Petit Palais
Nom local |
Petit Palais |
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Type |
musée d'art |
Ouverture |
Exposition universelle de 1900 ; le musée est inauguré le |
Surface |
7 000 m2 |
Visiteurs par an |
1 000 000 (2022)[1] |
Site web |
Collections |
beaux-arts de l'Antiquité à la fin du XIXe siècle, peintures, sculptures, objets d'art |
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Label |
Architectes | |
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Protection |
Pays | |
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Adresse | |
Coordonnées |
Le Petit Palais, construit à l'occasion de l'Exposition universelle de 1900 par l'architecte Charles Girault, abrite le musée des Beaux-Arts de la ville de Paris. Il est situé à Paris 8e, avenue Winston-Churchill, face au Grand Palais et bordé par la Seine et l'avenue des Champs-Élysées. Il est érigé en partie à la place du palais de l'Industrie, démoli en 1896. Le bâtiment est inscrit aux monument historique en 1975.
Il s'agit de l'un des quatorze musées de la ville de Paris, gérés depuis le par l'établissement public administratif Paris Musées.
Histoire
[modifier | modifier le code]En 1896, un concours d'architectes est ouvert pour l'édification de deux palais, un petit et un grand, en remplacement du palais de l'Industrie[2]. Le projet crée l'avenue Nicolas II qui relie l'avenue des Champs-Élysées à l'esplanade des Invalides par franchissement de la Seine[2],[3]. Le concours est remporté à l'unanimité du jury par l'architecte Charles Girault ; il obtient une prime de 5 000 francs[4],[3]. Les architectes Joseph Cassien-Bernard et Gaston Cousin obtiennent le 2e prix[4].
En 1897, le projet définitif est arrêté[5]. La construction commence entre septembre et octobre 1897 et se poursuivent jusqu'en avril 1900[5],[3].
Après la fin de l'Exposition universelle de 1900, de nouveaux travaux débutent entre l'hiver 1901 et le printemps 1902 pour une mise en état en vue de l'ouverture du musée des Beaux-Arts[3].
Le bâtiment est inscrit aux monuments historiques en 1975[6].
Description
[modifier | modifier le code]Le Petit Palais est organisé autour d'un jardin semi-circulaire. Les lieux d'exposition sont situés au premier étage, le rez-de-chaussée étant consacré à l'origine aux bureaux et aux réserves.
La façade fait près de 125 m de long, centrée par un porche monumental surmonté d'un dôme. Des colonnes d'ordre composite en ornent la face principale. Le péristyle en hémicycle de la cour est orné de colonnes de style toscan. Le décor est complété par de nombreux bas-reliefs.
Charles Girault avait conçu des espaces uniquement éclairés par la lumière naturelle, créant verrières, coupoles transparentes et larges baies.
Les sculptures sur la façade sont[7] :
- La Ville de Paris protégeant les Arts du sculpteur Jean-Antoine Injalbert avec une femme assise tenant dans son bras gauche un navire symbolisant Paris et entourée par les Muses ;
- sur la droite, un groupe avec La Seine et ses affluents de Maurice Ferrary ;
- sur la gauche, le groupe Les Quatre Saisons de Louis Convers avec des jeunes femmes portant des gerbes de blé et des fruits.
La façade de l'AfricaMuseum de Tervuren, en Belgique, également dessinée par Charles Girault, reprendra en partie la composition et les motifs du Petit Palais.
Le porche de l'opéra de Saïgon au Viêt Nam, ancienne capitale de l'Indochine française et construit lui aussi en 1900[8], présente des similitudes avec celui du Petit Palais.
La rénovation
[modifier | modifier le code]L'état vieillissant du bâtiment conduit la ville de Paris à prendre la décision de le rénover en mars 1999[9],[10],[11]. La rénovation est décidée par l'équipe municipale de Jean Tiberi et poursuivie à l'identique avec l'arrivée de Bertrand Delanoë à la suite des élections municipales de 2001[10]. Entre janvier 2001 et juin 2005, le Petit Palais est fermé pour rénovation[9]. La maîtrise d'œuvre des travaux dure trois ans et est assurée par l’atelier d'architecture Chaix & Morel et associés[9],[12]. La ville de Paris finance l'entièreté des travaux pour un coût, après rallonge, de 68 millions d'euros[10],[9].
Le Petit Palais rouvre ses portes au grand public le en exposant trois photographes ayant suivi les travaux : la photographe Flore, Patrick Tourneboeuf et Bruno Delamain.
Des espaces d'exposition supplémentaires sont créés au rez-de-chaussée (22 000 m2 au total), les réserves étant déménagées au sous-sol. La collection permanente est exposée à gauche en entrant, les expositions temporaires à droite et au sous-sol.
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Le vestibule.
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Espace de réception.
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Galerie des sculptures.
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Galerie des grands formats.
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Escalier.
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Galerie Tuck.
Entre les deux, au fond du jardin, un café permet de se restaurer. Les fenêtres des espaces d'exposition et les verrières des collections permanentes sont aménagées pour l'éclairage naturel. Les bureaux sont situés au-dessus des espaces d'expositions temporaires. Un amphithéâtre est créé au rez-de-chaussée sous le jardin.
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Le jardin intérieur.
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Le péristyle.
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Louis Convers, groupe de musiciens sur le toit du péristyle.
Les collections
[modifier | modifier le code]Histoire des collections
[modifier | modifier le code]Dès 1902, le Petit Palais devient « palais des Beaux-Arts de la Ville de Paris » pour accueillir une collection permanente (de l'Antiquité à la fin du XIXe siècle, les collections municipales du XXe siècle se trouvant au palais de Tokyo) et des expositions temporaires.
Ces collections sont enrichies par de multiples donations dont on peut citer les plus importantes :
- Eugène et Auguste Dutuit cèdent leur collection en 1902, riche de près de 20 000 œuvres et comportant plusieurs œuvres majeures de l'école hollandaise (dont un autoportrait de Rembrandt et l'Enlèvement de Proserpine de Rubens), des antiquités gréco-romaines, des objets d'arts du Moyen Âge et de la Renaissance, des gravures et des dessins de maîtres (Martin Schongauer, Albrecht Dürer, Rembrandt, Fragonard, etc.).
- Edward et Julia Tuck cèdent en 1930 leur collection d'objets d'art français du XVIIIe siècle.
- Ambroise Vollard cède plusieurs œuvres modernes au musée, parmi lesquelles on peut citer le Portrait d'Ambroise Vollard au chat par Pierre Bonnard (1924) ou un autre portrait du mécène par Paul Cézanne (1899).
- Roger Cabal lègue au musée une collection d'icônes en 1998.
Parallèlement à ces dons, le musée va acquérir de nombreuses œuvres dont plusieurs tableaux de Gustave Courbet.
Depuis une dizaine d'années, la photographie contemporaine est entrée au Petit Palais lorsqu'il est décidé de présenter, en introduction aux grandes expositions internationales, des images de photographes inspirés par les civilisations exposées. Certaines de ces photographies sont ensuite acquises par le musée.
Peinture
[modifier | modifier le code]Peinture flamande et néerlandaise
[modifier | modifier le code]- Gerrit Berckheyde
- Pieter Claesz
- Jacques Daret
- Meindert Hobbema
- Jacob Jordaens
- Johan Barthold Jongkind
- Gabriel Metsu
- Frans van Mieris l'Ancien
- Adriaen van Ostade
- Rembrandt
- Rubens
- Jacob van Ruisdael
- Jan Sanders van Hemessen
- Jan Steen
- David Teniers le Jeune
- Willem van de Velde le Jeune
- Abraham de Vries
Peinture française
[modifier | modifier le code]- Jules Adler
- Edmond Aman-Jean
- Marius Avy
- Albert Besnard
- Louise Catherine Breslau
- Pierre Bonnard
- Eugène Boudin
- Paul Cézanne
- Théodore Chassériau
- Camille Corot
- Gustave Courbet
- Jacques-Louis David
- Honoré Daumier
- Edgar Degas
- Eugène Delacroix
- Maurice Denis
- Gustave Doré
- Jean-Honoré Fragonard
- Théodore Géricault
- Jean-Baptiste Greuze
- Jean-Auguste-Dominique Ingres
- Jean Julien
- Nicolas de Largillierre
- Le Lorrain
- Léon Lhermitte
- Maximilien Luce
- Édouard Manet
- Henri Martin
- Claude Monet
- Gustave Moreau
- Berthe Morisot
- Jean-Baptiste Oudry
- Fernand Pelez
- Camille Pissarro
- Nicolas Poussin
- Pierre Puvis de Chavannes
- Odilon Redon
- Auguste Renoir
- Hubert Robert
- Georges Rouault
- Paul Signac
- Alfred Sisley
- Gaston de La Touche
- Henri de Toulouse-Lautrec
- Claude Joseph Vernet
- Édouard Vuillard
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Gustave Courbet, Autoportrait au chien noir (1841)[14].
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Berthe Morisot, Dans le parc (vers 1874).
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Paul Cézanne, Trois baigneuses (1879-1882).
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Pierre Bonnard, Conversation à Arcachon (1926-1930).
Peinture italienne
[modifier | modifier le code]-
Attribué à Andrea Mantegna, Le Maître du Monde (XVe siècle).
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Cima da Conegliano, Vierge à l'Enfant (1495-1497).
Peinture américaine
[modifier | modifier le code]Sculpture
[modifier | modifier le code]Arts décoratifs
[modifier | modifier le code]- François-Rupert Carabin
- Jean Carriès
- Henry Cros
- Émile Gallé
- Jacques Gruber
- Hector Guimard
- Jacob-Desmalter
Arts graphiques
[modifier | modifier le code]Le fonds d'arts graphiques du musée est constitué de 18 000 gravures et 9 000 dessins anciens et modernes. La collection de dessins comprend des pièces de Rembrandt, Jacob van Ruisdael, Adriaen van Ostade, Antoine van Dyck, Le Lorrain, Antoine Watteau, Jean-Honoré Fragonard ou encore Hubert Robert. En gravure, on retrouve des œuvres de maîtres tels que Martin Schongauer, Albrecht Dürer, Lucas van Leyden, Rembrandt encore (avec un ensemble exceptionnel de 350 pièces), Antoine van Dyck, Jean-Honoré Fragonard et Antoine Watteau.
Quelques grandes expositions
[modifier | modifier le code]- 1930 : Centenaire de la conquête de l'Algérie. Une grande exposition est organisée du 1er mai au 15 juillet 1930 dans le cadre des commémorations du Centenaire de la conquête de l'Algérie, avec des objets d'art, des portraits, des souvenirs et peintures d'Eugène Delacroix, Eugène Fromentin, Horace Vernet, Alfred Dehodencq, Théodore Chassériau, Adrien Dauzats etc, relatifs à la conquête de 1830 et groupés dans les différentes salles par Camille Gronkowski (1873-1949), le conservateur du musée[15],[16],[17].
- 1955 : Artistes étrangers en France (Álkis Pierrákos, Geneviève, Nína Tryggvadóttir, Zaven Hadichian, Paul Jenkins…).
- 1967 : Les trésors de Toutânkhamon. Organisée par l'égyptologue Christiane Desroches Noblecourt, l'exposition doit aider au sauvetage des temples de Nubie, dont les temples d'Abou Simbel, menacés de disparition par la mise en place du Haut barrage d'Assouan. Le concept de « patrimoine de l'humanité » émerge alors. L'exposition qui relancera la passion française pour l'Égypte, durera plus de six mois et rassemblera quelque 1,2 million de visiteurs.
- 1995 : Carthage, l'histoire, sa trace et son écho, du au .
- 1996 : L'œuvre gravée d'Albrecht Dürer. (102 cuivres et 122 bois). Collection du musée du Petit Palais, musée du Petit Palais, Paris, du au [18].
- 2008-2009 : Akira Kurosawa, du 16 octobre 2008 au 11 janvier 2009[19].
- 2013-2014 : Jordaens 1593-1673, du au [20].
- 2014 : Paris 1900, la Ville spectacle, du 2 avril 2014 au 17 août 2014[21].
- 2017 : Anders Zorn, Le maître de la peinture suédoise, du 15 septembre 2017 au 17 décembre 2017[22].
- 2018 : Les Hollandais à Paris 1789-1914, du au [23].
- 2019 : Paris romantique, 1815-1848, du 22 mai 2019 au 15 septembre 2019[24].
- 2022 : Albert Edelfelt (1854-1905), du 10 mars 2022 au 10 juillet 2022[25].
- 2023 : Sarah Bernhardt (1844-1923) - Et la femme créa la star[26], du 11 avril au 27 août 2023.
- 2023-2024 : Le Paris de la modernité, 1905-1925, du 14 novembre 2023 au 14 avril 2024[27].
Accès
[modifier | modifier le code]Le Petit Palais est desservi à proximité par les lignes 1 et 13 à la station Champs-Élysées - Clemenceau.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « 4,54 millions de visiteurs dans les musées de la Ville de Paris en 2022 », sur paris.fr, (consulté le )
- C. T. et A. D., « Concours pour les Palais des Champs-Elysées », Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères, (lire en ligne)
- Henry Lapauze, « Catalogue sommaire des collections municipales » [archive du ] [PDF], sur petitpalais.paris.fr,
- A. D., « Concours pour les Palais des Champs-Elysées », Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères, (lire en ligne)
- E. Rouyer, « Les palais des Champs-Élysées », Le Génie civil : revue générale des industries françaises et étrangères, (lire en ligne)
- « Petit Palais, actuellement musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris », sur POP : la plateforme ouverte du patrimoine, Ministère de la culture (consulté le )
- Frédérick Gersal, Paris : 100 lieux mythiques, Paris, Hachette livre, , 223 p. (ISBN 978-2-01-244059-3), p. 216
- Réalisé par les architectes Félix Ollivier, Ernest Guichard et Eugène Ferret.
- Eric Le Mitouard, « Une rallonge budgétaire pour peaufiner le Petit Palais », Le Parisien, (lire en ligne)
- Eric Le Mitouard, « Le chantier du Petit Palais a enfin son budget », Le Parisien, (lire en ligne)
- Sébastien Ramnoux, « L'immense succès du Petit Palais », Le Parisien, (lire en ligne)
- Benoît Hasse, « Le Petit Palais enfin paré pour sa renaissance », Le Parisien, (lire en ligne)
- Huile sur toile : 81 x 60 cm (cadre : 91,5 x 71).
- Huile sur toile.
- « La Ville de Paris nous a offert une exposition du Centenaire de l'Algérie, que les flottes et les armées du roi donnèrent à la France en 1830. Un souffle épique a donc traversé les salles du Petit-Palais où trônaient l'an passé les grands seigneurs de Largillière, et les armes, les selles, les tapis, les bijoux arabes et les documents de toutes sortes y voisinent avec les œuvres d'art inspirées par ce nouveau domaine offert aux peintres. Comme on le voit, l'Exposition a donc un double intérêt documentaire et artistique. Dans le premier domaine, nous ferons néanmoins une part admirative à quelques curieuses selles et harnachements qui sont de très éloquents témoignages de l'art arabe et à quelques armes d'un beau travail, mais qui sont malgré tout — comme les tapis — des œuvres de la décadence. Aux artistes, la conquête de l'Algérie ouvrit une voie nouvelle, celle de l'orientalisme. C'est ce que précisera éloquemment cette exposition si parfaitement organisée. Delacroix, qui explora l'Afrique du Nord dès 1832, y est représenté par près de vingt morceaux parmi lesquels les envois du Musée de Montpellier se détachent dans toute leur beauté. La vue de la Chasse au Faucon, par Fromentin, mérite de faire revenir à cet artiste souvent inégal, la faveur du public. Dehodencq, lui aussi, vaut par sa personnalité si marquée de sortir de l'oubli. A la suite de Delacroix, on admirera toute la pléiade des orientalistes : Chassériau si séduisant lorsque, ainsi que dans ses Juives d'Alger, il s'abandonne à sa sensibilité, au lieu d'imiter servilement Delacroix, comme dans les Cavaliers arabes, puis encore : Dauzats, auteur d'un tableau très intéressant : Les Portes de fer ; Guillaumet, Decamps, Marilhat qui a si bien compris la vie du désert, et Berchère, auteur de divers paysages de douceur et de charme. Quelques portraits de généraux : Bourmont, Clauzel, Bugeaud, le duc d'Aumale, Chanzy, offrent surtout un intérêt documentaire tandis que le portrait du duc d'Orléans, par Ingres, est ici le grand chef-d'œuvre. », Art et industrie, janvier 1930, pp. 41-42.
- Archives de l'Exposition du centenaire de la conquête de l'Algérie (1930), site web de Paris Musées.
- L'exposition Centenaire de la conquête de l'Algérie, site du Petit Palais.
- Voir sur artclair.com.
- « Akira Kurosawa », sur Petit Palais, (consulté le )
- Exposition Jordaens 1593-1678. La gloire d'Anvers
- « Paris 1900, l'insouciance de la Belle époque au Petit Palais », sur Franceinfo, (consulté le )
- « Anders Zorn au Petit Palais : l’eau, les femmes, la mondanité », sur Beaux Arts (consulté le )
- Exposition Les Hollandais à Paris 1789-1914
- Paris romantique au Petit Palais : de la chute de Napoléon à la révolution de 1848.[1]
- « Un Finlandais à Paris : dans les paysages lumineux d'Edelfelt au Petit Palais », sur Connaissance des Arts, (consulté le )
- https://www.petitpalais.paris.fr/sites/default/files/content/media-pack/document_presentation_icono_sarah_b.pdf
- « Le Paris de la modernité », sur Petit Palais, (consulté le ).
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie et sources
[modifier | modifier le code]Bâtiment
[modifier | modifier le code]- E. Rouyer, « Exposition de 1900. Revue des travaux de l'exposition. Petit Palais des Beaux-Arts », dans Le Génie Civil, , tome XXXV, no 899, p. 289-294 (lire en ligne)
- Gilles Plum, Le Petit Palais. Chef-d’œuvre de Paris 1900, Paris Musées et Éditions Nicolas Chaudun, Paris, 2005, 272 p. (ISBN 2-87900-876-X).
Collections
[modifier | modifier le code]- Dossier de l'art : Petit Palais, la rénovation et les collections, no 125, .
- Dossier - Le Patrimoine photographique de la Ville de Paris, sur le Portail paris.fr.
- Catalogue sommaire des collections municipales et notice historique par Henry Lapauze, Paris, 1906 ([PDF] en ligne).
Liens externes
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- Ressources relatives à l'architecture :
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :