-de-Barret
Pont-de-Barret | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Dieulefit-Bourdeaux | ||||
Maire Mandat |
Robert Palluel 2020-2026 |
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Code postal | 26160 | ||||
Code commune | 26249 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pontois, Pontoises | ||||
Population municipale |
662 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 36′ 10″ nord, 5° 00′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 206 m Max. 623 m |
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Superficie | 16,60 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Montélimar (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Dieulefit | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Pont-de-Barret est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Pont-de-Barret se situe à égale distance de Dieulefit, Montélimar et Crest.
Puy-Saint-Martin | Soyans | Soyans | ||
Manas Charols |
N | Félines-sur-Rimandoule | ||
O Pont-de-Barret E | ||||
S | ||||
Salettes | Eyzahut | Rochebaudin |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Sites particuliers[1] :
- Les Côtes de Sevaine (341 m) ;
- Montagne de Briesse (575 m) ;
- Montagne de Sainte-Euphémie (608 m) ;
- Serre de la Bâtarde ;
- Serre Vivier (300 m).
Géologie
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
- La Rimandoule
- Le Roubion
- Ravin de Briesse
- Ravin de Ligourne
- Ravin de Merdanson
- Ravin de Névelet
- Ravin de Venouil
- Ruisseau de Rioussec
- Ruisseau de Salettes
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Alpes du sud »[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 977 mm, avec 7,3 jours de précipitations en janvier et 4,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Puy-Saint-Martin », sur la commune de Puy-Saint-Martin à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 923,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Pont-de-Barret est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,6 %), terres arables (29,5 %), prairies (8,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), zones urbanisées (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Arduc
- Beauvillard
- Chapesse
- Eson Bas
- Eson Haut
- Ferme de Briesse
- la Bâtarde
- la Jasse
- l'Amourier
- le Chaffal
- les Blaches
- les Charrans
- les Chérons
- les Crottes
- les Gourjeasses
- les Guions
- les Îles
- les Lucs
- les Martins
- les Moulins
- les Payots
- les Perrins
- les Pré-Longs
- les Rivières
- les Sevaines
- les Touches
- les Tuillères
- les Vouguets
- le Vannier
- l'Hôpital
- Mazade
- Montuel
- Picolet
- Rioussec
- Sausse
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les routes départementales D 138, D 179, D 183, D 264, D 310 et D 328[1].
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]Le lieu porte le nom de Savenne jusqu'au Xe siècle[13].
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :
- 956 : locus qui prius dictus est Savenna et modo dicitur ad Pontem (D. Bouquet IX, 697).
- 957 : locus qui dicitur ad Pontum (cartulaire de Saint-Chaffre, 7).
- XIe siècle : villa de Ponte (cartulaire de Saint-Chaffre, 26).
- 1179 : mention de la paroisse : ecclesia de Ponte (Gall. christ., XVI, 129).
- 1332 : Pons de Baretto (Gall. christ., XVI, 129).
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus Pontis Baretti (pouillé de Die).
- 1370 : Pons Baretti (archives de la Drôme, E 460).
- 1442 : castrum Pontis Baretti (choix ce documents, 270).
- 1509 : mention de l'église Notre-Dame-la-Brune : ecclesia parrochialis Beate Marie Pontis Barreti (visites épiscopales).
- 1891 : Pont-de-Barret, commune du canton de Dieulefit.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et protohistoire
[modifier | modifier le code]Le site Sainte-Euphémie aurait été un site défensif pré-romain[réf. nécessaire].
Antiquité
[modifier | modifier le code]Le site aurait été un village gallo-romain sous le nom de Savenna qui se retrouve dans le toponyme du quartier Savenne[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]Entre la fin du IXe siècle et le XIe siècle, les habitants de Savenna et les moines quittent la plaine pour se réfugier sur la colline « Saint-Rambert » où se trouve le vieux village[réf. nécessaire].
Un pont est construit sur le Roubion. Il permet de rejoindre les rochers formant des « barres » d'où le nom de Pont de la Barre qui donna Pont-de-Barret[réf. nécessaire].
Le village se développe sur la rive gauche au XIe siècle avec la construction de l'église Notre-Dame-la-Brune[réf. nécessaire].
La seigneurie[14] :
- Au point de vue féodal, le Pont-de-Barret était une terre (ou seigneurie) du fief des comtes de Valentinois.
- Un quart appartenait au prieur du lieu ; le reste était partagé de tout temps entre plusieurs co-seigneurs.
- 1298 : les (d')Agoult, les Bourdeaux, les (d')Egluy.
- 1345 : les (d')Agoult, les Félines, les Vercors.
- 1353 : la part des Agoult passe (par mariage) aux Benoît.
- 1374 : les Vesc ont une autre part.
- (non daté) : les Taulignan ont une autre part.
- (non daté) : la part des Taulignan passe aux Solamieu.
- 1427 : la part des Solamieu passe aux Gaubert.
- 1540 : les Gaubert, les (d')Eurre et les Saint-Ferréol sont co-seigneurs.
- 1680 : les Saint-Ferréol possèdent les trois quarts de la terre de Pont-de-Barret.
- 1789 : le prieuré, les Saint-Ferréol de Saint-Pons, les Faure-Chabert, sont les derniers seigneurs.
XIVe siècle : le village est saccagé par les troupes de Raymond de Turenne[13].
1789 (démographie) : 500 habitants[14].
Avant 1790, le Pont-de-Barret était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, sous le vocable de Notre-Dame-la-Brune, était celle d'un prieuré de bénédictins (de la dépendance de l'abbaye de Saint-Chaffre-le-Monestier) fondé en 956 et dont les dîmes appartenaient au prieur du lieu qui présentait à la cure[14].
Savenne
[modifier | modifier le code]- 876 : villa que dicitur Savenna (cartulaire de Saint-Chaffre)[15].
- 956 : locus qui prius dictus est Savenna et modo dicitur ad Pontem (D. Bouquet IX, 697)[14].
- 1891 : Savenne, quartier de la commune de Pont-de-Barret[15].
- (non daté) : Les Sevaines (plans cadastraux)[15], (IGN)[1].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]En 1790, la commune est comprise dans le canton de Marsanne. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Dieulefit[14].
La commune avait des moulins utilisant la force de l'eau du Roubion. Ils servaient à la fabrication de la soie[réf. nécessaire].
Le , à 8 h 21, une forte secousse tellurique est ressentie dans la Drôme, au sud de Crest dans les villages de Saou, Manas et Pont-de-Barret. À l'épicentre, proche de Manas, les cheminées s’écroulent et de nombreuses maisons sont lézardées, ainsi que l’église (intensité VII)[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une station de traitement des eaux[1].
Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].
En 2021, la commune comptait 662 habitants[Note 2], en évolution de −1,34 % par rapport à 2015 (Drôme : 2,94 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Services et équipements
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une école primaire, de la maternelle au CM2[réf. nécessaire].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête : le deuxième dimanche de septembre[13].
Loisirs
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]La commune est réputée pour son site d'escalade orienté au sud sur la montagne d'Eson, très fréquenté les jours de beau temps en saison hivernale. Une petite falaise réservée aux grimpeurs de haut niveau borde également le Roubion[réf. nécessaire].
Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : pâturages (ovins, bovins), céréales, vignes, lavande[13].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Châteauvieux : ruines d'une tour et vestiges d'un château fort sur le rocher dominant le village[réf. nécessaire].
- Vieux pont sur le Roubion[13].
- Unité d'architecture : ruelles voûtées en escalier[13].
- Église Notre-Dame-la-Brune du XIIe siècle (MH) située sur un promontoire : nef unique à deux travées voûtées en plein cintre, abside en cul-de-four à cinq arcatures[13].
- Château Saint-Ferréol : résidence seigneuriale du début du XVIIe siècle[22][source insuffisante].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]- Artisanat d'art[13].
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Une source d'eau minérale (exploitée au XIXe siècle)[13].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Pont-de-Barret possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Pont-de-Barret et Puy-Saint-Martin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Puy-Saint-Martin », sur la commune de Puy-Saint-Martin - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Puy-Saint-Martin », sur la commune de Puy-Saint-Martin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montélimar », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Cobonne.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 281 (Pont-de-Barret).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 369 (Savenne).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Frédéric Sergent, « Les sites de hauteurs du Bronze final et du premier âge du Fer dans le sud-ouest de la Drôme – Bilan des connaissances. », Documents d’archéologie méridionale. Protohistoire du Sud de la France, no 40, , p. 163–176 (ISSN 0184-1068, DOI 10.4000/dam.5175, lire en ligne, consulté le ).
- « History of the Château St-Ferriol, A Late Medieval Castle in the South of France », sur st-ferriol.com (consulté le ).