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Polminhac

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Polminhac
Polminhac
Le château de Pesteils à Polminhac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Aurillac
Intercommunalité Communauté de communes de Cère et Goul en Carladès
Maire
Mandat
André Bonhomme
2020-2026
Code postal 15800
Code commune 15154
Démographie
Gentilé Polminhacois, Pominhacoises
Population
municipale
1 213 hab. (2021 en évolution de  6,59 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 57′ 09″ nord, 2° 34′ 42″ est
Altitude Min. 629 m
Max. 1 178 m
Superficie 29,03 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Aurillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vic-sur-Cère
Législatives Première circonscription
Localisation
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Polminhac
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Polminhac
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Polminhac
Liens
Site web www.polminhac.fr

Polminhac (prononcé [pɔlmiɲak]) est une commune française, située dans le département du Cantal en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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La commune est située dans le Massif central sur la Cère, vallée glaciaire avec ses formes caractéristiques : le profil longitudinal est caractérisé par une plaine subhorizontale dont la platitude trouve son explication dans les dépôts morainiques abandonnés par les glaciers du quaternaire. Le profil transversal est en auge, avec des replats latéraux et des vallées suspendues parallèles ou perpendiculaires à la vallée principale. Entre Vic-sur-Cère et Polminhac, ces vallées fluviales en V (vallée du ruisseau de la Ribe, de Villère) sont suspendues à 200 m au-dessus de la Cère. Cette altitude correspond à l'épaulement de la vallée glaciaire et marque la surface d'un horizon de brèches volcaniques[1]. Le glacier de la Cère qui atteignait une puissance de près de 100 mètres, a déposé en se retirant des moraines frontales de retrait[2]. La moraine de Polminhac a un double vallum dont la convexité est tournée vers l'aval. Le sillon qui les sépare, profond de 10 mètres, a environ 100 mètres de large[3]. La Cère est l'objet d'inondations comme en 1981, lorsque l'eau est passée au-dessus de la main courante du terrain de football de Polminhac[4].

Bien qu'il soit en voie de périurbanisation, le bourg de Polminhac reste cantonné en pied de coteau[5].

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 513 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Marmanhac à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 461,7 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Polminhac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aurillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,1 %), prairies (31,9 %), forêts (13,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,6 %), zones urbanisées (2,9 %), zones humides intérieures (0,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 716, alors qu'il était de 695 en 2013 et de 635 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 73,9 % étaient des résidences principales, 11,2 % des résidences secondaires et 14,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Polminhac en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,2 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,2 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Polminhac en 2018.
Typologie Polminhac[I 2] Cantal[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 73,9 67,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 11,2 20,4 9,7
Logements vacants (en %) 14,9 11,9 8,2

L'étymologie du toponyme Polminhac a une origine gallo-romaine. Le toponyme est formé du suffixe -ako (« lieu de, propriété de ») qui a évolué en latin -acum et en -ac dans la langue d'oc, et de l'anthroponyme latin Poleminius. Polminhac désigne la « propriété de Poleminius »[16].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1965 2001 Christiane de Salvage de Clavières SE  
mars 2001 avril 2014 Francis Boissonnade    
avril 2014 mai 2020 Jean-Louis Robert DVD Agriculteur retraité
mai 2020 En cours André Bonhomme[17] DVD  

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

En 2021, la commune comptait 1 213 habitants[Note 2], en évolution de 6,59 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3421 4041 5181 6141 5741 6351 6101 5641 560
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4621 4621 4701 4081 4001 2851 3921 3801 238
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2391 2421 2191 1251 1291 1511 0571 058992
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0091 0121 1321 1761 1351 1561 1181 1071 131
2018 2021 - - - - - - -
1 1761 213-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est plus jeune que celle du département. En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (26,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (30,7 %) est inférieur au taux départemental (36,6 %).

En 2021, la commune comptait 590 hommes pour 623 femmes, soit un taux de 51,36 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,1 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2021 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou
1,3 
8,8 
75-89 ans
21,4 
60-74 ans
20,6 
23 
45-59 ans
22,4 
16,6 
30-44 ans
18,4 
13,8 
15-29 ans
11,1 
16,1 
0-14 ans
17,2 
Pyramide des âges du département du Cantal en 2021 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90 ou
3,1 
10,1 
75-89 ans
13,5 
22,9 
60-74 ans
22,6 
21,8 
45-59 ans
20,5 
16,1 
30-44 ans
15,2 
13,8 
15-29 ans
11,9 
14,2 
0-14 ans
13,3 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Château de La Cavade (ISMH) attesté au XVIe siècle, ne se visite pas.
  • Château de Clavières, ne se visite pas.
  • Château des Huttes, ne se visite pas.
  • Château de Montlauzis ou Monlogis, ne se visite pas.
  • Château de Pesteils, Classé MH ,mobilier, peintures, tapisseries, fresques du XVe, plafonds peints, parc paysagé par l'architecte François-Marie Treyve ; ouvert à la visite.
  • Château de Vixouze, ISMH, visite des extérieurs.
  • Église paroissiale Saint-Victor : elle date du XIIe siècle, pour ses parties romanes les plus anciennes (clocher-peigne à deux étages de trois ouïes, porche, chevet). Fortement remanié depuis le XVe siècle, l'ensemble manque d'unité et a une allure trapue à force d'adjonctions. Cependant, l'église vaut pour son portail monumental amplement sculpté. « Six voussures brisées reposent sur un bandeau[23] lui-même soutenu par autant de colonnettes. Une archivolte inscrit le tout, qui retombe sur deux têtes rudimentaires d'où partent, en retour d'équerre, une torsade et divers motifs, fleurs côtelées à droite, deux animaux luttant, chien (?) et dragon, à gauche »[24].

Parmi les villages, hameaux et lieux-dits de la commune, on trouve:

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Polminhac » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Polminhac - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Polminhac - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune de Polminhac (15154) », (consulté le ).

Autres sources

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  1. [PDF] Étude des matériaux morainiques sablo-graveleux du sud du cantal, rapport de synthèse BRGM 80SGN711AUV, novembre 1980, p.5
  2. [PDF] Notice explicative de la feuille de Vic-sur-Cère XIV - 36, éditions du BRGM, 1975, p. 19
  3. Yvonne Boisse de Black du Chouchet, Les glaciations de l'Auvergne, Impr. moderne, , p. 13.
  4. Arthur Cesbron, « Quand « Yolet plage » émerge des eaux », sur lamontagne.fr, .
  5. « Schéma de cohérence territoriale du Bassin d'Aurillac, du Carladès et de la Châtaigneraie », sur scotbacc.fr, .
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Polminhac et Marmanhac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Marmanhac », sur la commune de Marmanhac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Marmanhac », sur la commune de Marmanhac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Aurillac », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 476
  17. « Cantal. Installation du nouveau conseil municipal de Polminhac », sur Actu.fr, (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
  23. Le bandeau de droite présente « une sorte de loup aux dents acérées, gueule ouverte mordant l'oreille d'un buste humain. La suite est assurée par une succession de motifs variés, notamment de petites têtes humaines séparées par des fleurs... A l'angle extérieur, deux têtes s'embrassent. Sous ces motifs, en très faible relief, une frise de signes cabalistiques variés : rinceaux, fleurs de lys, étoile de David avec au centre un petit rond, marguerites, etc. Le bandeau de gauche reprend même structure et mêmes motifs, avec au bout une course d'animaux se mordant mutuellement. Tout cela exprime la plus grande fantaisie; l'inspiration est archaïque et la facture sommaire ».
  24. Pierre Moulier et Pascale Moulier, Églises romanes de Haute-Auvergne. La région d'Aurillac, Éditions CRÉER, (lire en ligne), p. 59.
  25. Hippolyte Bouffet, « Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean en Haute-Auvergne », Revue de la Haute-Auvergne, Aurillac, t. XVI,‎ , p. 123, lire en ligne sur Gallica
    L'auteur cite également Salès, toponyme qui n'apparait ni sur la carte IGN ni sur celle de Cassini. Salesse, commune de Saint-Simon (Cantal)?

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Articles connexes

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Liens externes

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